RM2AN6NRA–Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . 4à. INSTALLE SOUS LES ARBRES, AU BORD BU TENNIS. MARIAGE DE DEMAIN PREMIERE PARTIE
RM2AJDR51–Éléments de sylviculture . Fi^. ..o. les arbres, dont les graines sont ainsi préparées. Fi.-. pour de longs voyages, se multiplier au loin. Maisil nen est point qui jouissent sous ce rapport de
RM2AJDRAH–Éléments de sylviculture . Fig. 36. — Fiagjnentduu chaton fructifère de peuplier tremble. 92 PHYSIOLOGIE mettent aux semences de se transporter à de grandesdistances en tournoyant dans les airs, aussi voit-on. Fi^. ..o. les arbres, dont les graines sont ainsi préparées
RM2AXDG1J–Scemo : drame lyrique en trois actes et cinq tableaux . (Pendant ces derniers mots... on a vu des ombres se glisser entre les arbres et au moment où Francesca fait le geste dcn-dim. , FRANCESCA. ^ —=^=. 25 -tr^iîner Lazaro, Giovann surgit,et reste immobile, silencieux.)
RM2AXC1M6–Ancient and modern pictures, important works of the French, English and Dutch schools = tableaux anciens et modernes, oeuvres importantes des ecoles française, anglaise et hollandaise . indistinctly seen,a lighthouse. Sky grey. The immensity of océan is admirablyrepresented in this sea-piece, without doubtone of this masters finest works. CANVAS. Height 39I huhes, Breadth 78J inches. 38. LIle de Vaux. Sélargissant vers la droite, une prairielongeant une rivière, occupe tout le premierplan. Agenouillée dans lherbe, une femmese penche au bord de leau. Sur lautre rive, les arbres dune forêtfermen
RM2AFK7R1–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. FOULOIRS-ÉGRAPPOmS A BRAS POMPES OSC[LLANTES ^ Pulvérisateurs automatiques SYPHONIA Usines SCHLŒSING Frères&C.-Marseille Plusieurs fois : Membrfs du Jury — Hors Concours Emulsion insecticide contre la Pyrale, la Cochylis, lEudemis et tous les parasites de la vignehivernant sous les écorces et les échalas et sur tous les arbres fruitiers, etc. BOUILLIE BORDELAISE SOUFRES PRÉCIPITÉS SCHLŒSING «lTO SCHLŒSING Demander Notices et Brochures explicatives envoyées franco.. FABRIQUE SPÉCIALE DARTICLES DE CAVE ^ Machines à rincer,
RM2AKN5RX–Nouveau dictionnaire encyclopédique universal illustré : répertoire des connaissances humaines . Lion rouchant. principaux meubles sont : les pièces honora-bles, les besants, les tourteaux, les parties ducorps humain (lêle, cœur, mains, bras),les châteaux, les tours, les instruments degvirrc. les arbres, les fleurs, les fruits, les as-tres (soleil, croi5-anl, étoiles, comèles), les. Ccifs courants. animaux (courants, rampants, passants, lionléopardé, léopard lionne, etc.). — LégisL« Tous les biens qui ne sont pas immeubles(voy. ce mot) sont meubles [C civ. .il6); el laloi dislingue deux class
RM2AKW14M–Larousse universel en 2 volumes; nouveau dictionnaire encyclopédique publié sous la direction de Claude Augé . s péripéties dun récit merveilleux e1terrible Si s œuvres tes plu* connues ont pour litrete Roman >i< ;n : naufragés qui sel : ain de bois sur une ri-vière. V. FLOTTAGE. — Eni ïcl. Les radeaux darbres se construisenta leau - ? a ilissait à terre, ils tendraientà se désunir au moment de limmersion, chaquepièce cherchant à prendra sa position déquilibre.unies fa [ue larges, aboutant les arbres.
RM2AG4DXM–. The papilios of Great Britain, systematically arranged, accurately engraved, and painted from nature, with the natural history of each species, from a close application to the subject, and observations made in different countries of this kingdom; as well as from breeding numbers from the egg, or caterpillar, during the last thirty years. /#. CP o 00°. MZearin dct.rt r,-u!f ( 45 ) GENRE I. PAPILLONS. SEC. III. ESP. XXIII. LARGUS BRUN. PI. 20. Hyperantus. Linnaus.Ringlet. Harris. Il eft fort aifé de découvrir les chenilles qui vivent fur les arbres, les buif-fons, ou les arbrifleaux ; on en fe
RM2AG3D2P–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. ALAMBICS DEROV RÉFRIGÉRANTS A MOUTSPASTEURISATEURS et ÉCHAUDEUSES BOUILLEURSdeCRO ^^^^^^^^^^^^^^ALAMBICS Guide du Bouilleur de fruits,vins, cidres, lies, marcs, et Tarifs gratis et franco. DEROYFiisAîDi7Tà77:B;dundt;:Paris. écrivant Biffnaler ce journal. Usines SCHLŒSING Frères &C°.-Marseille Plusieurs fois : Membri:s du Jury — Hors Concours Emulsion insecticide contre la Pyrale, la Cochylis, lEudemis et tous les parasites de la vignehivernant sous les écorces et les échalas et sur tous les arbres fruitiers, etc. BOUILLIE
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RM2AG2TFN–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. ALAMBICS DEROV RÉFRIGÉRANTS A MOUTSPASTEURISATEURS et ÉCHAUDEUSES BOUILLEURSdeCROâ^ A I A BARIf^^ Guide du Bouilleur de fruits,Al fiaBtflKllB^^^i^S cidres, lies, marcs,mBmVllfflW et Tarifs gratis et franco. DEROYFilsAlnl7Tà77>rd^îhX:Paris. En écrivant Biçjnaler ce journal. Usines SCHLŒSING FRÈRese^jÇ V-Marseille Plusieurs fois : Membrks du Jdry -^HorsConcours Emulsion insecticide contre la Pyrale, la Cochylis, lEudemis et tons les parasites de la vignehivernant sans les ôcorces et les échalas et sur tous les arbres fru
RM2AFYE97–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. ALAMBICS DEROY RÉFRIGÉRANTS A MOUTSPASTEURISATEURS et ÉCHAUDEUSES ALAMBICS DEROYFilsilDé ,71 à77, Rue (fa Théâtre. écrivant eignaler ce journal, Guide du Bouilleur de fruits,vins, cidres, lies, marcs, et Tarifs gratis et franco. CONSTRUCTEUR , p^pjg Usines SCHLŒSING Frères &C .-Marseille Plusieurs fois : Membres du Jdry — Hors Concours Emulsion insecticide contre la Pyrale, la Cochylis, lEudemîs et tous les parasites de la vignehivernant^ sous les écorces et les échalas et sur tous les arbres fruitiers, etc. BOUILLIE BORD
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RM2AG40XM–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. ALAMBICS DEROY RÉFRIGÉRANTS A MOUTSPÂSTEURISÂTEURS et ÉCHAUDEUSES ALAMBICS OEROYfusam Guide du Bouilleur de fruits,vins, cidres, lies, marcs, et Tarifs gratis et franco. CONSTRUCTEUR ,71 à 77, Rue du Théâtre .Paris. Mn écriirant Bxçrnaler ce journal. Usines SCHLŒSING Frères &C°.- Marseille Plu&ieurs fois : Membrks du Jury — Hors Concours Emulsion insecticide contre la Pyrale, la Cochylis, lEudemis et tous les parasites de la vigaehivernant sous les écorces et les échalas et sur tous les arbres fruitiers, etc. BOUILLIE BOR
RM2AN9HJ7–Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles . de la Francesadresser CHABEUT PÈRE & FILS Commissionnaires en Immeublesà VALENCE-sur-Rhône, 1, Boni. Bancel MM. CUABERT envoient gratuitement, sur demande,des Catalogues, Plans,Photographies ettous Renseignementsconcernant les immeubles à vendre. Les acquéreurs nont ni frais ni honoraires à payer MASTIC LHOMME-kEFORT pour greffer à ^roid les arbres, arbustes et la vigne. — 80 Médailles, lu Diplômes dHonneur.Fabrique : 40, rue des Solitaires, Paîis. V^IXICULXUHE ET SÉMCICULXUÏIE Tons articles en Vignes américaines et graine
