RM2AM7250–Gazette des beaux-arts . eaux ternis où le soleilsait bien mettre un éclair, commencent à gambader étrangement sur unfond de blancheur, au son des crotalas et tarboukas, se déhanchant, sedémenant, gesticulant comme des singes ivres. La sueur ruisselle surleurs masques de bronze, et leurs grosses lèvres épanouies par de largesrires laissent briller des lueurs de nacre. » 11 Audience chez un califat dans le Sahara, qui appartient aujour-dhui à M. Tabourier, et dont on a vu une répétition à lexposition duquai Malaquais, néveille pas un moindre enthousiasme sous la plumede Gautier. De fait cest un
RM2AM2396–Catalogue de tableaux modernes, aquarelles, pastels, dessins : par Bonvin, Daumier, Degas, Harpignies, Jongkind, Monet, Sisley, Vignon, etcprovenant de la collection de feu MP[aul] A[ubry] . dic/iolle Pan.) /a t /lo/itayne TABLEAUX II DAUMIER [HONORE) N° 3 Don Quichotte de la Manchedans la montagne. Par monts et par vaux, le chevalier, roide sur ses étriers, ^ # / <7TJ savance au pas docile de Rossinante. Il est vu de trois quarts àgauche, la lance au poing, le bouclier appuyé contre la cuisse.Derrière lui, vers la droite, note sombre sous un ciel oùpassent des lueurs, Sancho marche au peti
RM2AX5857–Tableaux de maîtres anciens . ques, entourées de clôtures enplanches. Toile. Haut., 53 cent.; larg., 64 cent. 7 2f* Le soleil disparaît derrière les arbres touffus k — 5o - NEER (A. V. D.) jj — Crépuscule. ï> Il fait presque nuit. Lombre sétend peu àpeu sur la campagne. Des lueurs rougeâtrespermettent encore de distinguer tous lesdétailsdu paysage, — un site de Hollande, plat, boisé,traversé par un canal. A gauche, entre les arbres plantés en file aubord de leau, saperçoivent, rangées le longdu chemin, les façades en briques des mai- r sons du village. Un rayon du couchant mi- roite sur la
RM2CE3XCT–. Gazette des beaux-arts . la tête basse,harassé, poudreux, effaré; il le voit bien dans sa situation sociale et sonesprit : grossier, brutal, mais soumis à lesclavage par sa stupeur natu- REFLEXIONS DUN BOURGEOIS SUR LE SALON. 63 turelle; il le voit bien dans ses formes et il a réussi parfaitementlexpression dun certain petit veau sautillant, comique par les déshar-monies de lorganisation enfantine. Des lueurs dun jaune désagréable,des mollesses de facture empêchent bien des gens de reconnaître le méritedes études attentives et pénétrantes de cet artiste. Plus séduisants deton, vêtus de robes
RM2CE216G–. Collection Émile Pacully : tableaux anciens et modernes des écoles allemande, espagnole, flamande, française, hollandaise, italienne, etc . sse et de protection. Au fond, vers la gauche,des lueurs dincendie. Dans le haut, des oiseaux de nuit. Cadre en bois sculpté. Panneau. Haut., 1 m. 08; larg., 88 cent. Collection du duc de Pastrana.Choisi par lAcadémie Royale de Londres pour y être exposé. Cest peu de temps avant sa mort — ville, Histoire des peintres, 1745). Ils avant 1640 — que Ruhens a composé une furent gravés par un concitoyen, presque suite de la Vie dAchille, destinée à être contem
RM2CEP14H–. La vie hors de chez soi (comédie de notre temps) l'hiver, le printemps, l'été, l'automne; études au crayon et à la plume. ut entier. La terre tremblait, les éléments sétaient confondus, lesvagues furieuses de la mer avaient envahi les champs, pendant que desdébris de terres, de maisons et darbres se répandaient dans la mer. Le vieux pêcheur nétait autre que le grand saint Martin. Son cheval blanc, sur lequel il apparut monté, jetait des lueurs sinistres.La cuirasse du saint brillait comme léclair dans lombre de la nuit. « Tu as manqué à la parole et à la foi de tes pères, dit-il dune vo
