Contes en vingt lignes . •:%. POUR UNE FOIS A lentrée dune forêt, un matin de printemps, lA-mitié et lAmour se rencontrèrent. Après un instant de méfiance ils se donnèrentla main. — Que faites-vous ici. Madame ? questionnalAmour. — Le genre humain me fatigue, répondit lAmi-tié et je viens chercher sous les arbres un peu de soli-tude et de tranquilité. ?—• Moi de même, soupira lAmour^ en fermantà demi ses beaux yeux malicieux. Comme ils allaient prendre un étroit sentier, le M vieil Araour, qui se sait partout le plus Jeune, seffaçapoliment pour laisser passer sa compagne. — Non, lui dit lAmiti

Contes en vingt lignes . •:%. POUR UNE FOIS A lentrée dune forêt, un matin de printemps, lA-mitié et lAmour se rencontrèrent. Après un instant de méfiance ils se donnèrentla main. — Que faites-vous ici. Madame ? questionnalAmour. — Le genre humain me fatigue, répondit lAmi-tié et je viens chercher sous les arbres un peu de soli-tude et de tranquilité. ?—• Moi de même, soupira lAmour^ en fermantà demi ses beaux yeux malicieux. Comme ils allaient prendre un étroit sentier, le M vieil Araour, qui se sait partout le plus Jeune, seffaçapoliment pour laisser passer sa compagne. — Non, lui dit lAmiti Stock Photo
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Contes en vingt lignes . •:%. POUR UNE FOIS A lentrée dune forêt, un matin de printemps, lA-mitié et lAmour se rencontrèrent. Après un instant de méfiance ils se donnèrentla main. — Que faites-vous ici. Madame ? questionnalAmour. — Le genre humain me fatigue, répondit lAmi-tié et je viens chercher sous les arbres un peu de soli-tude et de tranquilité. ?—• Moi de même, soupira lAmour^ en fermantà demi ses beaux yeux malicieux. Comme ils allaient prendre un étroit sentier, le M vieil Araour, qui se sait partout le plus Jeune, seffaçapoliment pour laisser passer sa compagne. — Non, lui dit lAmitié, il nest ici ni hommesni femmes, nous sommes seuls, laissez-moi donc voussuivre pour une fois.