RM2AM8P1D–Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles . VIGNOBLES, ETC. dans tout le Sud-Est de la Francosadresser CHABEUT PÈRE & FILS Commissionnaires en immeublesà. VALENCE-sur-Rhône, 1, Boul. Bancel MM. CHABERT envoient gratuitement, sur demande,des Catalogues, Plans,Photographies et tous Renseignementsconcernant les immeubles à vendre. Les acquéreurs nont ni frais ni honoraires à payer MASTIC LHOMME-LËFORT pour greffer à froid les arbres, arbustes et la vigne. — 80 Médailles, 15 Diplômes dHonneur.Fabrique : 40, rue des Solitaires, Paris, CULTURE DE VIGNES AMÉRICAINES Ripari
RM2AG1351–. L'arbre, la forêt et les pâturages de montagne; manuel de l'arbre pour l'enseignement sylvo-pastoral dans les écoles. le même volume de boissur pied et la même production. On voit que la production sou-tenue dune forêt aménagée estsubordonnée à la régénérationdes peuplements dès après leurexploitation. Cest ici quinter-vient lart du sylviculteur. Cette régénération peut êtreobtenue soit naturellement, soitartificiellement. Les arbres defutaie arrivés à un certain âgeproduisent chaque année, commeon la vu, des millions de grainesqui sont épandues et disperséespar le vent, les oiseaux, les pet
RM2AG09TM–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. ALAMBICS DEROy RÉFRIGÉRANTS A MOUTSPASTEURISATEURS et ÉCHAUDEUSES BOUILLEURSdeCRU»^^^^^ALAMBICS Guide du Bouilleur de fruits,vins, cidres, lies, marcs, et Tarifs gratis et /ranco. DEROYFilsAlDé.7Tà7?,Kne;«îhït;:Paris En écrivant aignaler ce journal. Usines SCHLŒSING Frères &C .- Marseille Plusieurs fois : Membrks du Jdry — Hors Concours Emulsion insecticide contre la Pyrale, la Cochylis, lEudemis et tous les parasites de la vignehivernant sous les écorces et les échalas et sur tous les arbres fruitiers, etc. BOUILLIE BORD
RM2AN1KNX–Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . Jaïuaronal.. laires noires circonscrivant un point foncé, est blanchâtreen dessous; elle varie du jaune au gris et au noir presquecomplet suivant les races. Cest une bete lérocc, puissanteet dangereuse, nocturne, vivant dans les forêts, les fourrésou les hautes herbes des plaines, et qui attaque 1 hommeet tous les animaux. Au contraire du tigro, le jaguar grimpefacilement sur les arbres. En captivité, il demeure toujoursdangereux. Répandu dans toute lAmérique du Sud, il estremplacé dans le centre par une variété (J/exicani«),
RM2AFHD2T–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. FOliLOIRS-ÉGRAPPOmS A BRAS POMPES OSCILLANTES ^^^^l^^^^jg Pulvérisateurs automatiquesSYPHOIMIA Usines SCHLŒSING Frères &C.-Marseille Plusieurs fois : Membres du Jury — Hors Concours i*^ ift.vi.iox H c n D.oi: î!S IX a Eraulsion insecticide contre la Pyrale, la Cochylis, lEludemis et tous les parasites de la vignehivernant sous les écorces et les échalas et sur tous les arbres fruitiers, etc. BOUILLIE BORDELAISE ^ SOUFRES PRÉCIPITÉS SCHLŒSING tLTO SCHLŒSING Demander Notices et Brochures explicatives envoyées franco.. FABRI
RM2AKPF0W–Journal d'agriculture pratique . importequelle hauteur sont très grandes. On peut déduire de ce qui précède que lesblessures des arbres doivent présenter diffé-rentes formes et que les dégâts causés aupeuplement doivent être considérables. Cesont ces différentes blessures et ces dégâtsque M. J. George a étudiés avec le plus grandsoin : de nombreuses et très belles photo-graphies permettent de suivre les descrip- tions techniques des désordres causés par laballe chez les arbres des principales esssen-ces forestières, chêne, hêtre, charme, érablechampêtre, etc. Laltération produite dans un chêne
RM2AWDJAH–Madagascar : les bois de la forêt d'Analamazaotra . us de 20 mètres de haut. Lespèce Dalhergia ikopensis Jum. (antérieurement Dalhergia Perrieri Jumelle)connue sous le nom de Manary se plaît principalement dans les forêts sèches du hautbassin de la Betsiboka et de lIkopa et peut atteindre des dimensions plus grandes que laprécédente. Enfin H. Bâillon a encore donné des planches représentant D. purpurascens U. Bn.,D. Bernieri H. Bn., et D. Richardii H. Bn. Les bois fournis par les arbres du genre Dalhergia et de quelques autres Légumineuses-Papilionées voisines des Dalhergia, sont caractérisés
RM2ANJ3W5–Catalogue des tableaux modernes et aquarelles composant la Collection Lazare Weiller . 0 COLLECTION LAZARE WEILLER Pissarro (CAMILLE)35. — Les Tuileries. — Après-midi dhiver. Vu den haut, le jardin dessine ses pelouses vertes etrectilignes, ses allées sablées où circule la foule multi-colore des promeneurs. A gauche, un bassin reflète les tons jaunes et mau-ves du ciel crépusculaire. A droite, les arbres dépouillésde feuilles épaississent la masse de leurs branchagesenchevêtrés. Au loin, à gauche, les toits luisants de la ville englacis sur un fond bleu. Au dessus les deux tours deléglise Sain
RM2AFJ1E4–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. Pu. MAYFARTH&G 6, Rue Riquet — PARIS (19^) PRESSOIRS HYDRAULIQUES FOULOmS-ÉGRAPPOmS A BRAS POMPES OSCILLANTES Pulvérisateurs automatiques II SYPHONIA Usines SCHLŒSING Frër is &C.-Marseille Plusieurs fois : Membrfs du Jury — Hors Concours I* A it /Il 1.1 i> : C ai i.oi: s i x o Emulsion insecticide contre la Pyrale, la Cochylis, lEudemis et tous les parasites de la vignehivernant sous les écorces et les échalas et sur tous les arbres fruitiers, etc. BOUILLIE BORDELAISE OiO SOUFRES PRÉCIPITÉS SCHLŒSING «lTO SCHLŒSING Be
RM2AKM6MB–Lettres edifiantes et curieuses ecrites des missions etrangeres parquelques missionnaires de la comp compagnie de Jesus . ent matériel, comme les mélaux , lespierres ; le vwant, comme les arbres , lesplantes ; le seiisitif ^ comme les animaux jenfin , le spirituel, tel quest lhomme. Les.Philosophes dEurope vont encore à un plusgrand détail, c^estce que vous pouvez remar-quer sur le tableau ci^contre. Vous ny ver-rez cependant pas toutes les espèces parti-culières de chaque chose: elles sont en tropgrand nombre pour être marquées dans ladernière exactitude. On se contente démettrepar ordre les
RM2AKH9R5–Nouveau dictionnaire encyclopédique universal illustré : répertoire des connaissances humaines . s autresdoigts en ont trois. — Commune dans lesystème phalanslérien de Fourier. PHALANGER s. f. [fa-lan-jé] (rad. pha-lange). Manim. Groupe de marsupiaux qui•forme la famille des phalangisiidés, et qui estcaractérisé surtout par la disposition du se-cond et du troisième doigt des pieds de der-rière, réunis dans un tégument commun.Les animaux de ce groupe sont des grim-peurs habiles; ils vivent sur les arbres; ilsmangent des feuilles, des boutons, des fruits,et, à Toceasion, de petits oiseaux, de pe
