RFJD2F12–baby playing with the laptop in the house
RM2ANHTDF–L'illustration : journal universel . approchez, mon enfant.je suis content de vous;Lu fait, en ce beau jour, je suis content de tous.. Le Champagne nest pasCest du vin blanc, du ga in peuple pense,oup de dépense. Il araît. ayant soît, tenu son verre prêt;Mais cest un p.nripluic, innocent, quil fnlla Des liuilres le chablis est la sauce, dit-on.Une huitre naurait pas inventé ce dicton. aTIlI.J.XT«
RM2AWR67D–Cologne . res, degrands livres de pierreque les illettrés dumoyen âge lisaientcouramment et que leslettrés daujourdhuidéchiffrent plus péni-blement à grand ren-fort diconographie etde symbolique. Ce sontdes Sommes Ency-clopédiques, des Mi-roirs du Monde oùtoute la science desSaint Thomas dAquinetdes Vincentde Beau- vais, résumée par les clercs et interprétée par les tailleurs dimages, étaitmise à la portée du peuple : à la cathédrale de Cologne, il ny a rienà lire, rien à déchiffrer. Nous avons dit que la sculpture monumentale sest toujours trouvéedépaysée à Cologne. La meilleure preuve de ce
RM2AM6PEB–Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . ictimes do la colère du peuple : lemajor de la Bastille, Delosme, Foulon, le beau-père dolintendant Bertier, etc. Le cri : « A la lanterne ! » équiva-lait presque à un arrêt de mort. Labbé Maury réussit àsy soustrairepar sa pré-sence desprit.A ceux quihurlaient der-rière lui, ilsécria : « Ehbien ! quandvous m aurezmis à la lan-terne, y ver-rez-vous plusclair ? H — Mœurs etcoût. Lanter-nes chinoises.La fête des lan-ternes a lieuen Chine pen-dant le pre-mier mois delannée; ellecommence le13 etfinitle 17.Pendant cesquatre jours,
RM2AN21KD–Histoire de l'art dans l'antiquité: Égypte, Assyrie, Perse, Asie Mineure, Grece, Etrurie, Rome . 53,i, 53(j. — Dieu Bes. Louvre. Grandeur réelle. . Prisse, Histoire de lart égyptien, texte, p. 146. S06 LEGYPTE. L OHNF.V EXT. Dans la décoration coloriée dont lEgypte couvrait toutes les sur-faces de ses édifices, la figure jouait un rôle plus important et occupaitplus despace quelle ne la fait chez aucun autre peuple. Cependantlartiste avait beau étendre et, multiplier ces tableaux religieux et histo-riques, ces groupes de dieux, dhommes et danimaux, cette profusionmême avait ses limites. A que
RM2AN210B–Histoire de l'art dans l'antiquité: Égypte, Assyrie, Perse, Asie Mineure, Grece, Etrurie, Rome . 53,i, 53(j. — Dieu Bes. Louvre. Grandeur réelle. . Prisse, Histoire de lart égyptien, texte, p. 146. S06 LEGYPTE. L OHNF.V EXT. Dans la décoration coloriée dont lEgypte couvrait toutes les sur-faces de ses édifices, la figure jouait un rôle plus important et occupaitplus despace quelle ne la fait chez aucun autre peuple. Cependantlartiste avait beau étendre et, multiplier ces tableaux religieux et histo-riques, ces groupes de dieux, dhommes et danimaux, cette profusionmême avait ses limites. A que
RM2AX068F–Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme : aujourd'hui S.A.Rl'infant DFerdinand, duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etcetcetc. . tÊ*wmai*Êiu>ÊÈÊiiummm WOM. v* *J&& ***** LIVRE CINQUIEME. Du concours des conjectures & de Ua-nalogie avec lévidence de fait &lévidence de raifon ; ou par quel-le fuite de conjectures, dobferva-tions y danalogies & de raifonne-ments on a découvert le mouve-ment de la terre v fa figure , fortorbite, ùc. :^t^fte=£Ex»>» TT i peuple croit aux prédirions des éelipfes, Combien les hommes font jjj^j corrtme il croit à la pluie Se au beau-temps portes a rai
RM2AKG3F7–Le pape ; La pitié suprême ; Religions et religion ; L'âne . it, rafraîcbit là-baut le chérubin; Mais le démon a beau rôtir, il est fort terne; Et lon ne comprend pas que dans cette citerne Du flamboiement sans fond, avec un tel grief Et tant de haine, Iblis ait si peu de relief. La femelle dOthrix, la pieuvre dont les pattes Sans quitter lÂrarat saccrochaient aux Garpathes, Et qui, plongeant sous leau, faisait hausser les mers, Nest plus quune nabote aux petits ongles verts, Et le peuple, quau fond votre impuissance blesse, Rit devant la titane avortée en diablesse; Linus, venant du ciel sur
