RF2JJJC5D–Champs. Style Louis XV. L'angle droit est banni. Courbes ,rinceaux et arabesques brisent la rigueur des lignes droites
RM2WGYXWX–BAIGNEUSES (LIGNES COURBES ET ONDULÉES) .
RM2AJ671C–Encyclopédie méthodique : Histoire naturelle . Suite de rintroiJtiction à Vllistoire Naturelle des Insectes. 85 MYGALE. MYGJLE. La-ir. Walck. JRANEA. Fabr.CxRACTÈRES GÉNÉRIQUES. Yeux, huit, sur deux lignes tiansverses, un peu courbes. Maadihules fortes -, la première pièce terminée eu râteau. Antennules iusérees à lextrémité des mâchoires. Pattes fortes 5 les quatre antérieures armées de piquaus aux deux dernières pièces. Nid cylindrique, creusé dans la terre, tapissé dune légère toile, et fermé par unopei-cule qui souvre par un de ses cotés. ESPÈCES. 1. Mygale maçonne. Dune couleur ferrugine
RM2AGBRAA–. Traité d'anatomie humaine : anatomie descriptive, histologie, développement. rontal, en avant de loccipital. Il a uneforme assez régulièrement quadrilatèreet présente par conséquent : deux faces,que lon distingue en externe et interne,quatre bords et quatre angles. .1° Face externe ou exocranienne.— La face externe (fig. 111), fortementconvexe, nous présente à son centreune saillie arrondie, la bosse pariétale,beaucoup plus marquée chez lenfantque chez ladulte. — Au-dessous delle,se voient deux lignes courbes, demi-circulaires et à peu près concentriques,dont la concavité regarde en bas et e
RM2AG93R1–. Traité d'anatomie humaine : anatomie descriptive, histologie, développement. a péné-tration dans le carpe de lapophyse styloïde de ce dernier os, est incliné de hauten bas et de dehors en dedans. Plus loin, au niveau du quatrième métacarpien,linterligne est à peu près horizontal. Plus loin encore, au niveau du cinquième,il se relève vers le bord cubital de la main et devient ainsi obliquement ascendant.Au total, linterligne articulaire, envisagé dans son ensemble, peut être considérécomme formé par deux lignes courbes à concavité supérieure, qui se réuniraient au sommet de lapophyse styloïde
RM2AM8P38–Bulletin Societe D'Histoire Naturelle de Toulouse (et de Midi Pyrenees). . lont des excur-sions dans les environs de Toulouse, un instrument quidonne lheure et la direction du Nord à laide du soleil. Nous lavons désigné sous le nom de Montre-Boussolesolaire; elle peut servir pour toute la partie méridionale dela France depuis Bordeaux. Cet instrument se compose de deux tableaux quon collede chaque côté dune forte feuille de carton. DESCRIPTION DE LA MONTRE SOLAIRE La montre solaire se compose dun tableau quadrillé surlequel sont tracées des courbes ; les lignes verticales indi-quent les divisi
RM2ANB33E–Arquivos . roportion pour determinar 1Tinstant chercné, — Précession des équinoxes. La préccssiondes équinoxes consisto dans un mouvementtrès-lent. elfectué parles pointséquinoxiaux,le long de laclintique, en sans inverse du latranslation réalle de la torre ou do la transla-tion apparonte du soleil, cest-k-diro, pournous, dorient an occident. ^ Pour comprcndre ce qui va suivre, il fautseirorcor du niatérialiser par la pcn«iéo les EQUI dilTérentes lignes diuiies ou courbes et lespoints de la sphère celeste. Le phénomene qui nous occupe a été dé-couvert par Hipparque vers Tan 128 avantnotre ère.
RM2AG7H2K–. Traité d'anatomie humaine : anatomie descriptive, histologie, développement. lun deux se contracte seul, il imprimeen outre à la tête, en raison de lobliquitéde ses faisceaux,un mouvement de rota-tion qui a pour effet de porter la face ducôté opposé. Variétés. — Henle a rencontré, au-dessous dugrand complexus, un faisceau surnuméraire quelon pourrait appeler complexus profond et qui.se détachant en bas de lapophyse transverse dela deuxième dorsale, venait se fixer en haut surloccipital entre les deux lignes courbes. 3° Petit co.mpliîxus Le petit complexus (fig. 519, 6) est unmuscle allongé v
RM2AM6NBK–Traité d'anatomie humaine . par le point e et i ; la ligne T, passe seulement parle point i ,fig. 177,6). Septième type {Ci, Te/). — Dans ce type, cest la ligne T qui passe à la fois par les deuxpoints e et /; quant à la ligne C, elle passe seulement par le point / (fig. 177,7). Eniproiiilcs du pouce droit {sclié-maliqne). 1, lignes courbes. — 2, lisnes trans-versales. — A. Uf;nes intermédiaires. — C, la plus élevée des lignes courbes. — T, la plus inférieure des lignestransversales. — e. /, côté externe etcôté interne du iiouce. CONFOliMATION EXTÉUIEUUE DE LA PEAU 281 Huitième type {Ce, Te).
