Les oeuvres de mr Poisson . XI IL FL A V I E, A YMEE,F L A V I E. ^ j E maraut de Cnfpin , Aymée ! A Y M E E. II fe faut taire îCe déguifement-Ià caclie quelque myftere ,Mais leffronté Coquin ! F L A V I E. Mais quil eft ingénu îCar le fot ne croie pas avoir été connu. AYME E. Sa perruque eft tombée heureufement, Madame jCar cinq cents Louis dor ébranlent bien une amc :Là, dites francheiiieut q-ueufliea-vous fait enfîn^Si -çe Vicomte-là heût point érc Ciifpin ?F L A V I E. jl auroit remporté Ton argent3 mais écoute.Comme celui-ci vient de mon mari, fans doute,Quil a crû m.e tenter par-là, je
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Les oeuvres de mr Poisson . XI IL FL A V I E, A YMEE, F L A V I E. ^_j E maraut de Cnfpin , Aymée ! A Y M E E. II fe faut taire îCe déguifement-Ià caclie quelque myftere , Mais leffronté Coquin ! F L A V I E. Mais quil eft ingénu îCar le fot ne croie pas avoir été connu. AYME E. Sa perruque eft tombée heureufement, Madame jCar cinq cents Louis dor ébranlent bien une amc :Là, dites francheiiieut q-ueufliea-vous fait enfîn^Si -çe Vicomte-là heût point érc Ciifpin ?F L A V I E. jl auroit remporté Ton argent3 mais écoute.Comme celui-ci vient de mon mari, fans doute, Quil a crû m.e tenter par-là, je te prometsQuil le peut aifurer de ne le voir jamais.Il ne pouYoit venir plus à propos, je meure ? COQ^UETTES, ^9 11 fert fort au Cadeau quoù verra dans une heure.A Y xM £? E. Et qui fera grand bruit dans le monde , je croi, PLA VIE. Je prétends bien aufli faire parler de moi. Mais ceft trop difcourir , rentrons , que je map-* prête :A terminer ce jour par cette belle fcte. Fin dit quatrième A6U*. i ) 100 LES FEMMES A G T £ V. SCENE PREMIERE, F L A Y I O , C RI S P IN.F L A V I O. POur tes coups de bâton , jen ai de la dou^leur. C R I S P I N. Hé , les coups de bâton ne me font rien , Mon-fieur. FLA VIO. Mais laffront ? C R I S P I N. Encor moins, cefc une bagatelle^F L A V I O.Tu uavois pas a0ëz bonne opinion delle :Elle étoit peu dhumeur à fuivre ton defîr jEt tu tes allé là faire battre à plaifir. C E I S P I N, JaQiais place pourtant ne fut mieux attaquée : C O QVf E T T E S. lo i Je ne Içaiquelle mouche, ou quel ton Ta piquée.Quand elle prit largent, vous vîtes bien , je croi , lamour défordonnc quelle fentit pour moi jQue dabord Ton ardeur alla jufquà Textrcni?, Et quelle me donna de lamour à moi-mcme , Si fort que je dourai, comnîe elle mavoit mis , De pouvoir vous tenir ce que javois promis, F L A V I O. Cctoit pour attraper ton argent, pauvre ba(è. C R î S P I N.111e en tenoit , Moniieur, je vous demande ex^ cufe ;Elle faifoit