RM2AKAXRT–Histoire des jouets : ouvrage contenant 250 illustrations dans le texte et 100 gravures hors texte dont 50 planches coloriées à l'aquarelle . efois des FrançaisQui de pantins remplissaient chaque étage,Salon, boudoir, corridor, cabinet,Et qui depuis, dans leur transport volage,Ont adoplé le bruyant bilboquet. Il nétait pas rare alors de rencontrer dans la poche dun respectable magistrat un beau pantin à côté dun papier qui devait décider de la vie,de la réputation ou de la fortune des plus illustres citoyens : Dun peuple frivole et volage,Que le pantin soit la divinité !Faut-il être surpris qu
RM2ANEEKE–L'illustration : journal universel . ncer. M. N.—Les iglai8 nuni pas inventé la vapeur, diles-Tous,Monsieur. Ils nont pas citte prétention. Quant aux applicationsde la vapeur, nous sommes de votre avis, sans parla):cr votrehorreur pour un mot. Cepind.int, le peuple qui a laissa enfer-mer Salomon de Cans lonrnio lou, na suèrc le droit de ré-clamer la priorité de linvention. t>n a beau être lrançais, ilfaut être juste avant tout, otre colère aurait bien dautres mo-llis pareils de sexhaler. Calmez-vous, i aimons-nous. M. X., à Paris. — Nous n^parons une erreur involonlaire.M. Sauva dont nous
RM2AFMJBA–. Eloges et discours sur la triomphante reception du roy en sa ville de Paris, apres la reduction de la Rochelle : accompagnez des figures, tant des arcs de triomphe que des autres preparatifs. & troifiefine iour de Décembrede lan mil fix cens vingt-huidr ^ fa Majeité fit fouEntrée à Paris, pour couronner dvn beau Triom-phe la Vi61:oire quil auoit remportée fur les Re-belles , Se pour reiiouyr Ton peuple par le Retourque la Ville aiioit 11 pafTioniiément deilré. Toutes les Compagnies de gens de pied ie trou-ucrent à neufheures du matin dans la Place Royale,& auHi toft commencèrent a marcher pa
RM2ANG2NE–Revue pittoresque : musée littéraire . LE CARNAVAL A ROME. En 18i9, cest un lout aulre carnaval. Le peupleilalien, qui se croit encore le peuple romain, laitdepuis quelques mois le mardi-gras de la démo-cratie. Mais le mercredi des cendres viendra. Onnose dire quel sera le carême. Toujours esl-il quilny a plus de carnaval a. Rome, — ce beau carna-val qui appelait tant détrangers sous prétexte dela semaine sainte. Nous ne voulons pas enterrer lecarnaal de Rome sans rappeler par un vif ta-bleau léclat, la joie et le fantas(iue de ces fêtesétranges. Racontons lout simplement la prome-nade faite
RM2AKJ733–Causeries avec mes élèves . r, et leur éloi-gnement épouvantent limagination. Le champ de lespaceest immense pour tous, excepté pour son auteur. Lhommene peut pas le mesurer. La science a beau augmenterla force du télescope, elle narrive pas, et narrivera jamaisau bojit de cet espace peuplé de mondes sans nombre. Dieua sërHeîês mondes et la vie comme la poussière. Je disla vie, car dans tous ces mondes les êtres vivants pullulentcomme sur cette terre. La vie est partout, la mort nullepart : ce que les hommes appellent mort nest quunetransformation qui sopère sous lœil de Dieu. Voulez-vous me p
RM2AN7PNR–Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre . FiG. TO. — Tirée du lomi)cau dun ét^yplicn aux environs de Gezcli. que, sans doute, la i>osition a(cruuj»ie dont faisaient usage les an-ciennes mexicaines pour accoucher. Nous savons ([uau Nouveau-Mexique (l) les indigènes prennent volontiers cette position. (1) Hifiloire des Accouchements, {). 4:J1, 104 L OBSTETRIQUE Un autre peuple ancien dAmérique nous fournit encore un docu-ment intéressant ifig. 92) ; cest une vieille poterie tirée dun tom-beau Quichua par le D Goates, de Ghester. Elle nous montre. FiG. 91. quau