RMRGPAXR–. Bulletin de la Société nationale d'acclimatation de France. Zoology. Fig. 5. — Nymphe et larve de la Cétoine dorée. des lilas, allant dormir sur le sein parfumé de la rose ; sa larve, voisine du Ver blanc, vit dans le bois pourri, et sa nymphe est entourée d'une coque ovoïde de^ébris ligneux (fig. 5). Les Hyménoptères terminent les. Fig. 6. — Guêpe frelon [Vespa crabro). Insectes, dont ils représentent l'ordre le plus élevé, manifestant chez ceux qui construisent des nids ces accommodations de l'instinct, qui sont des lueurs d'une véritable intelligence. Dans cet ordre se rangent les. Please
RM2AKFDEM–Nouveau dictionnaire encyclopédique universal illustré : répertoire des connaissances humaines . res, cymbulies). Tous sont agiles, re-muants, sans cesse à la recherche de leurproie, quils saisissent à laide de 6 tenta-cules microscopiques percés, dit-on, de3oO,000 ventouses. Ces nains ailés, trans-formés en géants, deviendraient lépouvanteet le fléau des océans dont ils sont linno-cente parure. (Juand vient la nuit, ils mon-tent par myriades à la surface des eaux, quiséclairent tout à coup de lueurs fantastiques. PTÉRYGION s. m. (gr. pterugion, petiteaile). Chu-. Excroissance membraneuse qui
RM2AM7552–Gazette des beaux-arts . EUGENE FROMENTIN PEINTRE ET ÉCRIVAIN (troisième article) III. LiNFLOENCE dominante de Marilhatsur Fromentin se manifeste à ce moment,de 1847 à 1850, dune manière très vi-sible. Le plus curieux témoignage decette influence apparaît peut-être dansun tableau, qui a figuré à son expositionposthume sous le n° 7, représentant laMoisson en Algérie. De grands arbres auxramures découpées, un ciel rouge ver-sant ses lueurs ardentes sur un paysagemaçonné comme une muraille, une re-cherche de leffet noble et un peu théâ-tral, tout fait penser à Marilhat, mais plutôt à ses défauts
RM2AXBN3Y–Ancient and modern pictures, important works of the French, English and Dutch schools = tableaux anciens et modernes, oeuvres importantes des ecoles française, anglaise et hollandaise . RIBOT 129. La marchande de fleurs. The Flower Girl.. -I.oj&tap COLLECTION COTTIER 43 PAAL (LOUIS DE) 127. Les Ramasseuses de bois. Wood-gatherers. Dans la forêt, deux femmes ramassantdu bois. A travers les arbres,les lueurs du couchant.Signé à droite : L. de Paal. TOILE. Haut. 54 ^e«/., Larg. 8i cent. A forest with two women gathering wood.Through the trees the beams of tlie CANVAS. Height 21J inches, Breadth 3
RM2AG4BK5–. Archives de parasitologie. M. Brenet, président delAssociation générale des Etudiants de lUniversité de Besançon ; 11° deM. le D Challan de Belleval, au nom de « lUnion franc-comtoise » desBouches du-Bhône ; 12° de M. le Curé de Dole ; 13° de M. Trouillot,ministre du commerce. Nous reproduisons ci-après la plus grande partiede ces discours, ainsi que la poésie de M. L. Pâté. Discours de M. Ruffier, président du Comité Deux grandes journées auront éclairé de vives lueurs les dernièresannées de mon humble existence, en même temps quelles en aurontadouci les tristesses et les amertumes, compagn
RM2AM75DY–Gazette des beaux-arts . EUGENE FROMENTIN PEINTRE ET ÉCRIVAIN (troisième article) III. LiNFLOENCE dominante de Marilhatsur Fromentin se manifeste à ce moment,de 1847 à 1850, dune manière très vi-sible. Le plus curieux témoignage decette influence apparaît peut-être dansun tableau, qui a figuré à son expositionposthume sous le n° 7, représentant laMoisson en Algérie. De grands arbres auxramures découpées, un ciel rouge ver-sant ses lueurs ardentes sur un paysagemaçonné comme une muraille, une re-cherche de leffet noble et un peu théâ-tral, tout fait penser à Marilhat, mais plutôt à ses défauts
