. Les origines : questions d'apologétique . stion ni dhomme ni danlhropo-pithèque. — 5 Cest par milliers ipic (;es silex se rencontrentdans les marnes de Thenay : on ne conqjrend |)as que lhonimcait fabriqué tr>nt dinstruments, tandis ([ue lon conçoit for-lbien (pie des conditions identiques aient produit le même effetsur tant de rognons siliceux. — G On ne voit réellement pas — 27( — «le quel usage ces éclats siliceux auraient pu être pourlhomme : à peine si, clans le nombre, on en peut découvrirqui aient (pielcpie apparence de racloirs ou de perçoirs :parmi les silex naiurellemeut éclaté
![. Les origines : questions d'apologétique . stion ni dhomme ni danlhropo-pithèque. — 5 Cest par milliers ipic (;es silex se rencontrentdans les marnes de Thenay : on ne conqjrend |)as que lhonimcait fabriqué tr>nt dinstruments, tandis ([ue lon conçoit for-lbien (pie des conditions identiques aient produit le même effetsur tant de rognons siliceux. — G On ne voit réellement pas — 27( — «le quel usage ces éclats siliceux auraient pu être pourlhomme : à peine si, clans le nombre, on en peut découvrirqui aient (pielcpie apparence de racloirs ou de perçoirs :parmi les silex naiurellemeut éclaté Stock Photo](https://c8.alamy.com/comp/2CE5TWT/les-origines-questions-dapologtique-stion-ni-dhomme-ni-danlhropo-pithque-5-cest-par-milliers-ipic-es-silex-se-rencontrentdans-les-marnes-de-thenay-on-ne-conqjrend-as-que-lhonimcait-fabriqu-trgtnt-dinstruments-tandis-ue-lon-conoit-for-lbien-pie-des-conditions-identiques-aient-produit-le-mme-effetsur-tant-de-rognons-siliceux-g-on-ne-voit-rellement-pas-27-le-quel-usage-ces-clats-siliceux-auraient-pu-tre-pourlhomme-peine-si-clans-le-nombre-on-en-peut-dcouvrirqui-aient-pielcpie-apparence-de-racloirs-ou-de-peroirs-parmi-les-silex-naiurellemeut-clat-2CE5TWT.jpg)
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. Les origines : questions d'apologétique . stion ni dhomme ni danlhropo-pithèque. — 5 Cest par milliers ipic (;es silex se rencontrentdans les marnes de Thenay : on ne conqjrend |)as que lhonimcait fabriqué tr>nt dinstruments, tandis ([ue lon conçoit for-lbien (pie des conditions identiques aient produit le même effetsur tant de rognons siliceux. — G On ne voit réellement pas — 27( — «le quel usage ces éclats siliceux auraient pu être pourlhomme : à peine si, clans le nombre, on en peut découvrirqui aient (pielcpie apparence de racloirs ou de perçoirs :parmi les silex naiurellemeut éclatés, nous en avons recueillisouvent dont lusage eût été plus profitable h lhomme queceux de labbé Bourgeois. — 7 Jamais trace de corps humainna été découverte dans le voisinage pour confirmer lexistencesi discutable de lhomme à cette époque. Ne sait-on pas eneflel que les ossements humains les plus anciens ne remon-tent pas au delà du quaternaire moyen? Concluons, non seulement que la présence de lhomme dans. Fig. 03 il 92. — Silex tertiaires trouvés près de Lisbonne. le miocène nest pas prouvée, mais encore que le contraireparaît solidement établi : car il nest pas croyable que desrestes abondants neussent pas été trouvés dans la suite. Plus haut, dans le miocène supérieur dOifa (vallée duTage), Riheiro (fig. 90 à 92) crut aussi avoir trouvé des traceshumaines dans des quartz et des silex éclatés. — Mais, observe de Oualrefages, les m-mbres du congrès de Lisbonnese sont divisés sur lorigine de ces éclats. Tout en efïet inspirele doute autour de ces objets. On met en doute la taille inten-tionnelle. Ils ont été trouvés sur une couche miocène, et nonpas au dedans ; et comme cette couche est elle-même à lasurface du plateau, il y a tout lieu de croire que cefj silex sontfranchement quaternaires. — Gomment, sur de telles bases, •, // pourrai Ion, non pas asseoir, mais seulement hasarder la thèsede rhommetertiaire ?