RM2AWH9C8–Cent dessins : extraits des oeuvres de Victor Hugo : album specimen . REGARD JETÉ DANS UNE MANSARDE Victor Hugo regarde, à travers la lucarne dune mansarde, une jeune fille du peuple, uneouvrière, dont le mouchoir est pudiquement noué, dont le regard est timide ; il lui conseille dêtregaie, laborieuse, et trace delle ce portrait délicat : Sur son beau col, empreint de virginité pure,Point daltière dentelle ou de riche guipure.Mais un simple mouchoir noué pudiquement.Pas de perle à son front, mais aussi pas de ride,Mais un œil chaste et vif, mais un regard limpide.Où brille le regard que sert l
RM2AWFNKG–Questions sur l'encyclopedie . ir mon lin en den- ^telles ; ce manufaélurier ne paiera rien , & ma terrepaiera tout , parce que tour vient de la terre ? La femmede ce manufadurier fournira la reine & les princelTesde beau point dAlençon ; elle aura de la proteâion ;fon tils deviendra intendant de juftice, police & finance,êc augmentera ma taille dans ma miférable vieilleife !Ah 1 melTieurs les fpéculateurs ^ vous calculez mal • &vous êtes injufleSi. Le point capital ferait quun peuple cn:îer ne fûtpoint dépouillé par une arm^^e dalguazils , pour quunevingtaine de fangfuea de la cour ou delà vi
RM2AM5BD7–Oeuvres complettes de messire Esprit Fléchier, évêque de Nismes . amis, qui sengagèrent aveclui à fecourir les pauvres honteux, dans les néceflités pu-bliques ou particulières. Ximenès qui voyoit avec joie ies:fruits que produifoit leur piété les exhorta à sunir enfem-J)le, leur donna des règlemens pour la conduite des hôpi-taux & pour la diftribution des aumônes, & leur mit entreles mains des fommes très-confidérables.La fécherelTe ayantcettQ année-là, caufé une grande difette de vivres Si beau-coup de maladies , il leur donna quatre mille muids debled à diftribuer au peuple. U fit employer e
RM2AFM9M9–. Eloges et discours sur la triomphante reception du roy en sa ville de Paris, apres la reduction de la Rochelle : accompagnez des figures, tant des arcs de triomphe que des autres preparatifs. ut veu par-faidtcmcnt en cette grande ville , qui fè laiflalors faifîrde toutes les paflionsloUables qu vn peuple peut expérimenter pour fon Prince, aulli toft quilparuft comme vn beau Soleil, après vn an dabfence, fur lhorizon de fon en-ceinte. Qupy quelle foit fi grande , qua bon droit on peut dire delle , cequAriftidcs difoit iadisde Rome , que de quelque part qu*onictte les yeux,lon voit de nouuclle
RM2AJ809G–Oeuvres . oit com-plette,Tout en étoit jufques au violon.Le Peuple oifif autour de lui sempreiïe ;|De (es mots compotes admire le beau fbn ;Chacun faifoit voler le mouchoir & la pièce ;jLe Chantre renvoyoit & mouchoir & chanfon»s On Tonne là-deiTus le marché du poifTon. Tout déferte ; il refte un feul homme.Homère court à lui, le nommeI Favori dApollon ; lemhrafTe tendrement.j Au poiflbn , lui dit-il, tout court avidement ;Lheure du marché fonne ; au diable qui de^ meure !! LAuditeur étoit fourd : que dites-vous de lheu-re ? (t) Homère qui a feit mi Poème de la coleie dAchille 6c unjUitie de l
RM2AM8ERW–Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . onnûmes que ce peuple pourrait aisément se convertir à notreloi. Ils vont de lieu à autre, vivant de la pêche. Leur pays est plus chaud que nest lEspagne (-), et leplus beau quil est possible de voir, tout égal et uni, et il ny a lieu si petit où il ny ait des arbres, bienque ce soient sablons, et où il ny ait du froment sauvage qui a lépi comme le se
RM2AKWTMJ–Julie, ou La nouvelle HeloiseLettres de deux amans, habitans d'une petite ville au pied des AlpesRecueillies et publiées . gens & furtout le peuple , que la défunte ayant été mifeau cercueil dans fes habits & avec les plus gran-des précautions , elle a été portée & inhuméedans cet état, fans quil fe foit trouvé perfonneafTez hardi pour toucher au voile. I.e fort du plus à plaindre eft davoir en-core à confoler les autres. Cefl ce qui me refteà faire auprès de mon beau-pere , de Mad*.dOrbe , des amis ,• des parens , des voifms , &de mes propres gens. Le refte neft rien , maismon vieux ami ! mai