RM2AX9D09–Tableaux anciens et modernes . du tableau; on y voitune foule de gens courant au secours ou soccupant du sauvetage. Aufond, léglise éclairée par les lueurs de lincendie. Au bas, à droite: E. van der Poel fec. Toile: Hauteur 38, Largeur 49 cent. POT (Henri) maître néerlandais qui florissait vers 1625. 61. Intérieur. Scène familière. Trois dames et un cavalier, élégamment costumés,sont groupé- autour dune table couverte dun tapis vert, sur Laquelle odvoit une coupe pleine de fruits, et quelques assiettes avec des confiseries.Derrière lhomme se trouve une vieille femme debout, et par la porteentr
RM2AX8FH6–12 tableaux modernes de premier ordre . kHIS COURBET (GUSTAVE) 5 — Effet de neige. Dans une gorge solitaire, où pénètrent lesdernières lueurs dun soleil couchant, se trouveune cabane adossée contre un rocher. gaucheet au fond, des rochers escarpés avec quelquesarbres. Le tout est couvert dune couche de neigequi scintille également autour des branches desarbres. Signé à gauche : G. Courbet. Toile. Haut, fo i/a cent. ; larg. 36 1/2 cent. 10 — COURBET (GUSTAVE) 6 — Un Taureau et une Génisse. Sur un plateau, dominant un vallon, se trouvent,une vache grise et un taureau à robe brunetachetée de bl
RM2AN5MH9–Les symboles de la croix . LES SYMBOLES DE LA CROIX. t ^3%i> ^^ LE TRIOMPHE 27.J ^<i^^ -^y^ Quand 1 aurore apparaît au matin, on voit la ^^nature sortir toute belle des épaisses ténèbres P2.qui la tenaient enveloppée. Les arbres perdentleur aspect lugubre, et les rochers prennent uneteinte bleu de ciel. Bientôt les feuilles et les fleursse dessinent avec leurs gracieux contours, leurcouleur dor, et leur blancheur de neige. Telest le merveilleux changement qui sopère ennous, aux premières lueurs de léternité bienheu-reuse. Dès que lâme se sépare du corps, ses vertus,ses bennes œuvres, se
RM2AKCHJG–Oeuvres de Crébillon . x pourroit être lauteur ?Qui , hors Catilina , peut vouloir nous détruire ïA de faulFes lueurs vous laiiTez-vous féduirc îQue Manlius foit mort, quil lait facrifié ,Ceft prouver feulemehc quil sen eft défié :Je ne vois dans ce coup que le meurtre dun traître fQuun autre a prévenu dans la crainte de lêtre.Plût aux Dieux que , moins lent à punir fes forfaits.Du chef des Conjurés Céfon nous eût défaits !Si de quelques fuccè* fon audace eft fuivie ,Ses cruautés nauront de bornes que fa vie.Des infâmes complots formés par Céthégu»Ne Youdriez-yous pas excepter Lentulusî Dv ^t
RM2AWHHC5–Messéniennes, et Chants populaires . nvincibles. Henri, divin Henri, toi qui fus giand et bon,Qui chassas lEspagnol et finis nos misères,Les partis sont daccord en proiioncant ton noin ;Henri, de tes enfans fais un peuple de frères.Ton image déjà sendjie nous protéger,lu renais ; avec toi renaît rindépendanee :() roi le plus français dont shonore la lrance.M est dans ton destin de voii* fuir Tétranger I l^t toi, son digne lils, après Mugt ans d orage. 38 DU BESOIN DE S IIINIR. Règne sur des sujets par toi-niênie ennoblis ;lueurs droits sont consacrés dans ton plus bel ouvrageOui, ce grand monu