RM2AJ4CEB–Pompéi : vie publique . salles dont le sol pouvait être recouvert deau jusquà une faible hauteuront reçu une gracieuse ornementation : une niche en mosaïc[ue avec motifsaquatiques doù jaillissait leau ; une plinthe en marbre ; au-dessus,parmi les arbres, les fleurs et les marbres dun beau jardin, circulent desnymphes, des faunes et des satyres : entre ces sujets et la plinthe, desbandes jaunes ornées de guirlandes et de dauphins alternent avec desbandes bleues sur lesquelles figurent des paysages égyptiens. I04 POMPKI Sur les murs 4 . dans lépaisseur des cintres, des stucs relevés pardes fonds
RM2AFM0BY–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. II SYPHONIA Usines SCHLŒSING Frères&C .-Marseille Plusieurs fois : Membres du Jury — Hors Concours I* Y ife iiL 1.1 : H II i.oi: Ci Emulsion insecticide contre la Pyrale, la Cochylis, lEudemis et tous les parasites de la vignehivernant sous les écorces et les échalas et sur tous les arbres fruitiers, etc. BOUILLIE BORDELAISE SOUFRES PRÉCIPITÉS SCHLŒSING OO SCHLŒSING Demander Notices et Brochures explicatives envoyées franco.. FABRIQUE SPÉCIALE DARTiCLES DE CAVE Machines à rincer, boncher et capsnierPorte-bouteilles «S: é
RM2AN695D–Histoire de l'art dans l'antiquité: Égypte, Assyrie, Perse, Asie Mineure, Grece, Etrurie, Rome . essées lesunes contre les autres, cest le Campo-Santo de certaines villes Ma-liennes, celui de Naples par exemple !. Là vous avez aussi plusieursétages de façades funéraires en saillie, appliquées contre la pente raidedune colline dans les flancs de laquelle sont creusées les fosses. Nousne prenons pas comme point de comparaison les cimetières de Constan-linople ou le Père-Lachaise, parce (pie les arbres ne pouvaient poussersur le roc, dans la partie haute de la nécropole; pourtant les lombessituée
RM2AMYT9K–Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . s arrosé par un grand nombre de ruisseaux et de fleuves (). Les bois ysont si épais, les arbres si pressés les uns contre les autics, quon ne peut y pénétrer : ils sont remplisdanimaux féroces de toutes sortes. Les arbres et les fruits croissent deux-mêmes, sans cultiue : les fruits sont excellents, très-abondants. () L.1 plupart des voyageurs du moye
RM2AFYBE9–. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. e Phoma ahietina nest pasactuellement un parasite dange-reux. Les arbres les plus atteintsprésentent seulement 5 ou 6 tachessur des branches dont le diamètrene dépasse pas lépaisseur dudoigt. Daprès ce que lon sait deson évolution en Bavière et dansles Vosges, il ne semble pas des-tiné à prendre une grande exten-sion. La dernière cause de la maladiedu rouge partiel que jai obser-vée est ÏŒcidmm elatinum : cestun champignon parasite du groupedes Urédinales ou Rouilles, qui provoque, on le sait depuis longtemps, lesdéformat
RM2AM7R3D–Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . Autre vue du cap Ilorn. — Daprès Wilkca. (> daroit a .le la.-.cur, en .(uclques endroits, deux lieues; en dautres, trois; en dautres, quatre, etune au moins. Il est Ibrl froid, nétant guère sans verglas, neiges ou gelées : néanmoins les arbres y sonttoujours verts et il y a sous ceux-ci grande quantité de bonnes herbes ou plantes, qui produisent d
RM2ANH2CW–Histoire de l'art pendant la Renaissance . ndres), ont, comme ceux dePisanello, encore quelque chose darchaïque; aussi sans laide des dessinsaurions-nous de la peine à deviner ce que lesprit du maître vénitien ren-fermait dinitiative, de fraîcheur et de poésie. Tenons-nous-en à cette meilleurepartie de lui-même. Lanimalier, comme on dirait aujourdhui, est doublé dun paysagiste à la foistrès personnel et très habile. Jacopo affectionne les paysages dautomne oudhiver, les arbres dénudés, la nature qui sommeille. Il y a un charme tout par-ticulier dans ces plaines soigneusement cultivées, avec le
RM2AXBCAP–Les metamorphoses d'Ovide : en latin et en françois . OrplipV mLs eu pièces parles Dames de TliraeeLejfmieilles Wenit metamorpliofees eii Ai4>res lUDifférentes efperes ,. LES ÉTAMORPHO SES D^OVIDE, LIVRE ONZIÈME. FABLE PREMIERE. Orphée mis en pièces par les Bacchantes. U R P H É E attiroit ainfi, par la douceur de fon chant, lesanimaux, les arbres & ]es rochers, lorfque les femmes deThrace, couvertes de peaux de bêtes féroces , lapperçurentfur le Mont Rhodope, qui accordoit fa Lyre au fon de faTomsIIL j^^ 282 METAMORPHOSEON. LIE. XI. Orphea, percuflls fociantem carmina nervis. E quibus una,
RM2AM244X–La Terre-Sainte; voyage dans l'Arabie pétrée, la Judée, la Samarie, la Galilée et la Syrie . vejoyeuse qui se déroule sous nos yeux au sortir deJérusalem, la ville ruines? Mille ileurs étalentleurs bouquets et répMiidenl leurs parfums. Nous re-marquons de charmants œillets sauvages de couleurviolette, qui nous rappellent les élégantes fleurs rus-tiques aimées de la reine Claude et si commune- enTouraine sur la lisière <<< Meurs jaunes sans nombre: les oliviers et lesfiguiers, aussi vigoureux quen aucun lieu de la Pa-lestine. De tous côtés les arbres y balancenl leurspanaches verdoyan
RM2AJJ64P–Au Kilima-Ndjaro . arche péniblement, sécarte et sarrêtepar instants : celui-là a été touché. Dans une courseeffrénée, je réussis à le séparer complètement du trou-peau, et alors marche! marche! Pendant près duneheure, jessaie sans le moindre succès darriver à uneportée convenable jusquà ce que, enfin, lanimal sengagedans une partie du désert où les arbres sélèvent moinsespacés. Derrière lun deux jarrive à me dissimuler unpeu, et de guerre lasse, jenvoie au zèbre qui est là,debout, ma dernière balle. Dans un galop furieux, la bêtepart, fait 200 mètres peut-être, et tout à coup disparait,Quest-
RM2AXBN3Y–Ancient and modern pictures, important works of the French, English and Dutch schools = tableaux anciens et modernes, oeuvres importantes des ecoles française, anglaise et hollandaise . RIBOT 129. La marchande de fleurs. The Flower Girl.. -I.oj&tap COLLECTION COTTIER 43 PAAL (LOUIS DE) 127. Les Ramasseuses de bois. Wood-gatherers. Dans la forêt, deux femmes ramassantdu bois. A travers les arbres,les lueurs du couchant.Signé à droite : L. de Paal. TOILE. Haut. 54 ^e«/., Larg. 8i cent. A forest with two women gathering wood.Through the trees the beams of tlie CANVAS. Height 21J inches, Breadth 3
RM2AG18PE–. L'arbre, la forêt et les pâturages de montagne; manuel de l'arbre pour l'enseignement sylvo-pastoral dans les écoles. r obéir à sessages prescriptions. Celui-ci rappelle la nais-sance du roi de Rome. Celui-là est un arbre deLiberté élevé sur la place pubhque pour com-mémorer les anniversaires républicains. larbre dans lenclos familial. Il faut soigner aussi les arbres de lenclosfamilial : ils assainissent lair à lentour delhabitation ; ils légayent du chant des oiseauxet parfois lemplissent du parfum de leui-s fleurs. Les arbres fruitiers du jardin et du vergerméritent surtout des soins atte