RM2CT1GWP–. Qvadrins historiqves de la Bible . pharaon mitlofiph en mariage.De m beau* enfans il eut tantôt après:ISun JfrCanaJJeSyfar la fleur de jon aage,Vdutre Spbraim, qui le jtàuit de près. GENESE XLI.. Sfldnspajjezjes fept ans hienheureus,Et commencera les ftptde tourment,Deuers Iofeph vient-le Peuple paourensVoulant de ha acheter âu jourmenu GENESE XLIL
RM2CE53P4–. Album du siège : recueil de caricatures publiées pendant le siège dans le Charivari . PLUS DJ5 GAZ. Le beau sexe tenant cependant à se faire voir le soir sur le boulevard. wjumiu M^mitH^hm^mpm. lRlîPARA^T LES ETRENÏVES l> 0 li II SOX PEUPLE in ^^^c^^^.^ fl k £ Y fi- r i < % C I ?» * î
RM2CEE2A5–. Dictionnaire de conversation à l'usage des dames et des jeunes personnes : ou, Complément nécessaire de toute bonne éducation. r-à-bras. Si le beau monde a ses spadassins, duellistes dis-tingués , qui lorgnent insolemment. cherchent querelle sous leplus léger prétexte ; le peuple qui, lui, vide sa querelle à la forcedu poignet, a aussi ses duellistes; mais leurs armes sont celles quela nature leur a données, les pieds et les mains. — Les fier-à-bras,duellistes de la barrière, sont toujours prêts à se mettre en garde età se servir de la force musculaire. Que dirait le courageux GuillaumeFier-
RM2CPYR9B–. La doctrine des murs, tiree de la philosophie des stoiques, representee en cent tableaux et expliquee en cent discours pour l'instruction de la ieunesse . &fcs Autels, Voyez no-ftrc Sage, qui par les principes de fa Philofopliie , eft le maiftreabfolu de tou-tes les chofes. Il change labus des richcffes en vn légitime vfage. Il a commevn autre lafon , mis fous le ioug ce dragon efpouuantablc qui garde lor ^ &layant contraint de changer de nature ,1e rend docile à la voix de la vertu. CeTableau expofe ce beau fped:acle à nos yeux , & nous apprend que pendantque le peuple idolâtre & brutal, re
RM2CPD53F–. La doctrine des moevrs, tiree de la philosophie des stoiques, representee en cent tableavx et expliqvee en cent discovrs pour l'instruction de la ieunesse . fesTemples&fès Autels. Voyez no-ftre Sage, qui par les principes de (à Philofophie , eft le maiftre abfolu de tou-tes les chofes. Il change labus des richefTes en vn légitime vfage. Il a commevn autre Iafon , mis fous le ioug ce dragon efpouuantable qui garde lor 5 &layant contraint de changer de nature ,1e rend docile à la voix de la vertu. CeTableau expofe ce beau fpe&acle à nos yeux , & nous apprend que pendantque le peuple idolâtre &
RM2CH7CE1–. L'illustration : journal universel . faciès de ministre, et sur lheur. il d vvientsilaid, si laid, que le peuple ladore et ne veut p:.-senséparer. Le peuple du pays des chimères pense coiiiii>e tegrand poète qui a dit : Le laid, cest le beau. La fuite est lunique ressource de Fortunatus, et :■; voiiaparti avec sa chère Rosalinde. Quoique protégé pa la f-;eMirza, chemin faisant, une autre fée, lafée Giiignonanli, en-lève le beau chevalier danssonpa/aisde crisfal. doù il tomi.edans le parc auœ staiues, deux de ces décorations mauuih-ques, quon est si occujié à bien regarder, quon en perd de
RM2CEFYKN–. Oeuvres, dédiées à S.A.S.M. le duc d'Orléans. uon a Imiroit brilloit de mille grâces; Tous les traits étoient délicats ;Les contours arondis : bref , malgré Tes menaces i La Critique ny mordit pas.Lautre nétoit auprès quune marbre encor infor-me ;Rien de fini; chaque trait eftgroflier? Contours monftrucux, taille énorme :. ^ (a) Phidias ccoit un Sculpteur Grec ^ il fit la Statue de Jtiipiter Oliœpieu qui a pafle pour ime dçs merveilles du monde. L I V R E I. 2f Le peuple renvoyoit louvrage à lattefief. Voilà le Maître, & lautre eft lEcolier.Tout beau , dit le Sculpteur ; il faut nous éprouve