RM2CJ1KGF–. L'illustration : journal universel . élia Sanla-Trinila à Homa, jusquau sommet dunde ses élégants minarets. Appuyé contrela balustrade, je contemplai pendantlongtemps la grande capitale mogole en-dormie à mes pieds et à peine éclairéepar les premières lueurs de laube nais-smte. Toutefois je ne vous décrirai pasce magnifique spectacle. Je veux vous en-voyer par ce courrier, non une lettre,mais des illustrations qui ne nécessitentque quelques courtes explications ; moncrayon essayerait en vain de vous don-ner une idée dun si grand tableau. Amon retour, je vous en ferai de vive voixune descript
RM2CEDNC5–. Thamara; opéra en quatre tableaux. Poème de Louis Gallet. Partition réduite pour chant & piano par Van den Heuvel. &—^+—VP j^. Au lever du rideau.Thamara lœil hagard les cheveux défaits, esl debout auprès du lii uu Nuui Irepose pndormi. Elle aperçoit un poignard sur le trepied placé au ehevel du lit Des doigts elle entouclu la pi ii li Elle repousse larme. Elle Boulève la tenture qui masque lun des arceam Les premiéres lueurs du jour bordent lhorizon. rtnN- lr>f cT^ g «»f- Il ?,
RM2CDKX0M–. L'Armée russe en campagne, souvenirs de guerre et de voyage . viennentdattaquer, espérant en surprendre la garnison à la faveur 204 LARMÉE RUSSE EN CAMPAGNE de la nuit ; mais les braves dorobances roumains fontbonne garde, et bien que voyant le feu pour la premièrefois, ne se laissent nullement intimider par les hurle-ments féroces des assaillants. Toutes les hauteurs et les ravines dalentour sont plon-gées dans les ténèbres. Sur les flancs de la côte de Gré-vitza, les lueurs de la fusillade passent comme des éclairs,illuminant tantôt les sillons dun champ, tantôt un coinde parapet, et des g
RM2CDKBGW–. L'étang des soeurs-grises . ses regards terrifiés. Cétait à donner le vertige... Et, pendautles deux longues heures qui sécoulèrent de la sorte, il sentit pas-ser sur son front blême et creusé de rides douloureuses toutes les années qui luirestaient à vivre !... Quand il se releva, ses cheveux avaient blanchi aux tempes ; ses yeux setroublaient de lueurs dégarement et de folie, et sa peau semblait sêtre collée surles os saillants de ses joues. Il était méconnaissable! Minuit venait de sonner... il alluma un bougeoir... se munit de plusieursclefs... et avant de sortir il alla à un secrétaire
RM2CJ4E3J–. Gazette des beaux-arts . us pâle du ciel. Du côtéde la porte qui fait face à Poggibonsi, les montagnes plus rapprochéessemblent refléter les lueurs dun incendie dont léclat principal se pro-jette sur les sommets qui cachent la vue de Volterra. Les remparts deSan Gimignano et ses portes crénelées sont comme embrasés, et les toursqui dominent la ville brillent de la pourpre dont le soleil couchant aimeà revêtir les hautes cimes. Les horizons larges et tranquilles senveloppentdun calme bienfaisant : « Le silence est pur comme lair, et lon diraitque la nature, avant de nous donner le repos delà
RM2CE3H4J–. L'épopée canadienne, Montcalm . Mort de Wolfe. que faire entendre la prière dun vaincu. Il écrit au général Townshend,successeur de Wolfe: « Lhumanité des Anglais me tranquillise sur le sortdes prisonniers français et sur celui des Canadiens. Ayez pour ceux-ciles sentiments quils mavaient inspirés. Quils ne saperçoivent pasdavoir changé de maître. Je fus leur père, soyez leur protecteur. » Alors, il ne songe plus quà paraître devant Dieu et il passe ses der-nières heures avec M«r de..Pontbriand, lui-même à la dernière extrémité;aux premières lueurs du jour il e ire enfin à lâge de quarante-s