RM2AJ7PMH–Annales des sciences naturelles . raie grandeur^ seront les projections verticaleet horizontale du trajet décrit dans lespace par le point consi-déré. La réunion des deux courbes formera lépure de la tra-jectoire. La planche 11 représente lexpérimentateur au moment où ilenregistre à la fois les foulées des deux pieds et les mouvements ARTICLE 1^° 6. LOCOMOTION HUMAINE. 19 oscillatoires dun point du tronc. La poire de compression, quiltient à la main droite, lui sert à recueillir les graphiques au mo-ment opportun. Deux lignes tracées à lavance sur le chemin deplâtre guident sa marche. La figur
RM2AXJ06G–Gazette des beaux-arts . e cheveux etdans lextrémité des doigts. La gravure sur bois, au contraire, se recon-naîtrait à ses courbes, formées par une réunion de lignes brisées, auxfentes et aux trous qui peuvent être restés sur les planches. Nous ne sui-vrons pas lauteur dans lénumération quil donne des livres italiens etfrançais, où il voit des gravures sur métal plus ou moins confondues avec DES ESTAMPES DE LALLEMAGNE. 331 des gravures sur bois. Nous y trouverions nos plus anciens et nos plusbeaux livres à figures, depuis la Cité de Dieu, de Jehan Dupré, et lesHeures, de Vérard et de Vostre,
RM2AM8N48–Bulletin Societe D'Histoire Naturelle de Toulouse (et de Midi Pyrenees). . - 231 - la deuxième est inscrite immédiatement au-dessous de lapremière. On remarque aisément que le Ier de chaque moiscorrespond à un 10 ou un 11 dun mois de lautre période. Les lignes horizontales sont distantes de 2mm et numérotéesde chaque côté aux grandes divisions 0, 10, 20, etc., etc. Les courbes tracées sont : 1° Les courbes des heures solaires vraies, en grandeurnaturelle, pour un style horizontal de 0m,025 placé sur laligne 0 0, savoir : Midi1h soir et 11h matin.% — 10 —3 — 9 — etc. etc. 2° La courbe des décli
RM2AKXKY1–Traité analytique des sections coniques : et de leur usage pour la resolution des équations dans les problêmes tant détermines qu'indétermines . PL 7 /icn c <^ • p^^c ? es 6 QUATRIEME LIVRE. DES TROIS SECTIONS CONIQUES. Définition. ON entend par le terme général de Scclioii Conique^chacune des trois lignes Courbes dont lon vientde parler dans les Livres précédcns • fçavoir, la Parabole^V£llipjc, VHyperbole ou les Hyperboles oppofées. PROPOSITION L Théorêmer ï3<3. Si par V extrémité A dun diamètre quelconque FfG.tfj&:o4.A a dune Ellipje, ou dun premier diamètre A a duneHyperbole, Ion mené
RM2AJ40TD–Bulletins de l'Acadie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique . là cette propriété : 5*lon trace sur une surfaceS^-^-^^J) quelconque une courbeA / X 2 telle que la somme des MT-^-— € distances géodésiques de chacun de ses points ài^^9 2.) deux courbes tracées sur cette surface soit constante, sa tangente sera également in-clinée sur les deux lignes géodésiques qui mesurent les dis-tances du point de contact à ces deux courbes. Lellipse est un cas très-particulier, celui où la surfaceest un plan et où les deux courbes directrices se réduisentà deux points. (31 ) li III.
