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KERR,BRYNNER, THE KING AND I, 1956 Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/kerrbrynner-the-king-and-i-1956-image239425429.html
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La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . I ^ ^ ^ .ros que ba.la . fre une en .tail. 68 i Assez vif. ÉGLE. léyer. 3- ^^ X SÉ f LE ROI, au Duc, un peu railleur.3 Moi, mes vœux sont tout ac. i ?^piipr FF rf»Jg ?: Ou vous ai - . nie pom- la mi -trail . .le!Assez vif. É m ^^=^ U I p, ^ ^ —g j «r K Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-carmlite-comdie-musicale-en-quatre-actes-et-cinq-tableaux-pome-de-catulle-mends-i-ros-que-bala-fre-une-en-tail-68-i-assez-vif-gle-lyer-3-x-s-f-le-roi-au-duc-un-peu-railleur3-moi-mes-vux-sont-tout-ac-i-piipr-ff-rfjg-ou-vous-ai-nie-pom-la-mi-trail-le!assez-vif-m-=-u-i-p-g-j-r-k-image338110301.html
RM2AJ273W–La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . I ^ ^ ^ .ros que ba.la . fre une en .tail. 68 i Assez vif. ÉGLE. léyer. 3- ^^ X SÉ f LE ROI, au Duc, un peu railleur.3 Moi, mes vœux sont tout ac. i ?^piipr FF rf»Jg ?: Ou vous ai - . nie pom- la mi -trail . .le!Assez vif. É m ^^=^ U I p, ^ ^ —g j «r K
CARLOS RIVAS, RITA MORENO, THE KING AND I, 1956 Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/carlos-rivas-rita-moreno-the-king-and-i-1956-image241014980.html
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RMT03R6R–FILM POSTER, THE KING AND I, 1956
'L'oncle de l'Europe' devant l'objectif caricatural : images anglaises, françaises, italiennes, allemandes, autrichiennes, hollandaises, belges, suisses, espagnoles, portugaises, américaines, etc. . LE DELHI... RE DE DELHI. Lapothéose indienne du roi Édouard. Caricature de Caramba (Pasquino de Turin 1901). 220 loncll de letthope. KIEL ! KJEL ! — ÉDOUAKD ET WILLY, — Salut, mon bon oncle, laissea-moi vous serrer dans mes bras. Caricature de Orion ( Uilenspiegel, de Rotterdam, juillet 1904). * Une des nombreuses caricatures sur Kiel, sur les « ctnbrasscments et les étreintes sympathi-ques » des Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/loncle-de-leurope-devant-lobjectif-caricatural-images-anglaises-francaises-italiennes-allemandes-autrichiennes-hollandaises-belges-suisses-espagnoles-portugaises-americaines-etc-le-delhi-re-de-delhi-lapothose-indienne-du-roi-douard-caricature-de-caramba-pasquino-de-turin-1901-220-loncll-de-letthope-kiel-!-kjel-!-douakd-et-willy-salut-mon-bon-oncle-laissea-moi-vous-serrer-dans-mes-bras-caricature-de-orion-uilenspiegel-de-rotterdam-juillet-1904-une-des-nombreuses-caricatures-sur-kiel-sur-les-ctnbrasscments-et-les-treintes-sympathi-ques-des-image343286048.html
RM2AXE0T0–'L'oncle de l'Europe' devant l'objectif caricatural : images anglaises, françaises, italiennes, allemandes, autrichiennes, hollandaises, belges, suisses, espagnoles, portugaises, américaines, etc. . LE DELHI... RE DE DELHI. Lapothéose indienne du roi Édouard. Caricature de Caramba (Pasquino de Turin 1901). 220 loncll de letthope. KIEL ! KJEL ! — ÉDOUAKD ET WILLY, — Salut, mon bon oncle, laissea-moi vous serrer dans mes bras. Caricature de Orion ( Uilenspiegel, de Rotterdam, juillet 1904). * Une des nombreuses caricatures sur Kiel, sur les « ctnbrasscments et les étreintes sympathi-ques » des
THE KING AND I, YUL BRYNNER, 1956 Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/the-king-and-i-yul-brynner-1956-image236824250.html
RMRN87MX–THE KING AND I, YUL BRYNNER, 1956
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RMRYDA8M–YUL BRYNNER, THE KING AND I, 1956
Oeuvres . LIVRE CINQUIEME- LE PHCENIX ET LE HIBOU. FABLE PREMIE RE. A LA REIKE DE PRUSSE. I commencé mon Livre par mon Roi ;CJne autre Majefté couronneralouvrage.Reine , agrée ici mon ouvrage ;Ce tribut étranger nen vaut que mieux pour toitLencens de tes Sujets reiïent la dépendance ;Tous leurs hommages te font dus :Ils font fuiCts de ta puifiance ;Je ne le (uis, moi , que de tes vertus ,Jai confulté la RenomméeSur ton cœur & fur ton efprit ;La bonne Courriers charmée Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/oeuvres-livre-cinquieme-le-phcenix-et-le-hibou-fable-premie-re-a-la-reike-de-prusse-i-commenc-mon-livre-par-mon-roi-cjne-autre-majeft-couronneralouvragereine-agre-ici-mon-ouvrage-ce-tribut-tranger-nen-vaut-que-mieux-pour-toitlencens-de-tes-sujets-reient-la-dpendance-tous-leurs-hommages-te-font-dus-ils-font-fuicts-de-ta-puifiance-je-ne-le-uis-moi-que-de-tes-vertus-jai-confult-la-renommesur-ton-cur-fur-ton-efprit-la-bonne-courriers-charme-image338237834.html
