Mémoires . e alcali-akaline o- - ^^^ laquelle va jufquà un degré de malignité qui peutproduire des effets funeftes. Nous nous reffouviendronsenfin, que, plus les fels de nos humeurs font travaillés parle jeu des vaiffeaux, plus ils tendent à salcalifer; mais quecette feule caufe ne fuffit pas peur les alcalifcr parfaite-Acrimonie ment. On a été attentif à obfcrver, que dans les plusalçalefcente. gj-^j-jjgs fiévres, & dans les plus grandes agitations deshumeurs, fi nos fels ne saicalifent pas parfaitement,ils peuvent cependant acquérir par cette même caufeun degré dacrimonie alçalefcente, qui f
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Mémoires . e alcali-akaline o- - ^^^ laquelle va jufquà un degré de malignité qui peutproduire des effets funeftes. Nous nous reffouviendronsenfin, que, plus les fels de nos humeurs font travaillés parle jeu des vaiffeaux, plus ils tendent à salcalifer; mais quecette feule caufe ne fuffit pas peur les alcalifcr parfaite-Acrimonie ment. On a été attentif à obfcrver, que dans les plusalçalefcente. gj-^j-jjgs fiévres, & dans les plus grandes agitations deshumeurs, fi nos fels ne saicalifent pas parfaitement, ils peuvent cependant acquérir par cette même caufeun degré dacrimonie alçalefcente, qui fouvent produitAcrimonie chez nous beaucoup de défordre. Voilà les principauxdes humeurs „g, ^j.(, 5 dacrimonies dont nos humeurs font fufceptibles, par les me- P , , , , a, ? u fanges de mdependammentide tous mélanges; mais elles peuventlubftances p^r leur alliage avec des fubflances étrangères admettrectrangeies {.Q^fes les différentes acrimonies qui font propres à cesfubflances.. »Î5 REMARQUES .S^r /^^ Tumeurs formées par la bile retenue dans UVc/tade du fiel j ç^ au on a fou^vent prifes pour desahfccs au foye. Par M. P E T I T. Article Premier. Es maladies ne fc manifeftent ^^as toujours Ci dif-, tindement quon ne puiffe quelquefois sy mépren- ABSCES AI/tOYE. tindement quon ne puiffe quelquefois s y mépren- timbursdedre, fur-tout lorfqu elles font compliquées, parce qualors ^y fiel pri.la foule des fimptômes quon y trouve raffemblés jette ses pour desdans léquivoque, ôc fouvent dans lerreur : on ne trouveque trop dexemples de cette fatale vérité, lorfquil sagitde diftinguer lefpéce & le vrai caratlere de la plupartdes apoftêmes qui fe forment dans la cavité du bas ventre.La difficulté ne vient pas feulement de ce que ces apoftê-mes font moins vifibles ôc moins palpables que ceux quiattaquent les parties extérieures, mais encore de ce quela pKipart ont leurs fymptômes confondus avec ceux deplufieurs autres maladies qui les accompagnen