RM2CDYYHP–. [Paraphrase des pseavmes de David, : en vers françois, . lance, Dieu qui ne peux auoir de pareil en pou- uoir, Prens noftre caufe en main, romps en fin. ty laiflè émouuoir, Fay-nous bien-toft fentir ta grâce accouftumée,Contre les ennemis de ta diuine Loy;Pour perd*! tes en£ms ils dreflènt vnc armée,£t leur brutal orgueil séleue contre toy, SV*. LE PSEAVME L X X X 1 J, fj Ik forment contre nous mille deflêins tragique^,» Ruinons, difent-ils, ce peuple ambitieux,„ Etlauant dans fon fang les injures publiques„ Eheignons-en la raceôt le nom odieux. Voik le beau projet que leur rage médite;Voil
RM2CHNGAP–. Recueil de pieces choisies, tant en prose qu'en vers; rassemblées en deux volumes .. . tou; les Chefs de laGrèce, Son Son père* Mais Diane a foif de ce beau fang ; Agamemnon le livre, & Calcas le répand. La belle Iphigénie au Temple eft amenée , Et dun voile aufiî-tôt la vî£Hmeeft ornée ; Tout un grand peuple en pleurs sempreffe pour là voir ,Son père eft auprès delle outré de défefpoir ,Un Prêtre auprès de luy couvre un fer dUne Etole:A ce fpe&acie affreux, elle perd la parole,Sagenouille en tremblant, fe foumet à fon fort*Et sabandonne toute aux horreurs de la mort;Il ne luy fert de rien à
RM2CDM29F–. Revue de l'art chrétien . peuple, il mou-rut en odeur de sainteté. Son corps fut placé dansun tombeau qui na pas été fait pour lui, sarco-phage fort ancien et qui pourrait bien avoir con-tenu les reliques de saint Ansbert, abbé de Mois-sac au septième siècle. Ce beau monument existe encore dans léglise St-Pierre à Mois?ac, bienquil ne soit plus à la place primitive. Le crayonde M. Rupin nous permet den mettre le dessinsous les yeux de nos lecteurs. La liste des abbés est suivie dun dictionnairegéographique des possessions de labbaye deMoissac,—et cest seulement après avoir recher-ché tout ce
RM2CPWM8B–. La doctrine des moeurs : tiree de la philosophie des stoiques: representee en cent tableaux. Et expliquee en cent discours pour l'instruction de la ieunesse. Au Roy . Autels. Voyez no-ftrc Sage, qui par les principes de fa Philofophie , eft le maiftreabfolu de tou-tes les chofes. Il change labus des richefles en vn légitime vfagc. Il a commevn autre lafon , mis fous le ioug ce dragon efpouuantablc qui garde lor j &layant contraint de changer de nature ,1e rend docile à la voix de la vertu. CeTableau expofe ce beau fpcd:acle a nos yeux , & nous apprend que pendantque le peuple idolâtre & brut
RM2CEPDB7–. Les types de Paris. ibles Heurs,Bleu criard, vermillon pétardant, vert qui grince.Mais le peuple, allumé parle litre, est bon prince;Il V sauia cueillir le bouquet des couleurs. 17 ??<S^^ ^^ .^ ^^ hx ?i-: •^ Car ce monde est i aiii puiir lui : loii naysafTeOn 1 hoiniiie met d un loiip eiii(| lions sur le dos;Hercules souriant de poids pyramidaux;Géantes avec leur croupe dans leur coisa^je. Certes, le beau dompteur des cini] lions à basA d(^s bottes et des mousiacbes trop veinies;LHercule en soiniant iloit gagner des bernies;La géanl(% elle met ses mollets dans quels bas? ^Lais toujours
RM2CP6BJP–. L'histoire de la natvre des oyseavx : avec levrs descriptions, & naïfs portraicts retirez du natvrel, escrite en sept livres . utres,dont le peuple n à vfage de sen nourrir. Delà DES OYSEAVX, PAR P. BELON De la Pie.CHAP. VI IL Vie S^#|^^^iR I S T O T E en fesliures des animaux ânomé la Pie K.kta, Klft4^j^WWA^^^^ les Latins Vica -, à la différence d vn autre,cjui eft nômé Pic us. piC<t. «ioulp U ny â aucune difficulté en fon appellâtion:car elle a de fi bô-M^Ë=^^oi^nes enfeignes, quon la peut recognoiftre en touts lieux, veu//^^^.^pmefmemét quil ny â rien de plus beau que de luy voir tout
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