RM2AJ81PJ–Oeuvres . LIVRE CINQUIEME- LE PHCENIX ET LE HIBOU. FABLE PREMIE RE. A LA REIKE DE PRUSSE. I commencé mon Livre par mon Roi ;CJne autre Majefté couronneralouvrage.Reine , agrée ici mon ouvrage ;Ce tribut étranger nen vaut que mieux pour toitLencens de tes Sujets reiïent la dépendance ;Tous leurs hommages te font dus :Ils font fuiCts de ta puifiance ;Je ne le (uis, moi , que de tes vertus ,Jai confulté la RenomméeSur ton cœur & fur ton efprit ;La bonne Courriers charmée
YUL BRYNNER, DEBORAH KERR, THE KING AND I, 1956 Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/yul-brynner-deborah-kerr-the-king-and-i-1956-image240692441.html
RMRYGDJH–YUL BRYNNER, DEBORAH KERR, THE KING AND I, 1956
La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . H. •! 2i7 L. I Parlé. fuir! Ah! I LE ROI, ;iii loin. p plus i-Hiiprixlit y Y •? :; 32: g^^ ^ f Lou - i . -se! Loui . i fei fig^;—^r^j ^ h: ^ # =i t è= :S: ^ ^ ^i* S t P^ ?(it-iiiiiiiiit..1 > g È Elit! sélaiic dans ses bras, tiaiisporlée. >a^ ppj i F.ii.tes-moi fuir, mou Dieu! |iaiaissaiil. Ah!. m =^^ Ml ^ P . se! Loui se! Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-carmlite-comdie-musicale-en-quatre-actes-et-cinq-tableaux-pome-de-catulle-mends-h-!-2i7-l-i-parl-fuir!-ah!-i-le-roi-iii-loin-p-plus-i-hiiprixlit-y-y-32-g-f-lou-i-se!-loui-i-fei-figrj-h-=i-t-=-s-i-s-t-p-it-iiiiiiiiit1-gt-g-elit!-slaiic-dans-ses-bras-tiaiisporle-gta-ppj-i-fiites-moi-fuir-mou-dieu!-iaiaissaiil-ah!-m-=-ml-p-se!-loui-se!-image338081884.html
RM2AJ0XW0–La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . H. •! 2i7 L. I Parlé. fuir! Ah! I LE ROI, ;iii loin. p plus i-Hiiprixlit y Y •? :; 32: g^^ ^ f Lou - i . -se! Loui . i fei fig^;—^r^j ^ h: ^ # =i t è= :S: ^ ^ ^i* S t P^ ?(it-iiiiiiiiit..1 > g È Elit! sélaiic dans ses bras, tiaiisporlée. >a^ ppj i F.ii.tes-moi fuir, mou Dieu! |iaiaissaiil. Ah!. m =^^ Ml ^ P . se! Loui se!
'L'oncle de l'Europe' devant l'objectif caricatural : images anglaises, françaises, italiennes, allemandes, autrichiennes, hollandaises, belges, suisses, espagnoles, portugaises, américaines, etc. . LE ROI EDOUARD VII. Le Roi. — « Et ne timagine pas que je sois ce que je fus naguère ! Dieusait, et le monde le verra bien désormais, que jai arraché de mon êtremon précédent Moi ! Et jen ferai autant de ceux qui furent mescompagnons dantan ! » Shakespeare : Henri IV, 3e partie, acte IV.Composition de W. Van Konijnenburgs. (Nederlandsche Spectator, de La Haye, janvier 1901). 11 162 LONCLE DE LEUR Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/loncle-de-leurope-devant-lobjectif-caricatural-images-anglaises-francaises-italiennes-allemandes-autrichiennes-hollandaises-belges-suisses-espagnoles-portugaises-americaines-etc-le-roi-edouard-vii-le-roi-et-ne-timagine-pas-que-je-sois-ce-que-je-fus-nagure-!-dieusait-et-le-monde-le-verra-bien-dsormais-que-jai-arrach-de-mon-tremon-prcdent-moi-!-et-jen-ferai-autant-de-ceux-qui-furent-mescompagnons-dantan-!-shakespeare-henri-iv-3e-partie-acte-ivcomposition-de-w-van-konijnenburgs-nederlandsche-spectator-de-la-haye-janvier-1901-11-162-loncle-de-leur-image343311040.html
RM2AXF4MG–'L'oncle de l'Europe' devant l'objectif caricatural : images anglaises, françaises, italiennes, allemandes, autrichiennes, hollandaises, belges, suisses, espagnoles, portugaises, américaines, etc. . LE ROI EDOUARD VII. Le Roi. — « Et ne timagine pas que je sois ce que je fus naguère ! Dieusait, et le monde le verra bien désormais, que jai arraché de mon êtremon précédent Moi ! Et jen ferai autant de ceux qui furent mescompagnons dantan ! » Shakespeare : Henri IV, 3e partie, acte IV.Composition de W. Van Konijnenburgs. (Nederlandsche Spectator, de La Haye, janvier 1901). 11 162 LONCLE DE LEUR