RM2CEF75R–. Collection des Goncourt; dessins, aquarelles et pastels du 18e siècle. s dans des arbres, aupied de statues, avec un fond de ciel qui semble éclairédilluminations et de lueurs de feux dartifice. Dessin sur papier gris, à la pierre noire, rehaussé de craie et dequelques touches de pastel dans le fond. On lit dans le ciel de ce dessin, représentant sans doute quelqueréjouissance publique : le Retour désiré.Vente Pérignon. (H.,0,22. — L., 0,28.) SAINT-AUBIN (GABRIEL DE) ij]. — La Vénus de M. Mignoi au Salon de ijSy. Plusieurs personnes, parmi lesquelles se trouve unTurc, sont arrêtées devant un
RM2CDYA1J–. Le coq d'or, conte-fable : opéra en 3 actes . KaMe«-ÈBmnxx. bi. nocJit;iHefi SopLCpt. Opjiu ii jpyria xiimiiua niimu chahti- Tpy-naxT) CTaaMii n iicuyraDHo cHiiMaK>Tca npu uopbiBaxi, Btipa, JjBa koum ctohtt. nenojBii;i;uo, noHypilBTï ro.ioBbi naai. Tii.TaMuxoafleiiTj-napeBiiiefi. >Jce thxo, nusMLaEBu ii snocfeuio. Nuit obscure. Les troubles rayons de la lune éclairi;nt de lueurs sauglaates un défilé étroit parsemé de petits buissons,et les roches escarpées. Le l>rouillairi de montagne remplit toutes les cavités dun voile blanc. Pai-mi les buissons ou sur lespentes nues des collines
RM2CDA2M8–. Évangéline : traduit et imité de l'anglais . une voix bien connue de tous dit àla foule assemblée : « Déposons ici son corps près §de la mer. Quand des temps meilleurs nous ramè-neront dans nos foyers, nous déposerons avec piétéses cendres vénérables dans le cimetière du village.»Ainsi parla le pasteur. Alors, on enterra sur le rivage le fermier de {-Grand-Pré; la cérémonie eut lieu sans cloches etsans livres, et fut éclairée, en guise de torches funè-bres, par les lueurs du village que dévorait lin- [?cendie. Pendant que le prêtre prononçait les prières desmorts, le bruit des vagues de la m
RM2CEJYE3–. Le Monde moderne. ■^=. EN STATION AVEC LA L A M i E lolter de fièvre — el pas moyeu da!-lumer la lampe. On enveloppa lappareil avec degrandes couvertures de campement ap-portées pour la nuit. On boucha la che-minée avec des mouchoirs, ([uilte à lesbrûler. Mais à peine allumée elle sélei-j;nait, et de là-bas, où Ton avait aperçuc|uelques lueurs el devinait nos efforts,on nous pressait de recevoir les dé-pêches officielles du chef détat-majorde la colonne. Depuis dix heures du matin et le léj;erdéjeuner pris dans le Ravin-ert avant1 ascension, mes hommes navaient rienmangé, ne sétaient pas ar
RM2CEDMG4–. Thamara; opéra en quatre tableaux. Poème de Louis Gallet. Partition réduite pour chant & piano par Van den Heuvel. Au lever du rideau.Thamara lœil hagard les cheveux défaits, esl debout auprès du lii uu Nuui Irepose pndormi. Elle aperçoit un poignard sur le trepied placé au ehevel du lit Des doigts elle entouclu la pi ii li Elle repousse larme. Elle Boulève la tenture qui masque lun des arceam Les premiéres lueurs du jour bordent lhorizon. rtnN- lr>f cT^ g «»f- Il ?,. Andanf ino J^H£^ m pp§ é mm i r/,</ ^a ^r W IM5 yl- w r t y ïte F ^^WF ^dOy; r mm? ?w If: éalU ffiE ±:z» (//771 . P^ J
RMRN2F8J–. Annales de la Société royale malacologique de Belgique. Mollusks; Zoology. MÉMOIRES 298 grains noirs de glaucome réniforme, très bien caractérisée et très fossilifère avec Pectt t extraordinairement abondant. Elle se dédouble parfois. 24"'G0 à 24m40. v Sable glauconifère de Wemmel avec Nummulites wemmeïensis et Ostrea blondi- niensis, Delv., bivalve. Les nummulites forment une couche mince, légère- ment ondulée 24m40 â 23m90. Plus bas, succèdent des bancs de grès wemmelicn calcarcux avec Ostrea gryphina, Nautilus Lamarcki et Nummulites variolaria. Profitant des dernières lueurs, la Soci