RM2AN4MA2–L'illustration : journal universel . lus detrois cents peuvent se jouer en-semble dans ses belles eaux.Entre les arbres qui croissentsur ses bonis, sont dressées depetites cellules à lusage desbaigneurs; uni journée passéeau château du bois, est une deces récompenses que tous les élèves attendent avec une vive impatience, et, dont ils ne per-dent jamais le souvenir. Quelques-uns dentre eux se trou-vent-ils fatigués au retour, dos calèches, dés chars suspen-dus leur sont offerts. « La rentrée des pensionnaires en ville, dit lauteur desSouvenirs de Fribourg, est trop solennelle pour la passersou
RM2AWDJMF–Madagascar : les bois de la forêt d'Analamazaotra . us de 20 mètres de haut. Lespèce Dalhergia ikopensis Jum. (antérieurement Dalhergia Perrieri Jumelle)connue sous le nom de Manary se plaît principalement dans les forêts sèches du hautbassin de la Betsiboka et de lIkopa et peut atteindre des dimensions plus grandes que laprécédente. Enfin H. Bâillon a encore donné des planches représentant D. purpurascens U. Bn.,D. Bernieri H. Bn., et D. Richardii H. Bn. Les bois fournis par les arbres du genre Dalhergia et de quelques autres Légumineuses-Papilionées voisines des Dalhergia, sont caractérisés
RM2ANHB66–Encyclopédie méthodique : Histoire naturelle . font de longueur moyenne. H E X 77 Lesjaittbes antérieures ont trois dents latérales alTezgrandes ; les autces jambes ont des poils courts 6croidcs. Les tarfes font filiformes , & compofés decinq article, dont les quatre premiers , un peuplus gros à leur extrémité , font terminés par troisou quatre petites épines. Les Hexodons fréquentent les arbres , les atbrif-.fcaux , & fe nourrident de leurs feuilles. Nous igno-rons sils font auffi nuiûbles , & sils fc multiplientautant que les Hannetons : à en juger par lappareilde leur bouche, également muni
RM2AFYA6M–. Histoire des arbres forestiers de l'Amérique septentrionale, considérés principalement sous les rapports de leur usages dans les arts et de leur introduction dans le commerce ... ; lobîs acu-mînatis , dentatis ; axillis nervorum vîllosis. De tous les arbres de TAmérique Septentrionale,on nen connoît jusquà présent aucun qui croissedans une étendue de pays aussi considérable que leLiquidambar styraciflua. En suivant les Côtes delOcéan, on commence à lobserver au Nord-Est,entre Portsmouth et Boston , latitude 43°. 3ojon continue ensuite à le trouver , vers le Sud-Ouest, jusque dans lancien Mex
RM2AM60XD–Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . du veau. Les Taîliens ont aussi des chèvres vivant à létal sauvage, et des lapins. {) Elles sonl très-nombreuses, et se juchent sur les arbres fruitiers. {) Ajoutez le héron, le marlin-pêclieur, le gros coucou, etc. POPULATION TAITIENNE. 307 Ils 110 nourrissent leurs codions et leurs volailles quavec des bananes. Entre ce qui en a été consommé -dans l
RM2ANHR40–Madagascar : les bois de la forêt d'Analamazaotra . 1 HhHbHp ir*înSa!!lr1l|M 1 1 lia 1 ïiBwl Na 1 laW ^J Hiftinl^i .?U m ..sir- lit f)P Ill>i»f1 ^liiif .SoclK.n IrsiMîv.i-^nle. (; nt : HOdifiiii. Section longilucïhmle InnKenlîello, Oi^wisseiiient : 3(1 dii Nuxia coriacea Solered.(Loganiacécs). tMl. CATALA FRIRKS, PARIS. CHAMAME!.. IDITEUR. SAPOTACÉES Les bois fournis par les arbres de la famille des Sapolacées sont habituellement connuspour leur forte densité et pour leur dureté exceptionnelle. Nous citerons seulement lesbois de divers Bassia (Illipe), Palaquium, Sideroxylon, Bumelia, Chiy
RM2AWDRYJ–Madagascar : les bois de la forêt d'Analamazaotra . vensara Lastelliiïl. Bn. Tavolo ou Tavolomalama : Thouvenot, n° 90 : R. ferruginea P. Danguy. Tavolo; R. crassifoUa P. Danguy. — Cryptocarya crassifoUa Baker. Tavolo ( à feuiUes rondes).Thouvenot, n* 87 et 89 ; R. latifoUa P. Danguy, Tavolo (à grandes feuilles). Thouvenot. n 85 : R. ovaUfoUa P. Danguy. Tavolo, Thouvenot. n° 72 : R. cryptocaryoides P. Danguy. Tavolo, Thouvenot, n° 64 et 100 ; R. anisataP. Danguy. Havozo, Thouvenot, n° ti6. Les arbres connus sous le nom de Tavolo comptent au nombre des plus répandus etdes plus estimés dans les
RM2AJ421J–Journal d'horticulture pratique de la Belgique, ou Guide des amateurs et jardiniers . te simplement à combattre les effetsdu rayonnement nocturne et à arrêter laction fatale dungrésil fouettant : ces deux causes principales de linsuccès dela production de fruits sur les arbres à noyaux cultivés enespalier. Pour faire comprendre la théorie du rayonnementsur laquelle se base lapplication des abris, nous indiqueronspar la ligne AB le mur de lespalier,et BC la surface du sol. Or, quand lerayonnement a lieu (cest-à-dire lorsquela terre perd une certaine quantité dechaleur), la chaleur sélève de la
RM2AXEYTC–Ariane et Barbe-bleue : conte en trois actes . -Les autres femmes les suivent, les imitent; et tontes se pressent ainsi dans laveuglante nappe de clarté qui les force àbaisser la tête. Il y a alors un instant de silence ébloui, durant lequel on entend au dehors le murmure d> la uier, les caressesdu vent dans les arbres, le chant des oiseaux et les clochettes dun troupeau qui passe au loin dans la campagne . P™P éJ * m g^l^pB^S^ffiffi^^W 137. # m.d. m. d.AL g- >«•#•
RM2AM7RBN–Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . ue du ca|i llurn. — Daprcs Wilkes (Aairalive ofUie Viiilal-Slates cxploring expédition),. Autre vue du cap Ilorn. — Daprès Wilkca. (> daroit a .le la.-.cur, en .(uclques endroits, deux lieues; en dautres, trois; en dautres, quatre, etune au moins. Il est Ibrl froid, nétant guère sans verglas, neiges ou gelées : néanmoins les arbres y sonttoujours
RM2AJC562–Revue générale des mati`eres colorantes et des industries qui s'y rattachent . sur le chariot, de la terrasse, ce qui lui permet depasser du brin supérieur au brin inférieur de lachaîne. Les arbres 6 b peuvent recevoir des vitesses dilléientes afin de modifier lallure du chariot selon les besoins. DIVERS. — Foulon cylindrique à cylindres. niuniis de contrepoids [Ke7itmerich] (b. f. 290G75, 8 juill.-28 oct. 99). Revendications : Dans les foulons cylindriques : 1° Le dispositif consistant à charger les cylindres supérieurs /de poidscurseurs 10, j)Ouvant être déplacés parde(haines au moyen des vo
RM2AKG31A–Nouveau dictionnaire encyclopédique universal illustré : répertoire des connaissances humaines . , mort le (î janv. 178(1. Dès 1740,il visita la Chine et la Cochinrhine et fut faitprisonnier par les Anglais. En 1749, il fondaun comptoir à Fai-Fo et importa à lîleBourbon et à lîle de France les arbres àépices des Moluques. Nommé gouverneurdes îles Mascareignes en 1767,il y introduisitle giroflier, le cacaotier, le manguier.larbre à pain, la canne à sucre, etc. Il alaissé : Voyages dun philosophe, ouvrage quieut beaucoup de succès. * POIVRÉ, ÉE part, passé de Poivrer. Assai-sonné de poivre. — Vo
RM2AXJ0X1–La Sibérie d'après les voyageurs les plus récents . lil-lustre victime. Pour dissiper nos tristes impressions , nousfîmes une excursion vers les rivages de lIrtyche.Les eaux qui avaient débordé dans la plaine pré-sentaient le plus magnifique coup dœil ; nous nenous lassions pas dadmirer le ciel qui projetaitdes rayons lumineux sur cette surface limpide.Avant de rentrer au logis, nous voulûmes visiterle jardin public, qui ne manque pas dune certaineélégance; les allées en sont sablées et plantées debouleaux ; mais les arbres navaient point encorede feuilles, et nous remîmes à plus tard une a