Magasin universel : publié sous la direction de savants, de littérateurs et d'artistes . jeunescourtisans qui entouraient le roi, riaient entre eux de satournure, de ses manières et de son costume : il sen aper-çut, et sadressant au roi : « Sire, lui dit-il, je suis tropvieux pour changer dhabitude sur rien; quand le feu roivotre père, de glorieuse mémoire, me faisait lhonneur deî mappeler auprès de sa personne, pour sentretenir avec, moi sur les grandes et importantes affaires, au préalable, il faisait sortir les bouffons. »| Lordre et la paix régnaient parmi les nombreux domes-tiques du duc. Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/magasin-universel-publi-sous-la-direction-de-savants-de-littrateurs-et-dartistes-jeunescourtisans-qui-entouraient-le-roi-riaient-entre-eux-de-satournure-de-ses-manires-et-de-son-costume-il-sen-aper-ut-et-sadressant-au-roi-sire-lui-dit-il-je-suis-tropvieux-pour-changer-dhabitude-sur-rien-quand-le-feu-roivotre-pre-de-glorieuse-mmoire-me-faisait-lhonneur-de-mappeler-auprs-de-sa-personne-pour-sentretenir-avec-moi-sur-les-grandes-et-importantes-affaires-au-pralable-il-faisait-sortir-les-bouffons-lordre-et-la-paix-rgnaient-parmi-les-nombreux-domes-tiques-du-duc-image339134847.html
RM2AKMWXR–Magasin universel : publié sous la direction de savants, de littérateurs et d'artistes . jeunescourtisans qui entouraient le roi, riaient entre eux de satournure, de ses manières et de son costume : il sen aper-çut, et sadressant au roi : « Sire, lui dit-il, je suis tropvieux pour changer dhabitude sur rien; quand le feu roivotre père, de glorieuse mémoire, me faisait lhonneur deî mappeler auprès de sa personne, pour sentretenir avec, moi sur les grandes et importantes affaires, au préalable, il faisait sortir les bouffons. »| Lordre et la paix régnaient parmi les nombreux domes-tiques du duc.
Oeuvres complètes . ujette soumise,Marguerite, quoique ce soit une chose rare de nos jours,dit la comtesse; mais notre bon plaisir, ajouta-t-elle ensouriant, était de voyager incognito, et, apprenant quevous aviez nombreuse compagnie, nous navons pasvoulu vous troubler de notre présence royale. — Mais où, mais comment avez-vous été logée, ma-dame? demanda la comtesse. Pourquoi avez-vous gardéle secret sur une visite qui aurait doublé le plaisir detous les fidèles serviteurs du roi réunis hier en ce châ-teau ? — Ellesmere, votre Ellesmere aujourdhui, car au-trefois cétait à moi quelle appartena Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/oeuvres-compltes-ujette-soumisemarguerite-quoique-ce-soit-une-chose-rare-de-nos-joursdit-la-comtesse-mais-notre-bon-plaisir-ajouta-t-elle-ensouriant-tait-de-voyager-incognito-et-apprenant-quevous-aviez-nombreuse-compagnie-nous-navons-pasvoulu-vous-troubler-de-notre-prsence-royale-mais-o-mais-comment-avez-vous-t-loge-ma-dame-demanda-la-comtesse-pourquoi-avez-vous-gardle-secret-sur-une-visite-qui-aurait-doubl-le-plaisir-detous-les-fidles-serviteurs-du-roi-runis-hier-en-ce-ch-teau-ellesmere-votre-ellesmere-aujourdhui-car-au-trefois-ctait-moi-quelle-appartena-image338190546.html
RM2AJ5WDP–Oeuvres complètes . ujette soumise,Marguerite, quoique ce soit une chose rare de nos jours,dit la comtesse; mais notre bon plaisir, ajouta-t-elle ensouriant, était de voyager incognito, et, apprenant quevous aviez nombreuse compagnie, nous navons pasvoulu vous troubler de notre présence royale. — Mais où, mais comment avez-vous été logée, ma-dame? demanda la comtesse. Pourquoi avez-vous gardéle secret sur une visite qui aurait doublé le plaisir detous les fidèles serviteurs du roi réunis hier en ce châ-teau ? — Ellesmere, votre Ellesmere aujourdhui, car au-trefois cétait à moi quelle appartena
Thadéus le réssuscité . solement complet où ces événe-mens lavaient placée, et lespèce de nécessitéqui en résultait pour elle de se confier à lui,désormais son seul protecteur sur la terre ! — Et le Roi, Monsieur? dit-elle en linter-rompant ; si jallais tout dire au Roi ? Le noble pair fut confondu. — Sortez, reprit-elle; laissez-moi seule.Demain vous aurez ma réponse. Il sortit. ilC — LA NUIT DES NOCES. — M. Diifour lattendait. Le maître passa brus-quement, sans même jeter les yeux sur lui, etrentra dans son appartement. Il était quatre heures du matin. FIN DE LA SECONDE PARTIE ET DU PREMIER Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/thadus-le-rssuscit-solement-complet-o-ces-vne-mens-lavaient-place-et-lespce-de-ncessitqui-en-rsultait-pour-elle-de-se-confier-luidsormais-son-seul-protecteur-sur-la-terre-!-et-le-roi-monsieur-dit-elle-en-linter-rompant-si-jallais-tout-dire-au-roi-le-noble-pair-fut-confondu-sortez-reprit-elle-laissez-moi-seuledemain-vous-aurez-ma-rponse-il-sortit-ilc-la-nuit-des-noces-m-diifour-lattendait-le-matre-passa-brus-quement-sans-mme-jeter-les-yeux-sur-lui-etrentra-dans-son-appartement-il-tait-quatre-heures-du-matin-fin-de-la-seconde-partie-et-du-premier-image342935943.html