RM2CJ5C1X–. Gazette des beaux-arts . sarchitectoniques. Il y aura plus tard chez Botticelli plus de parti prisdélégance de lignes quon nen trouve dans cette page énergique etpresque primitive. Mais dès lorigine et dans les tableaux circulairesqui sont peut-être les créations les plus sympathiques dumaitre, noussommes déjà frappé par lart consommé avec lequel les courbes favo-rables à la forme de lencadrement, les mouvements des personnages,sont combinés dans un enchevêtrement plein délégance et de grâce.Cest ainsi que dans le grand médaillon des Offices où la Vierge tientsur ses genoux lenfant divin et
RM2CD95Y6–. Divers ouvrages . a mêmecirconférence peut être décrite par un mouvement droitèc un parabolique, ou par un droit&: un hyperbolique^&CC. comme nous avons dit de la ligne droite-. Et pour finir en deux mots cette fpéculation , nouspourrons dire delà parabole, de lhyperbole, &; des au-tres lignes courbes, ce que nous avons explique ducercle, Propo/iiion quatrifme,. Toute MU Ç^l deux lignes droites faifant lune avec lautre tel angle^mlldgeréc, Jk3 ^-f^u voudra, viennent à fc mouvoir parallèlement »/ vaut cJKicunea foi-même, en telle forte quelles fe puiflentmteuxUfaf- t-oûjours coupcr lune lautr
RM2CR3CYW–. Les chemins de fer . chanj-pignon, à bourrelet inférieur, lautre pour le rail àpatins que lon a substitué, sur la ligne du Nord, aurail à double champignon (fig. 51 et 52). Cette multitude de lignes ponctuées, droites et cir-culaires, que jai conservées à dessein, vous montrentavec quelle précision toutes les parties du prohl sontcalculées. Cest après une série innombrable dessais,de tâtonnements, dexpériences, que le proiil déter-miné par ces courbes géométricjues a été enhn exécuté. Croyez-vous que ces déviations, en apparences siminimes, soient réellement insigniliantesV Calculez.Un cenlj
RM2CENWM4–. Traité des pratiques geometrales et perspectives : enseignées dans l'Academie royale de la peinture et sculpture. erfes fituations & inclinationsde ces corps fuftira pour ceux qui ont génie ou difpofition à pra-tiquer dcux-melmcs fur differens objets; ce qui eft très-facileayant la règle générale. Lon voit figure A comme une forme de mur élevé &C compofé de lignes &fuperficies droites ôc courbes, avec fes jours, ombres ôc ombrages. Avant quen venir à la pratique de ces Ombres, on feaura que les ombres& ombrages à la lumière du Soleil peuvent eftre plus ou moins terminez enleurs contours, f
RM2CGH1X8–. Archives néerlandaises des sciences exactes et naturelles . Tétliane, iV^ ^ — C.2 celle du protoxyde dazote. et Co sont les points critiques.C^ÂB est la courbe de plissement. Les courbes en forme de nœudsont les lignes limites des mélanges. 23. Il y a deux difi^érences frappantes entres les figs. 1 et 2. (1) Les températures critiques dune partie des mélanges sont infé-rieures à celles des substances composantes. En ajoutant C.^ Bq (32) à0 (36), la température critique est abaissée considérablement. Déjàpour un mélange contenant environ 0,1 de //g, la température cri-tique est descendue à 32
RM2CR3KRC–. Les chemins de fer . ans une série de lignes (|ui ont reçu lenom de courbes de niveau^ et qui permettent déjugeravec une gi^ande facilité, et au premier eoup doil,.des diverses sinuosités du sol. ï ne image va vous faire saisir à la fois, et le sensde ces lignes, et le procédé (o les géomètres em-ploient pour les tracer sur leurs plans. Yoyez-vou>{Jifj. 9) ce paysage à demi submergé? n offre deux surfaces bien distinctes, celle ie> uo lHtMILHt lAKTlt. — LA Volt. eaux, plane et horizontale, celle du bol, découpée,ondulée en seneaux. Pour tous les points de celte ligne, même ni-veau
RMRN2EPH–. Annales de la Société royale malacologique de Belgique. Mollusks; Zoology. VI SOCIÉTÉ ROYALE MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. plaque dentelée, elle se divisait à droite et à gauche en deux lames distinctes le long de deux lignes courbes, comme l'indique la figure 1. Nous ignorons la forme de la lame supérieure, son empreinte s'enfon- çant dans la gangue, sous celle des lames inférieures; celles-ci sont grandes, hautes, ovalaires, très échancrées au côté ventral.. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration
RMRED0DT–. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. 522 SOCIÉTÉ DE BIOLOGIE phase lente de très courte durée. La courbe, dans son ensemble, présente un aspect rectangulaire (fig. 4). Quand on prend le tracé des mouvements respiratoires des deux côtés séparément, on voit que le côté malade présente des mouvements très faibles.. Fig. 4. Pneumothorax. Aspect rectangulaire des courbes. La durée de l'inspiration est beaucoup plus grande que la durée de l'expiration (lignes descendantes des courbes). — Repos (pla- teau) en inspiration. Ces divers caractères des mouvem
RMRECYK7–. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences. Science -- Societies, etc; Science; Science. 86 ACADEMIE DES SCIENCES. même, du reste, que les adultes; les plans similaires des individus d'un même stade évolutif se ressemblent beaucoup.. Les aspects ou apparences étudiés ici consistent en sortes de lignes plus ou moins courbes, disposées en manière de réseau variable avec les âges et les plans. Au point de confluence de ces lignes, sortes de points nodaux, on voit une espèce de renflement dont elles rayonnent. L'ensemble reproduit la disposition d'une sorte de réseau tra
RMRJD813–. Causeries scientifiques. Zoology -- Societies, etc; Zoology -- France. 182 E. G, RACOVITZA 10 parois de roches noires, de pointes élancées en forme de tours ou de clochers. Et la neige éternelle a ouaté de sa blancheur fentes et corniches, crêtes et sommets ; aussi les contours s'arrondissent en lignes harmonieuses, en courbes doucement arquées, en sinuosités élégantes. De larges bras de mer et d'étroits chenaux découpent la blancheur des terres par des lignes mouvantes et sombres. Majestueux, voguent les icebergs aux formes massives ou déliées, cyclopéennes citadelles carrées, ou bien verti
RMRN850B–. Anatomischer Anzeiger. Anatomy, Comparative; Anatomy, Comparative. 220 la seminogenese, le niveau chalazien et se trouve eatoure de toutes parts de cellules abondamment pourvues de substances alimentaires. 3. Les assises sous-6pidermiques qui entourent la cellule mere dii sac ou le sac embryonnaire lui-meme {^ I, fig. 36) demeurent pen nombreuses; elles tirent leur origine des assises laterales (1, 2, 1', 2') dejä differenciees dans la figure 34. Elles orientent leurs cellules selon des lignes courbes suivant I'inclinaison des cot^s du cone chalazien et se dirigeant dans I'epaisseur des tegu
RMRMXPJA–. Annales des sciences naturelles. Zoology; Biology. VOL DES INSECTES ET DES OISEAUX. 65 que, dans l'iniérieur de ces courbes, il existe réellement des es- paces libres en forme d'entonnoirs, dans lesquels le poinçon pé- nètre sans rencontrer l'aile, tandis que si l'on veut franchir l'intersection où les lignes se croisent, l'aile vient aussitôt battre contre le poinçon et le vol est interrompu. o. Méthode graphique.— Les expériences précédentes simpli- fient beaucoup l'interprétation des graphi(|ues que l'on obtient par le frôlement de l'aile d'un Insecte contre le cylindre noirci, et bien qu
RMRMXDXR–. Annales des sciences naturelles. Plants; Biology. RECHERCHES ANATO.AHQUES SUR LES BORRAGINÉES. 329. Fi- . — Lithospermumpurpureo-cœrulewn. Épiderme inférieur de la feuille. leum[ï^. 27), mérite d'être signalée. Dans ces exemples, les contours des cellules sont sinueux, mais ces sinuosités ne sont pas à proprement parler des lignes courbes, ce sont plutôt des lignes bri- sées; en conséquence, chaque cellule com- prend un certain nom- bre d'angles dont les uns sont en saillie et les autres rentrants. Lorsqu'on examine la paroi cellulaire interne au niveau de ces der- niers, on remarque qu'ell
RMREBG89–. comptesrendusheb1311900acad. es naturelles. ( I09 ) » Les deux courbes extrêmes issues l'une du point 2 de la ligne critique, l'autre du point 6 de la même ligne sont des lignes de Gihhs et Kono- vatow ( ' ).. 120" 120" 120" 120" 120" 120" 120" 120 0 2 3 4 5 6 7 » Les lignes 3 et 5 sont des lignes donnant des/)wm/* de Gibbs et Kono- valow. » Les lignes 2 et 6 sont des lignes de passage. De pareilles lignes offrent un point de Gibbs situé sur la ligne critique, qui est point de rebrousse- ment pour la ligne de passage correspondante. » L'existence des poin