RM2AX7TWY–Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . s deaumexicains, arrose ladmirable vallée, dont laltitude moyenne est de1550 mètres, hauteur où les arbres des deux zones sentremêlent de lamanière la plus variée. Une des principales industries dOaxaca est lex- 1 Valeur des échanges à Acapulco en 1886 : 3 925 000 francs. Mouvement de la navigation à Acapulco en 1887 : 165 navires, jaugeant 328 865 tonnes. 2 Du Petit Thouars, Voyage autour du Monde. 3 Alex, de Humboldt, Essai politique sur la Nouvelle-Espagne. 4 Orozco y Berra, Apuntes para la historia de la Geografia en Mexico. 220 NO
RM2AKX63P–Histoire générale des voyages, ou, Nouvelle collection de toutes les relations de voyages par mer et par terreposées sur les observations les plus autentiques ... . e de Raves de Sicile. La partie verte des Na-vets leur paroiffoit plus agréable que les racines mêmes, qui étoient fou-vent cordées. Ils trouvèrent aufli beaucoup davoine Se de trefîle. Les arbres achoux excitèrent peu leur friandife , parce quétant prefque toujours fur lebord de quelque précipice , ou dans dautres lieux efearpés , il failoit cou-per un arbre entier pour avoir un feul chou. En général la douceur duClimat Se la bont
RM2ANCY6F–Éléments d'archéologie chrétienne . VOUTK DU MAUSOLÉE DE SAINTE-CONSTANCE dans cette même chapelle, dans le vestibule des Flaviens àDomitille, dans la catacombe de St-Janvier à Naples ; tantôtdes vues perspectives, semblables à celles de la maison ditede Livie au Palatin. Dans un arcosole du cimetière de PEINTURES DÉCORATIVES ET AI^LflCORIQUES. 2/3 Domitille, on voit une ferme avec des arbres et tous les détails(le la campaj^ne romaine aux I et II« siècles. Souvent la décoration a pu avoir une signification allégo-rique : ainsi les arbres, les fleurs, les jardins, pouvaient repré- iê. CHAPELLE
RM2AGAFCE–. Le Jardin des plantes : description. SUISSE. 141 Il va sans dire que moi aussi je me (lirii;cai le plus promptcmcntpossible vers la scène du combat. Au bout de dcuv: minutes, japerçusentre les arbres Jack, qui savançait en boitant, soutenu par Ernestet Fritz. Quand ils furent ])rès de moi, .lack, sétant arrêté, com-mença à se tàter tous les membres en i;éniissant et en pleurnichant.En plus de vingt endroits il dit : « Jai mal ici, et ici, et ici ; je suismoulu comme un grain de poivre. » Je me hâtai de le déshabiller pour lexaminer; mais jeus beau leregarder et presser tous les endroits, je
RM2AJ06AR–Dictionnaire de la Bible ... . e dÉléazarfut entièrement défaite; il nen resta donc plus quedeux, celle de Jean de Gischala, retranchée dans lesfortifications du Moriah et de Bézétha, et celle de Simondans les forteresses de la colline occidentale. Titus com-manda découper tous les arbres au nord de la ville, etdy préparer le terrain pour lattaque, puis il disposales machines de guerre près des remparls. Le 31 mars,lenceinte construite par Agrippa (voir iig. 2i9) céda auxcoups répétés des béliers. Le général romain, maître dela ville neuve, de Bézétha, y transporta son camp, surle lieu que lon
RM2AGDB7W–. Le Jardin des plantes : description. er ne serait ((uiinleo|iai-<l; nous naurions jamais possède, ni au cabinet ni à laménagerie, de véritable panthère, et elle n aurait même jamaisété figurée. Voici, selon lui, en quoi elle diUere du leopard : saqueue serait aussi longue que le corps et la léte pris ensemble,etcomposce de dix-huit vertèbres, tandis (pie celle du leopardserait de la longueur du corps seulement, et composée de vingt-deux vertèbres; la tète de la panthère aurait le crAne plus ai- les voyageurs, elle monte avec beaucoup dagilité sur les arbres,pour poursuivre les singes et l
RM2ANJ3K6–L'agriculture et maison rustique; en laquelle est contenu tout ce qui peut estre requis, pour bastir maison champestre, nourrir & medeciner bestiail & volaille de toutes fortes, dresser iardins ..entretenir les prez, viuiers & estangs ..Plus vn bref recueil de la chasse & de la fauconnerie . DE LA MAISON RYSTICLyE. 5^ monter amont les arbres par voye pour feruir de pieux,& deperches à treille,& le plus dormeaux que pourrez mettre envoftrehaye, & aux autres qui feparerotit lemefnager, &leslegumesfcra le meilleur, pour fagottage tous les ans à fin deles faire grofsir, & aufsi pour le marrain de
RM2AN7W1G–A travers Paris . PASSÉ MINUIT (Nouveaux boulevards) Il sagit dun grave problème. — Le tarif de nuit est-il applicable quand on arrive à domicile après minuit et demi, ou bien est-ilnécessaire que le cocher ait été pris après cette heure pour avoir le droit den réclamer le prix? Dans la circonstance actuelle, le cocherprétend le contraire, le bourgeois affirme quil ne doit que la course ordinaire, les agents sont dans une extrême perplexité, et la partieféminine du chargement du fiacre se morfond en attendant la solution du conflit.. LES ARBRES SE PROMÈNENT (Nouveaux boulevards) Quand on habit
RM2AKJYCC–Contes en vingt lignes . més. Tous deux se taisaient. Lamour passait dans le jardin, léger, entre lesanémones, les phlox et les œillets. Eux seuls enten-daient le frôlement de ses pieds nus. Mais les arbres enfiévrés, certain soir, devin-rent pourpres, le sang coula du haut de la montagne etla femme retourna vers la ruine. Le long du fleuve, au loin, cétait un bouillonne-ment fauve et des voix tumultueuses qui montaient. Elle eut peur et sentit se détacher delle le torsepuissant qui la soutenait. « Adieu ! » dit 1 Eté, et il disparut. LAutomne fou hurlait à. traves les vignes et lafemme croisa
RM2AN4D3F–La Lecture . Je disais des vers sous les arbres du boulevard de la Reine. (Page 415.) il comme lui, un être penche sur du papier à en-tète officiel efpas-sant ses journées à copier dès lettres à fornmles toutes faites quecontresignait Monsieur le maire ou Monsieur ladjoint. Pauvrepère ! Non je ne consentirais jamais à user et hàiller mes joursdans un bureau : javais soif dair, despace, daventures. Jauraisété marin si je navais été acteur. Acteur ! Quand je parlais de mcinter sur les planches et demefaire comédien, ma mère, fort dévote, se signait, et mon père sedemandait quel affreux bohème il
RM2AFYRPN–. Histoire des arbres forestiers de l'Amérique septentrionale, considérés principalement sous les rapports de leur usages dans les arts et de leur introduction dans le commerce ... opriété qui puissele faire rechercher pour certains usages déterminés :il en résulte que le Magnolia acuminata ne peutêtre considéré que comme un arbre fort agréable, àcause de la beauté de son feuillage et de ses fleurs,et parce que, comme toutes les espèces de ce genre,il les produit lorsque les arbres sont encore très-jeu-nes. Comme le Magnolia ^lauca^ il ne souffre aucu-nement des froids quon éprouve en hiver, d