RM2AWX287–Thadéus le réssuscité . solement complet où ces événe-mens lavaient placée, et lespèce de nécessitéqui en résultait pour elle de se confier à lui,désormais son seul protecteur sur la terre ! — Et le Roi, Monsieur? dit-elle en linter-rompant ; si jallais tout dire au Roi ? Le noble pair fut confondu. — Sortez, reprit-elle; laissez-moi seule.Demain vous aurez ma réponse. Il sortit. ilC — LA NUIT DES NOCES. — M. Diifour lattendait. Le maître passa brus-quement, sans même jeter les yeux sur lui, etrentra dans son appartement. Il était quatre heures du matin. FIN DE LA SECONDE PARTIE ET DU PREMIER
Nouveau traité d'instrumentation . (p. 847 et suiv.de gr. partit. bres? Nous sa.vons f quau ciel seul nous de.vons être u . nis— M.vez-vous Rappelons ensuite, au IV* acte du Prophète (scène de lexorcisme^, le dessin tortueux qui sedérouie au-dessous de la cantilène insinuante du roi des Anabaptistes, pendant quil fascinedu regard la pauvre Fidès, terrifiée, bouleversée, partagée entre lhorreur pour lapostat etla tendresse pour son enfant. Ex. 274 2 Flûtes un Hautbois une-Xlarinette(sopr.) eu Si t> Clariuette-basseeu Si > Andte sostenulo. 48 ; J , °rM. bien quemain.te.nant vers moi .ton Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/nouveau-trait-dinstrumentation-p-847-et-suivde-gr-partit-bres-nous-savons-f-quau-ciel-seul-nous-devons-tre-u-nis-mvez-vous-rappelons-ensuite-au-iv-acte-du-prophte-scne-de-lexorcisme-le-dessin-tortueux-qui-sedrouie-au-dessous-de-la-cantilne-insinuante-du-roi-des-anabaptistes-pendant-quil-fascinedu-regard-la-pauvre-fids-terrifie-bouleverse-partage-entre-lhorreur-pour-lapostat-etla-tendresse-pour-son-enfant-ex-274-2-fltes-un-hautbois-une-xlarinettesopr-eu-si-tgt-clariuette-basseeu-si-gt-andte-sostenulo-48-j-rm-bien-quemaintenant-vers-moi-ton-image342717178.html
RM2AWG376–Nouveau traité d'instrumentation . (p. 847 et suiv.de gr. partit. bres? Nous sa.vons f quau ciel seul nous de.vons être u . nis— M.vez-vous Rappelons ensuite, au IV* acte du Prophète (scène de lexorcisme^, le dessin tortueux qui sedérouie au-dessous de la cantilène insinuante du roi des Anabaptistes, pendant quil fascinedu regard la pauvre Fidès, terrifiée, bouleversée, partagée entre lhorreur pour lapostat etla tendresse pour son enfant. Ex. 274 2 Flûtes un Hautbois une-Xlarinette(sopr.) eu Si t> Clariuette-basseeu Si > Andte sostenulo. 48 ; J , °rM. bien quemain.te.nant vers moi .ton
Histoire de Bayard, surnommé Le Chevalier sans peur et sans reproche . — Ce nest pas moi, réponciit-il, qui dois exciter la pitié(page M8) CHAPITRE IX François I, après la bataille de Mari-gnan, entra triomphant dans Milan. Dès quil neut plus rien à conquérir enItalie, il reprit le chemin de la France, dontle feu de la guerre ravageait les frontières.Les impériaux, après sêtre rendus maî-tres de Mouzon, menaçaient Mézières,seul rempart qui restât à la Champagne. Le roi convoqua un conseil de guerre,dont le résultat fut de détruire Mézières et 106 HISTOIRE DE BAYARD 107 den dévaster le territoi Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/histoire-de-bayard-surnomm-le-chevalier-sans-peur-et-sans-reproche-ce-nest-pas-moi-rponciit-il-qui-dois-exciter-la-pitipage-m8-chapitre-ix-franois-i-aprs-la-bataille-de-mari-gnan-entra-triomphant-dans-milan-ds-quil-neut-plus-rien-conqurir-enitalie-il-reprit-le-chemin-de-la-france-dontle-feu-de-la-guerre-ravageait-les-frontiresles-impriaux-aprs-stre-rendus-ma-tres-de-mouzon-menaaient-mziresseul-rempart-qui-restt-la-champagne-le-roi-convoqua-un-conseil-de-guerredont-le-rsultat-fut-de-dtruire-mzires-et-106-histoire-de-bayard-107-den-dvaster-le-territoi-image343211804.html
