RMRMWMF6–. Annales des sciences naturelles. Zoology; Biology. ADAPTATION A LA VIE ARBORICOLE CHEZ LES VERTÉBRÉS 263 données les nécessités du mode de vie et du mode de locomo- tion de ces animaux, qu'il n'en saurait être autrement. Chez le St/nçnat/ius acus, Ton constate cette dispositiou dans sa parfaite intégrité. Taxe du corps ne prenant que momenta- nément et simplement au moment de la nage, pendant laquelle l'animal rapproche souvent tant soit peu son attitude de l'attitude verti- cale, une forme légèrement en S, ne rappelant que de très loin celle que les Hippocampes possèdent d'une façon constan
RMRMTR3J–. Annales du Musée d'histoire naturelle de Marseille, published aux frais de la ville ... - Si — Les invertébrés les plus communs se rapportent à Cardhim cdulc, Hydrobia vcntrosa et H. ulvœ, Pahtdcstrina pachygasira, BiUiiim paludosuin, Lufraria com- pressa, Scpia oj/icuhilis, Idolca Inciispidala, Gammarus locusta, Sp/iaroma serra- lum, Crangon vulgaris var. maculosiis, PaLvmon rectirostris et Carciniis niœnas. Parmi les poissons il y a, avec de nombreux Epinoches, Hippocampes et Syngnathes, une affluence assez remarquable de soles, de lesses, de porcarelles (Mugis capitc), de dorades, de plan
RMRMXAWN–. Annales des Sciences Naturelles Botaniques. . plus épaissies que les autres (fig. 75). La partie ligneuse de l'unique faisceau pétiolaire est épaisse au centre, et figure sensiblement un V à branches courtes (fig. 76): G. leptophyllà. ir>u Genre Woodsia. A la base du pétiole, on rencontre deux amas ligneux, dis- tincts ou réunis par leurs extrémités inférieures, suivant une plaque transversale, et ayant une forme d' « hippocampes » à crochets très courts : W. hyperborèo... Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readab
RMRMXKF1–. Annales des Sciences Naturelles Botaniques. 118 FERNAND PELOURDE pétiole, chez certaines espèces telles que Y Adiantum tenerum Sw. (1). Les deux faisceaux peuvent être réunis en un seul dès la base du pétiole, comme cela a lieu chez le Trichomanes pinnatum Hedw., par exemple. Dans d'autres cas, leur forme d' « hippocampes » peut se modifier plus ou moins : c'est ainsi que, chez le Pteris serru- lata L. (2), il existe encore dans chaque faisceau ligneux une partie centrale renflée, mais les deux extrémités sont con- sidérablement réduites. Chez Y Adiantum Farleyense Moore, l'extrémité supérie
RMRMXKG7–. Annales des Sciences Naturelles Botaniques. 116 FERNAND PELOURDE se rencontre dans les groupes de Fougères les plus divers, varie beaucoup suivant les genres ou les es- pèces que l'on considère, et ces varia- tions ont une grande importance au point de vue systématique, ainsi que je l'ai montré dans un travail pré- cédent (1). En tout cas, les deux faisceaux ainsi constitués se réunissent à un certain niveau par l'extrémité de leurs appen- dices inférieurs, de façon à constituer un faisceau unique, dans lequel on reconnaît encore très nettement la forme des deux « hippocampes » pri- mitifs (