RM2AKHNBH–Nouveau dictionnaire encyclopédique universal illustré : répertoire des connaissances humaines . ur le diner dunedemi douzaine de personnes. Ils nagent,plongent et volent bien, et se perchent sansdifficulté sur les arbres. Le pélican blanc [peli-camis o»ocro<(i/((s, Linn.) mesure de 1 ni. 6oa 2 m. de long, et de 3 m. a 3 m. 30 den-vergure; sa couleur générale est blanche;celle de sa poche est jaune. On le trouve dansle S.-E. de lEurope, en Asie, en Alrique; ilvient quelquefois jusquen Allemagne, maisrarement jusquen France. Le père et lamère nourrissent leurs petits en dégorgeantla nourritu
RM2AGBXJJ–. Le Jardin des plantes : description. nd avec un courage furieux. Le Loir du Sénégal {.l/yojus Coupeii, Fr. Cuv. Myoxus africa-nus, SiiAW.) est plus petit que notre hVot ; les pattes sont blan-châtres, les oreilles un peu ovales; son pelage e.-t dun gris clair, Le Loir de Sicu.e [Mijoxus Siculœ, Less. Musculus frugivorns.Raf.) a les oreilles nues et arrondies; la queue cylindrique, ci-liée et brune; son pelage est dun roux brunàlre, parsemé delongs poils bruns en dessus; le dessous est blanc. Il habite laSicile, où les habitants esiiment beaucoup sa chair, et il nichesur les arbres. Il appart
RM2AKPWAE–Voyage au Trombetas, 7 août 1899-25 novembre 1899 . . hommes, ici dans cette terresauvage ilit ennemis. Cest alors la flèche empoisonnée lancée île la rive, cestla surprise pendant le sommeil, cest souvent le naufrage du canot et la mortpour nous tous. Nous descendons à terre, nous cherchons avec le plus grand soin et nevoyons ni chemin, ni trace de pas, ni branche cassée. Bien convaincus quecest une ancienne habitation, une tapera, que derrière les arbres de la rive, ilny a rien, toutes les figures séclairent et nous continuons joyeusement notrechemin. 7S VOYAGE AU TROMBETAS. Nous passons une
RM2ANHAM7–Madagascar : les bois de la forêt d'Analamazaotra . i - c » ëS ?a > c i o G CARACTÈRES PARTICULIERS DES FORÊTS DE MADAGASCAR lS Les arbres sont les mêmes que ceux qui peuplent les forêts des basses et moyennes alti-tudes, mais certaines espèces y prédominent : Weinmannia, Elaeocarpus. Rhus notam-ment. Le genre Podocarpus, qui apparaît vers 700 mètres dans la formation précédente,prend un grand développement dans certaines régions des hautes altitudes. Les arbres ont diminué de taille. Ils ne dépassent guère 9.0 à aô mètres de hauteur. Lesous-bois est riche en plantes herbacées et subherbac
RM2AJ7KR5–Le quincaillier (Juillet-Decembre 1905) . iauds accpiiert de longues toi-soiis blanches dans les regions glacia-les. Cest ainsi que les arbres geants se(iiitivent ailleurs dans des ])ots aIicurs. Question de milieu, (rambiance,dacclimatement. On vient detudi(yr,en ce sens, le changement di; caracteredu ble. Certain ble, pris dans rAllemagne(hi sud et ayant pris les habitudes sai-sounieres de ce ])ays. fut seme dans lesregums froides de la Scandinavie. La,de i]nx choses Ium;, ou le ble devaitinourir avanl davoir atieint sa matuii-!(- et par conscHpunt luouiir sans pos-Urite, ou bicii il devait
RM2ANJ3YJ–Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . a à O — — q; CLIMAT ET FLORE DE LA MANDCHOURIE RUSSE. 857 se mêlent les arbres feuillus, non seulement le bouleau russe, mais aussiles chênes, les ormeaux, les charmes, les frênes, les érables, les tilleuls,les trembles, et parmi ces arbres il en est qui sélèvent à 50 mètres dehauteur et dont le tronc a plus dun mètre dépaisseur. Dans la partie mé-ridionale des campagnes de lOusouri et sur les pentes du Soukhote-alin,les bois feuillus lemportent sur les bois à aiguilles persistantes. Les lianesde la vigne sauvage sentortillent aux tron
RM2AXF6DC–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . fusain qui nous reste desa première œuvre de Paris, La mare aux grenouilles, il voulaitobtenir son effet principal — la sensation de solitude, dabandon —par la réflexion dans la mare des chênes placés juste au point central.Nous pouvons déjà voir dans cette esquisse avec quelle sûreté puis-sante il savait rendre la transparence de leau tranquille, où se reflètentle ciel et les arbres et arbrisseaux dalentour; cétait de leau, ayantde la couleur, qui en reçoit et qui en donne. A cette époque-là, lesmaîtres français soccupèrent beauc
RM2AKR82A–Les arts dans la maison de Condé . grande Cascade à la tète dugrand Canal». Des orangers ornèrent lîle parallèle à la pi-îiirie ; un verger montraitplus loin les arbres fruitiers les plus variés. En 177i, on construisit le Hameau ; il fui inauguré pendant le court séjour que le LOUIS-JOSEPH, PRINCE DE COXDE 113 prince de Condé fit àChantilly, à loccasion des fêtes de Pâques, au mois davril 1773 :« Le 16, jour de Pâques, Son Altesse Sérénissime a conduit M^le duc (de Bourbon» etla compagnie au Hameau, pour leur en faire voir les appartements, bien décorés, sousdes couvertures de chaume » (Toudo
RM2AGANYH–. Le Jardin des plantes : description. dans r//i.v(oirf naturelle do Blumenbach, publiée enAllemagne. LE ROBINSON SUISSE. Rn bètcs (If nous suivre. Fiilz fut obligé de rester avec lonagre jusquàce que nous fussions tout ii fait hors de leur vue el cachés derrièreun buisson. Alors il sauta légèremcut sur son cher Leichlfuss, laissales colons à labandon, el nous eut bientôt atteints au salop. IVous dirigeâmes nos pas vers le bois des Singes, que nous avionsaperçu de loin ; mais bientôt il disparut à nos yeux derrière un autrebois situé plus près de nous, et dont les arbres très-élevés nous déro-
RM2AMY21D–L'illustration : journal universel . le,dans son poème desJanliiis, ne pouvaitoublier ce séjour fée-rique. On ne laccu-sera certes pas da-voir abusé du droit dhyperbole poètes, car il a exprimé son aune froideur toute didactique iêtre attribuer à lantipathie qile fondateur : Jen atteste, 6 Moueeaux, tes jardins toujoursverts; Là, (les arbres absents les liges imitées. Les magiques berceaux, les grottes enchantées. Tout vous charme à la fois. Là, bravant les sai-sons, La rose apprend à nailre au milieu des glaçons; Et les temps, les climats, vaincus par «les pro-diges, Semblent de la féerie épu
RM2AGDWXP–. Le Jardin des plantes : description. sectes, et lon dit même de fruits. La moufette est privée de lafaculté de grimper sur les arbres, si lon en croit nos natura-listes, (pioiipie beaucoup de voyageurs disent le contraire, aussiest-elle moins ilangeniise (|ue les marlis et les ]iiit(iis jninr lesbasses-cours, où elle ne peut pénétrer cpie dilliciliiiicut; maisquand par bonne fortune elle peut sy glisser, elle f.ùt les mêmes table, quelle exhale à vohinté. La li(pieur qui la produit estépaisse, jaunâtre ou venhilre, seudilable à du pus, renferméedans deux grosses glandes enlounes de muscles p