RM2AXAJ4C–Histoire de Bayard, surnommé Le Chevalier sans peur et sans reproche . — Ce nest pas moi, réponciit-il, qui dois exciter la pitié(page M8) CHAPITRE IX François I, après la bataille de Mari-gnan, entra triomphant dans Milan. Dès quil neut plus rien à conquérir enItalie, il reprit le chemin de la France, dontle feu de la guerre ravageait les frontières.Les impériaux, après sêtre rendus maî-tres de Mouzon, menaçaient Mézières,seul rempart qui restât à la Champagne. Le roi convoqua un conseil de guerre,dont le résultat fut de détruire Mézières et 106 HISTOIRE DE BAYARD 107 den dévaster le territoi
. Le Jardin des plantes : description. ssal. QUE>TIN DURWARD. 73 — Je vous suis, messire, dit Galeotti; et juijeant sans doute (|iicla fuite était impossible, il accompagna le messager. — ous faites bien, lui dit celui-ci chemin faisant; nous traitonsnotre cousin comme un vieuv lion en cage. Pour exercer ses m.î-clioires, on lui donne par intervalles un os a ronger. — Est-ce à dire, reprit Martivalle, que le roi veut me maltraiter! — ^ ous le devinez mieux que moi, car, maigre les nuages qui cou-vrent le ciel, vous voyez encore les étoiles. Je ne sais rien des pro-jets de Louis; seulement Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-jardin-des-plantes-description-ssal-quegttin-durward-73-je-vous-suis-messire-dit-galeotti-et-juijeant-sans-doute-iicla-fuite-tait-impossible-il-accompagna-le-messager-ous-faites-bien-lui-dit-celui-ci-chemin-faisant-nous-traitonsnotre-cousin-comme-un-vieuv-lion-en-cage-pour-exercer-ses-m-clioires-on-lui-donne-par-intervalles-un-os-a-ronger-est-ce-dire-reprit-martivalle-que-le-roi-veut-me-maltraiter!-ous-le-devinez-mieux-que-moi-car-maigre-les-nuages-qui-cou-vrent-le-ciel-vous-voyez-encore-les-toiles-je-ne-sais-rien-des-pro-jets-de-louis-seulement-image337055057.html
RM2AGA54H–. Le Jardin des plantes : description. ssal. QUE>TIN DURWARD. 73 — Je vous suis, messire, dit Galeotti; et juijeant sans doute (|iicla fuite était impossible, il accompagna le messager. — ous faites bien, lui dit celui-ci chemin faisant; nous traitonsnotre cousin comme un vieuv lion en cage. Pour exercer ses m.î-clioires, on lui donne par intervalles un os a ronger. — Est-ce à dire, reprit Martivalle, que le roi veut me maltraiter! — ^ ous le devinez mieux que moi, car, maigre les nuages qui cou-vrent le ciel, vous voyez encore les étoiles. Je ne sais rien des pro-jets de Louis; seulement
. Le Jardin des plantes : description. e déclare, je suis sûr damener Charles de Bourgogne àpenser de moi ce ([ue je voudrai; et pour dissiper ses doutes, jiraisau besoin, désarmé, monté sur un palefroi, lui rendre visite dans satente, sans autre garde que toi-même, ami Olivier. — Eh bien, sire, moi, qui ne me vante de manier lacier que sousforme de rasoir, jaimerais mieux charger un bataillon de piquierssuisses que de vous suivre dans cette visite amicale, ((uand Charlesde Rourgogne a tant de motifs pour être sur (|ue vous le détestez. — Tu es un fou, Olivier, sécria le roi, malgré tes préten Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-jardin-des-plantes-description-e-dclare-je-suis-sr-damener-charles-de-bourgogne-penser-de-moi-ce-ue-je-voudrai-et-pour-dissiper-ses-doutes-jiraisau-besoin-dsarm-mont-sur-un-palefroi-lui-rendre-visite-dans-satente-sans-autre-garde-que-toi-mme-ami-olivier-eh-bien-sire-moi-qui-ne-me-vante-de-manier-lacier-que-sousforme-de-rasoir-jaimerais-mieux-charger-un-bataillon-de-piquierssuisses-que-de-vous-suivre-dans-cette-visite-amicale-uand-charlesde-rourgogne-a-tant-de-motifs-pour-tre-sur-ue-vous-le-dtestez-tu-es-un-fou-olivier-scria-le-roi-malgr-tes-prten-image337059352.html
RM2AGAAJ0–. Le Jardin des plantes : description. e déclare, je suis sûr damener Charles de Bourgogne àpenser de moi ce ([ue je voudrai; et pour dissiper ses doutes, jiraisau besoin, désarmé, monté sur un palefroi, lui rendre visite dans satente, sans autre garde que toi-même, ami Olivier. — Eh bien, sire, moi, qui ne me vante de manier lacier que sousforme de rasoir, jaimerais mieux charger un bataillon de piquierssuisses que de vous suivre dans cette visite amicale, ((uand Charlesde Rourgogne a tant de motifs pour être sur (|ue vous le détestez. — Tu es un fou, Olivier, sécria le roi, malgré tes préten
. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. SCENES FRANCOISES 5D ARLEQUIN LINGERE DU PALAIS. SCENE DÉ LA LINGERE ET DU LIMONADIER.ARLEgV IN,PASgV ARIÈL. Arlequin babillé moitié en femme & moi-tié en homme , par oit dans le fond dune boutiquede lingere > contigue a celle dun limonadier*ARLEQUIN Se montrant du cote de lhabit de femme, &tontrefa>rantla lingere , crie : Es chemifes , des cravates, descaleçons , des torchons, metfieurs.>ASQUARIE Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-thtre-italien-de-gherardi-ou-le-recueil-gnral-de-toutes-les-comdies-scnes-franaises-joues-par-les-comdiens-italiens-du-roi-pendant-tout-le-temps-quils-ont-t-au-service-scenes-francoises-5d-arlequin-lingere-du-palais-scene-d-la-lingere-et-du-limonadierarlegv-inpasgv-aril-arlequin-babill-moiti-en-femme-moi-ti-en-homme-par-oit-dans-le-fond-dune-boutiquede-lingere-gt-contigue-a-celle-dun-limonadierarlequin-se-montrant-du-cote-de-lhabit-de-femme-tontrefagtrantla-lingere-crie-es-chemifes-des-cravates-descaleons-des-torchons-metfieursgtasquarie-image336784553.html
RM2AFWT3N–. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. SCENES FRANCOISES 5D ARLEQUIN LINGERE DU PALAIS. SCENE DÉ LA LINGERE ET DU LIMONADIER.ARLEgV IN,PASgV ARIÈL. Arlequin babillé moitié en femme & moi-tié en homme , par oit dans le fond dune boutiquede lingere > contigue a celle dun limonadier*ARLEQUIN Se montrant du cote de lhabit de femme, &tontrefa>rantla lingere , crie : Es chemifes , des cravates, descaleçons , des torchons, metfieurs.>ASQUARIE
Annales catholiques : revue religieuse hebdomadaire de la France et de l'église . trer labsurdité et lim-possibilité de tenir ses engagements : Bast ! dit-il, dans dix ans,le Roi, lâne ou moi seront morts ! On dirait la fable faite dhier. La Bourse nest pas contente ; elle comptait sur lémission pourfaire une rafle, et elle ne pourra laccaparer comme elle leût voulu ;elle a boudé et a arrêté la hausse ; mais elle boude contre sonventre, parce que, de gré ou de force, elle est contrainte à soutenirles cours, attendu quelle a une série démissions à faire, une quan-tité de millions à demander au Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/annales-catholiques-revue-religieuse-hebdomadaire-de-la-france-et-de-lglise-trer-labsurdit-et-lim-possibilit-de-tenir-ses-engagements-bast-!-dit-il-dans-dix-ansle-roi-lne-ou-moi-seront-morts-!-on-dirait-la-fable-faite-dhier-la-bourse-nest-pas-contente-elle-comptait-sur-lmission-pourfaire-une-rafle-et-elle-ne-pourra-laccaparer-comme-elle-let-voulu-elle-a-boud-et-a-arrt-la-hausse-mais-elle-boude-contre-sonventre-parce-que-de-gr-ou-de-force-elle-est-contrainte-soutenirles-cours-attendu-quelle-a-une-srie-dmissions-faire-une-quan-tit-de-millions-demander-au-image340249144.html
RM2ANFK74–Annales catholiques : revue religieuse hebdomadaire de la France et de l'église . trer labsurdité et lim-possibilité de tenir ses engagements : Bast ! dit-il, dans dix ans,le Roi, lâne ou moi seront morts ! On dirait la fable faite dhier. La Bourse nest pas contente ; elle comptait sur lémission pourfaire une rafle, et elle ne pourra laccaparer comme elle leût voulu ;elle a boudé et a arrêté la hausse ; mais elle boude contre sonventre, parce que, de gré ou de force, elle est contrainte à soutenirles cours, attendu quelle a une série démissions à faire, une quan-tité de millions à demander au
. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. SCENES FRANCOISES 5D ARLEQUIN LINGERE DU PALAIS. SCENE DÉ LA LINGERE ET DU LIMONADIER.ARLEgV IN,PASgV ARIÈL. Arlequin babillé moitié en femme & moi-tié en homme , par oit dans le fond dune boutiquede lingere > contigue a celle dun limonadier*ARLEQUIN Se montrant du cote de lhabit de femme, &tontrefa>rantla lingere , crie : Es chemifes , des cravates, descaleçons , des torchons, metfieurs.>ASQUARIE Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-thtre-italien-de-gherardi-ou-le-recueil-gnral-de-toutes-les-comdies-scnes-franaises-joues-par-les-comdiens-italiens-du-roi-pendant-tout-le-temps-quils-ont-t-au-service-scenes-francoises-5d-arlequin-lingere-du-palais-scene-d-la-lingere-et-du-limonadierarlegv-inpasgv-aril-arlequin-babill-moiti-en-femme-moi-ti-en-homme-par-oit-dans-le-fond-dune-boutiquede-lingere-gt-contigue-a-celle-dun-limonadierarlequin-se-montrant-du-cote-de-lhabit-de-femme-tontrefagtrantla-lingere-crie-es-chemifes-des-cravates-descaleons-des-torchons-metfieursgtasquarie-image336784294.html