RM2AWDM76–Les Bellini : étude critique . lieinlurc (iiiliciiiic si elle iTaxail pas eu d aulrcs iiiilia-Icurs (juc les iarini? Si elle srlail mue. loLil au lonu(lu sitck, dans le eadre resLreinl des laljleaux daulel,si elle naAait eu daulre but (|ue dorner léglise, si ellelien élail pas sortie pour eourir le monde, sielle navait décrit la. ville et la campagne, les nobles et lesmanants, les bètes, les arbres, les collines dItalie et jus-(juaux minarets dOrient ? Ce(|ui distingue, en eltet, Tari desBellini, cest son univer-salité. Ils naccueillent pas seulement les influences exlé-lieuics, ils se
RM2AXBP0C–Les metamorphoses d'Ovide : en latin et en françois . emple dunepaflion déteftable. Sur la Montagne, oh Orphée avoit choifi fa retraite, étoitune belle plaine toujours couverte de gazon , mais qui né-toit ombragée par aucun arbre. Dès que ce divin Chantresy fut aflîs, & quil eut commencé à toucher les cordes defa Lyre , les arbres dalentour fenfibles aux doux fons quellerendoit, y vinrent en foule, les Chênes, les Cormiers , lesTilleuls, ks Hêtres, les Lauriers, les Coudriers, les Frê-nes , les Sapins, les Yeufes, les Planes, les Erables, les Sau-,les, les Lotos , le Buis toujours verd, les Br
RM2AWKEB7–Histoire de l'art pendant la Renaissance . ience au milieu des prés. Il ne se pas-sait pas de jour sans quil se fit porter à travers les bois : les membres de lacurie le suivaient; en route on soccupait ensemble, des affaires publiqueset des affaires privées. Vers le soir, le pape se rendait dans un endroit peuéloigné du monastère et doù lon pouvait apercevoir les champs couverts deblé; il sy asseyait avec les moines et sy livrait à dagréables causeries. Onéprouvait une rare volupté : tandis que dans la vallée le soleil avait tout brûlé,que les arbres se desséchaient au milieu des champs altér
RM2AG7RBJ–. L'art chrétien primitif. e nest pas encore le cas, semble-t-il,au cimetière de Prétextât. De même, nous aurons à examiner bientôt des paysagesoù le christianisme a mis sa marque, où tous les détails, àpeu près, ont une valeur symboUque; mais gardons-nousde généraliser. Tenons compte des époques. Il est, au fonddun cubicule de lhypogée des Elaviens (i^r siècle), un pay-sage où se reconnaissent, parmi les arbres sacrés, parmi leshermès et les colonnettes servant dautel, les apprêts dunsacrifice i. De semblables représentations ont été trouvéesdans des maisons privées du temps dAuguste. Cette f
RM2AGDX5K–. Le Jardin des plantes : description. f.ibare et enrlos des Gazelles de lAlgérie. darbre et des fentes de rocher; ils nen sortent quaprès le so-leil couché i)our aller faire la chasse aux mulots et auK autrespetits mammifères, aux oiseaux, dont ils aiment beaucoup lesœufs, el à une foule dautres petits habitants des bois, dont ilsfont un grand carnage. Faute de mieux, ils se nourrissent diii- J^l- , fx*»». sectes, et lon dit même de fruits. La moufette est privée de lafaculté de grimper sur les arbres, si lon en croit nos natura-listes, (pioiipie beaucoup de voyageurs disent le contraire, aus
RM2AX7TEY–Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . age de Santa Maria del Tule ou « des Roseaux ». Les arbres de dimensionscolossales ne sont pas rares dans la région, mais cest autour du plus granddentre eux, jadis tenu pour sacré, que se sont disposées les maisons duvillage. Cest un sabino ou « cypre » (taxodium mucronatum) que lon 1 Viollet le Duc, Préface de Cités et Ruines Américaines, par D. Charnay. 2 F. Pimentel, Cuadro descriptivo y comparativo de las lenguas indigenas de Mexico. 222 NOUVELLE GEOGRAPHIE UNIVERSELLE. croit être larbre le plus gros du monde entier : du moins na-
RM2AGEA1C–. Le Jardin des plantes : description. eri, Is. Geoff.)est voisine de la précédente, mais elle en dirtêre par la couleurbrune de la gorge et du devant du cou ; le ventre et le dos sont rées quelles obscurcissent lair de leurs grandes ailes, qui ontquelquefois six palmes détendue. Elles savent discerner, danslépaisseur des bois, les arbres dont les fruits sont mûrs; ellesles dévorent pendant toute la nuit avec un bruit qui se fait enten-dre de deux milles, et, vers le jour, elles retournent dans leursretraites. Les Indiens, qui voient manger leurs meilleurs fruitspar ces animaux, leur font la g
RM2ANC210–Gazette des beaux-arts . n sont deux pièces magistrales.LYssel au clair de la lune signé du monogramme : a fait partie de la galerie du palais de Varsovie, sous Auguste, électeurde Saxe, roi de Pologne, dont le sceau se trouve derrière le panneau.Cest le Van der Neer classique et typique, avec son inévitable lune dontles rayons brunissent le paysage et font étinceler çà et là les arbres, leseaux et le pelage des bêtes attardées dans la campagne. Le Van Goyen,Nimègiie, est signé et daté : Vaste toile, composition très-importante. La ville sélève à droite,dominant le fleuve sillonné de barques e
RM2AXF47F–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . des de forêt à Dus-seldorf un autre schème, lorsquil composait en premier lieu par larrange-ment de lumière. Les arabesques sont créées par 1 éclairage qui tombecie derrière parmi les arbres. Dordinaire, la lumière est située au centredu tableau ; des deux côtés, des taches de couleurs apparaissent, endes transitions délicates, formant des masses légèrement fondues lesunes dans les autres. (Fig. 66.) Pas de ligne qui tranche ; seule la dis-tribution des taches domine. Cest par sa mobilité, par son animation 18 138 LA NATURE. drama
RM2ANEDC3–L'illustration : journal universel . vais, à trente lieues à la ronde; mais aumoins on voit les vaches qui le produisent. —Et puis après une bonne journée, bien calme,bien paisible ; après une bonne promenade alombre des grands bois, lorsque lon a eu toutela journée le délicieux spectai le de belles prai-ries, de moissons jaunissantes; lorsque lon aaperçu à travers les arbres une petite maisonbien blanche, bien coquette, aux persienncspeintes en vert, aux murailles recouvertes dechèvrefeuille et de vigne vierge, il est impos-sible de ne pas établir un parallèle entre sonsecond éla^e au fond du
RM2AGC39Y–. Bulletin du Muséum national d'histoire naturelle. Le Rat, Correspondant du Muséum (1872-1910). 346 — Contribution à la Flore de la Nouvelle-Calédonie , 34g Fr. Pellegrin. Sur les collections botaniques faites par le Capitaine Peri- quet dans le Haut Logone 357 J. Gérôme. Note sur le polymorphisme des feuilles de YHernandia cordigera Vieil! 36i Costantin. Sur linfluence néfaste des fumées sur les arbres du Jardin. (PI. VI.) 363 P. Hariot et N. Patodillard. Collections recueilles par M. A. Chevalier au Congo français. — Les Champignons de la région Chari-Tchad 364 L. Gain. Note sur la Flore al