RM2AFWRPE–. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. SCENES FRANCOISES 5D ARLEQUIN LINGERE DU PALAIS. SCENE DÉ LA LINGERE ET DU LIMONADIER.ARLEgV IN,PASgV ARIÈL. Arlequin babillé moitié en femme & moi-tié en homme , par oit dans le fond dune boutiquede lingere > contigue a celle dun limonadier*ARLEQUIN Se montrant du cote de lhabit de femme, &tontrefa>rantla lingere , crie : Es chemifes , des cravates, descaleçons , des torchons, metfieurs.>ASQUARIE
. Oeuvres diverses de Jules Janin. t ainsi toute la description de cette mai- 224 BARNAVE. son rustique. Il en savait tous les détours, il enavait vu toutes les fêtes, il avait été paysan dansce hameau dont le Roi était le bailli ; paysan danscette ferme dont la Reine était la fermière; il avaitensemencé ces champs; il avait gardé ces trou-peaux; il avait prié dans cette chapelle, qui avaitun cardinal pour aumônier; tout cela était sonbien, son domaine, son Allemagne, car il étaitAllemand, lui aussi, Allemand comme moi, pourêtre de la même nation que la Reine ; et de cettenature allemande il m Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/oeuvres-diverses-de-jules-janin-t-ainsi-toute-la-description-de-cette-mai-224-barnave-son-rustique-il-en-savait-tous-les-dtours-il-enavait-vu-toutes-les-ftes-il-avait-t-paysan-dansce-hameau-dont-le-roi-tait-le-bailli-paysan-danscette-ferme-dont-la-reine-tait-la-fermire-il-avaitensemenc-ces-champs-il-avait-gard-ces-trou-peaux-il-avait-pri-dans-cette-chapelle-qui-avaitun-cardinal-pour-aumnier-tout-cela-tait-sonbien-son-domaine-son-allemagne-car-il-taitallemand-lui-aussi-allemand-comme-moi-pourtre-de-la-mme-nation-que-la-reine-et-de-cettenature-allemande-il-m-image336649375.html
RM2AFKKKY–. Oeuvres diverses de Jules Janin. t ainsi toute la description de cette mai- 224 BARNAVE. son rustique. Il en savait tous les détours, il enavait vu toutes les fêtes, il avait été paysan dansce hameau dont le Roi était le bailli ; paysan danscette ferme dont la Reine était la fermière; il avaitensemencé ces champs; il avait gardé ces trou-peaux; il avait prié dans cette chapelle, qui avaitun cardinal pour aumônier; tout cela était sonbien, son domaine, son Allemagne, car il étaitAllemand, lui aussi, Allemand comme moi, pourêtre de la même nation que la Reine ; et de cettenature allemande il m
. Oeuvres diverses de Jules Janin. Voltaireétait le plus grand roi de son temps. Je me misun matin au nombre des esprits forts; je renonçaià ma vanité de grand seigneur pour admirer àmon aise le grand Frédéric; jaimai cet espritlibertin qui lui faisait affronter les dogmes lesplus profonds, les préjugés les mieux enracinés,les passions les plus gothiques. Pour moi, Fré-déric II représentait sur le trône la philosophiedu XVIIP siècle, ce XVIIP siècle si actif, siperverti, si puissant sur la destinée de lEurope,et dont on ne savait encore rien à Brunswick.Arrangez tout cela, je vous prie; faites Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/oeuvres-diverses-de-jules-janin-voltairetait-le-plus-grand-roi-de-son-temps-je-me-misun-matin-au-nombre-des-esprits-forts-je-renonai-ma-vanit-de-grand-seigneur-pour-admirer-mon-aise-le-grand-frdric-jaimai-cet-espritlibertin-qui-lui-faisait-affronter-les-dogmes-lesplus-profonds-les-prjugs-les-mieux-enracinsles-passions-les-plus-gothiques-pour-moi-fr-dric-ii-reprsentait-sur-le-trne-la-philosophiedu-xviip-sicle-ce-xviip-sicle-si-actif-siperverti-si-puissant-sur-la-destine-de-leuropeet-dont-on-ne-savait-encore-rien-brunswickarrangez-tout-cela-je-vous-prie-faites-image336654174.html
RM2AFKWRA–. Oeuvres diverses de Jules Janin. Voltaireétait le plus grand roi de son temps. Je me misun matin au nombre des esprits forts; je renonçaià ma vanité de grand seigneur pour admirer àmon aise le grand Frédéric; jaimai cet espritlibertin qui lui faisait affronter les dogmes lesplus profonds, les préjugés les mieux enracinés,les passions les plus gothiques. Pour moi, Fré-déric II représentait sur le trône la philosophiedu XVIIP siècle, ce XVIIP siècle si actif, siperverti, si puissant sur la destinée de lEurope,et dont on ne savait encore rien à Brunswick.Arrangez tout cela, je vous prie; faites