RM2AFNXGE–. Catalogue de tableaux anciens des écoles espagnole, flamande, française et hollandaise composant la collection de M. T[hèrye] du Chatelard. différents personnages debout écoulent également. A gauche, dans une contre-nef, des religieux sont assis àun banc doeuvre. Au milieu, sur les dalles de marbre disposées en damier,un chien est assis. Signé au centre, dans le bas. lanneau. Haut., 22 cent.; larg., 27 cent. 1 2. S 12 VAN DAEL ATTRIBUÉ A ? 0 10— Vase de Fleurs. Panneau. HuuL, 60 cent.: lartr., 30 cent. DEKKER (CORNEILLE) Morl en lfil-S. — Le Petit Pont. Abrité sous les arbres qui bordent
RM2AGANEB–. Le Jardin des plantes : description. iiibrc était cette fois-ci incoin)iarablemcnl plusgr.md. Tons les arbres en élaienl chargés, el la qininlili de lieiile 98 LE ROBINSON SUISSE. dont la terre tHait couverte indiquait rlairement (|uils y avaientpassé la nuit. Jen fus enchanté, car je pensai que si nos pièges nenous fournissaient pas une provision sullisante, je pourrais faire en-core une chasse nocturne aux flambeaux, ii la manière des colons dela Vircinie. Je rassemblai donc à la hâte autant de bois sec que jenpus ramasser. Quand je revins à la maison , je trouvai mes enfants dans un belét
RM2AKGEEB–Nouveau dictionnaire encyclopédique universal illustré : répertoire des connaissances humaines . eil un oiseaubien connu dans nos campagnes. Il est hiunen dessus, dun roux vineu.x en dessous chezle mâle, avec deux bandes blanches sur laileet du blanc aux côtés de la queue. Cest unhabitant permanent de nos jardins et de nosvergers, où il niche sur les arbres. Son nid PI.NT de mousse est garni à liiitéiieur de duvet,de crin, etc. La femelle y dépose 4 ou .ï oîufsdun blanc bleuâtre tacheté de rouge brique.Le pinson est familier, gracieux, vif, facile àapprivoiser. Il égayé nos jardins par souchan
RM2AJK0WY–Au Kilima-Ndjaro . n tout, nous trois, le vieux Séliman, leguide et un enfant. Le reste est dispersé là-bas par ledésert, dans les grandes herbes, sous les arbres, au fonddes trous. Puisse leur bon ange nous les ramener àpeu près tous! Nous nous remettons en marche, lun derrière lautre,fatigués, silencieux, les yeux fixés sur le bouquet darbres,où nous devons enfin trouver un peu de fraîcheur et derepos. Le soleil est brûlant, la brise nulle, lair embrasé,le sol nu. Et nous allons, et nous allons toujours... Or,voilà que, subitement, de dessous un misérable mimosaqui se trouve sur notre droite
RM2AKK4E4–Contes en vingt lignes . •:%. POUR UNE FOIS A lentrée dune forêt, un matin de printemps, lA-mitié et lAmour se rencontrèrent. Après un instant de méfiance ils se donnèrentla main. — Que faites-vous ici. Madame ? questionnalAmour. — Le genre humain me fatigue, répondit lAmi-tié et je viens chercher sous les arbres un peu de soli-tude et de tranquilité. ?—• Moi de même, soupira lAmour^ en fermantà demi ses beaux yeux malicieux. Comme ils allaient prendre un étroit sentier, le M vieil Araour, qui se sait partout le plus Jeune, seffaçapoliment pour laisser passer sa compagne. — Non, lui dit lAmiti
RM2ANHNFB–L'agriculture et maison rustique; en laquelle est contenu tout ce qui peut estre requis, pour bastir maison champestre, nourrir & medeciner bestiail & volaille de toutes fortes, dresser iardins ..entretenir les prez, viuiers & estangs ..Plus vn bref recueil de la chasse & de la fauconnerie . erbes o-y^j(,vmtàox2iViQi^cxï veoir les arbres & aibriflcaux«2^^Jjj tant étrangers que domt.fl:iques,qui expirét:—=^ij non feulement vne odeur plus plaifanie ians comparcifonque les herbes, maisencor la plus g âd part di-ceuxapp rtent fruits de grande admiration , comme gtcna-dierSjcitro miers,orengcrs,
RM2AWDN43–Les Bellini : étude critique . lieinlurc (iiiliciiiic si elle iTaxail pas eu d aulrcs iiiilia-Icurs (juc les iarini? Si elle srlail mue. loLil au lonu(lu sitck, dans le eadre resLreinl des laljleaux daulel,si elle naAait eu daulre but (|ue dorner léglise, si ellelien élail pas sortie pour eourir le monde, sielle navait décrit la. ville et la campagne, les nobles et lesmanants, les bètes, les arbres, les collines dItalie et jus-(juaux minarets dOrient ? Ce(|ui distingue, en eltet, Tari desBellini, cest son univer-salité. Ils naccueillent pas seulement les influences exlé-lieuics, ils se
RM2AWGBYT–Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . laisse pousser cette liane au hasard; lim-mense ramure du cep sattache en guirlandes aux branches des ormeaux,des chênes ou des aunes, et revêt dun réseau de larges feuilles, jusquausommet, les arbres de 25 mètres de tige. Les indigènes se gardent biende monter si haut pour cueillir les grappes; ils se bornent à faire la ven-dange des pampres les plus bas et abandonnent le reste aux oiseaux duciel. Que de champs abandonnés, changés en fougeraies! Que de bâtissesayant disparu sous la verdure, et que le propriétaire même ne peut plusreco
RM2AJ41RT–Journal d'horticulture pratique de la Belgique, ou Guide des amateurs et jardiniers . on les enlève en choi-sissant pour cela un temps couvert et humide, afin que latransition ne soit pas trop brusque pour les arbres. Toutefois ce procédé, suffisant pour préserver les arbrescontre un abaissement de température de 1 degré et demicentigrade au-dessous de zéro, devient inefficace contre desfroids de 2 à 5 degrés, qui viennent trop souvent anéantirle produit de nos jardins fruitiers. On doit, dans ce cas, avoirrecours à un abri plus complet, tel par exemple celui dontnous donnons ici le dessin. La
RM2AX6HMM–Histoire de la révolution de 1848 . la fête que ni lui ni aucun prêtre nyassisteraient. Ce refus nétait pas sans gra-vité. Cétait le premier acte dopposition duclergé de Paris depuis lavènement de la Ré-publique, et cet acte émanait dun prélat con-sidérable qui jusqualors avait montré beau-coup de bon vouloir. Nous avons vu que, dès le 24 février ausoir, M. Affre sétait empressé denvoyer augouvernement provisoire son adhésion, et quàson exemple le clergé de Paris avait béni pen-dant deux mois consécutifs les arbres de laliberté. Larchevêque avait décidé égalementque lon irait aux élections ; o
RM2AM7PJJ–Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . este nord-csl ilc rilc Oe Wollaslon, près du cap Honi ().. Iles a bancs de gbcc Ju cnp Horn. — Daprès lAtlas de VaiUanl.(>) Sanuiue of Ik,- simeyrmj iwj<:<j(s nf Adrenture uml Beagle, t. 1, p. 433. ECLIPSE. — LILE MACHO. — VALPARAISO. PILLAGE DLN NAVlUî:. 97 cellents fruits; et quanJ il vente, vous diriez que les arbres semblent tomber du h
RM2AWGER7–Emile; ou, De l'éducation . emenc à cei »5 entretien. ^ „ Je marquai de lemprefTement a« lentendre. Le rendez-vous ne fut» pas renvoyé plus tard quau lende-» main matin. On étoit en été, nous« nous levâmes à la pointe du jour. Il„ me mena hors de la ville, fur une» haute colline, au - defTous de la-„ quelle palToit le Pô , donc on voyoit„ le cours à travers les fertiles rives.„ quil baigne. Dans léloignement,« limmenfe chaîne des Alpes cou-„ ronnoit le payfage. Les rayons du» foleil levant, rafoient déjà les plai-» nés , & projettanc fur les champs» par longues ombres les arbres , les„ coteaux
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