. La comédie humaine. un homme de quelque âge, de quelquerang que ce soit, avait dit Dumay, parle à Modeste, lalorgne, lui fait les yeux doux, cest un homme mort, jelui brûle la cervelle et je vais me mettre à la dispositiondu Procureur du Roi, ma mort la sauvera peut-être. Situ ne veux pas me voir couper le cou, remplace-moi bienauprès delle, pendant que je suis en ville. Depuis troisans, Dumay visitait ses armes tous les soirs. II paraissaitavoir mis de moitié dans son serment les deux chiens desPyrénées, deux animaux dune intelligence supérieure;lun couchait à lintérieur et lautre était pos Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-comdie-humaine-un-homme-de-quelque-ge-de-quelquerang-que-ce-soit-avait-dit-dumay-parle-modeste-lalorgne-lui-fait-les-yeux-doux-cest-un-homme-mort-jelui-brle-la-cervelle-et-je-vais-me-mettre-la-dispositiondu-procureur-du-roi-ma-mort-la-sauvera-peut-tre-situ-ne-veux-pas-me-voir-couper-le-cou-remplace-moi-bienauprs-delle-pendant-que-je-suis-en-ville-depuis-troisans-dumay-visitait-ses-armes-tous-les-soirs-ii-paraissaitavoir-mis-de-moiti-dans-son-serment-les-deux-chiens-despyrnes-deux-animaux-dune-intelligence-suprieurelun-couchait-lintrieur-et-lautre-tait-pos-image337020472.html
RM2AG8H1C–. La comédie humaine. un homme de quelque âge, de quelquerang que ce soit, avait dit Dumay, parle à Modeste, lalorgne, lui fait les yeux doux, cest un homme mort, jelui brûle la cervelle et je vais me mettre à la dispositiondu Procureur du Roi, ma mort la sauvera peut-être. Situ ne veux pas me voir couper le cou, remplace-moi bienauprès delle, pendant que je suis en ville. Depuis troisans, Dumay visitait ses armes tous les soirs. II paraissaitavoir mis de moitié dans son serment les deux chiens desPyrénées, deux animaux dune intelligence supérieure;lun couchait à lintérieur et lautre était pos
Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . êque, vous serez cause de leurgrande perfection et salvation des âmes de ceuxqui y sont à présent et de ceux qui sont encoreà venir. » Répondit le roi : « Monsieur de Bé-thencourt, il ne tiendra pas à moi den écrire;vous dites trés^bien, et lon ne saurait mieuxdire. Je le ferai très-volonliers, et encore jerécrirai pour celui que vous voudriez qui yfC Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/voyageurs-anciens-et-modernes-ou-choix-des-relations-de-voyages-les-plus-intressantes-et-les-plus-instructives-depuis-le-cinquime-sicle-avant-jsus-christ-jusquau-dix-neuvime-sicles-avec-biographies-notes-et-indications-iconographiques-que-vous-serez-cause-de-leurgrande-perfection-et-salvation-des-mes-de-ceuxqui-y-sont-prsent-et-de-ceux-qui-sont-encore-venir-rpondit-le-roi-monsieur-de-b-thencourt-il-ne-tiendra-pas-moi-den-crirevous-dites-trsbien-et-lon-ne-saurait-mieuxdire-je-le-ferai-trs-volonliers-et-encore-jercrirai-pour-celui-que-vous-voudriez-qui-yfc-image339952071.html
RM2AN249B–Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . êque, vous serez cause de leurgrande perfection et salvation des âmes de ceuxqui y sont à présent et de ceux qui sont encoreà venir. » Répondit le roi : « Monsieur de Bé-thencourt, il ne tiendra pas à moi den écrire;vous dites trés^bien, et lon ne saurait mieuxdire. Je le ferai très-volonliers, et encore jerécrirai pour celui que vous voudriez qui yfC
Oeuvres, dédiées à S.A.S.Mle duc d'Orléans . it quel nœud facré soppofe.... Jen friffonne dhorreur, chèreînés ; maisle Roi Vous livreroit fans doute aux rigueurs de la loi, Et moi défefpéré. .. Fuyez , fuyez, Madame i De cette atfreufe idée aftranchiirez mon ame. Fuyez INES.Non. En fuyant, Prince, je me perdrois ; Ce quil nous faut cacher, je le décellerois. Il vaut mieux demeurer. Armons-nous de conf-iance ; Diflîpons les foupçons de notre intelligence ; Ne nous revoyons plus ; & contraignant nosfeux , Réfervons ces tranfports pour des jours plus heu-reux, DOMPEDRE. J*y confens, chère Inès. A Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/oeuvres-ddies-sasmle-duc-dorlans-it-quel-nud-facr-soppofe-jen-friffonne-dhorreur-chrens-maisle-roi-vous-livreroit-fans-doute-aux-rigueurs-de-la-loi-et-moi-dfefpr-fuyez-fuyez-madame-i-de-cette-atfreufe-ide-aftranchiirez-mon-ame-fuyez-inesnon-en-fuyant-prince-je-me-perdrois-ce-quil-nous-faut-cacher-je-le-dcellerois-il-vaut-mieux-demeurer-armons-nous-de-conf-iance-diflpons-les-foupons-de-notre-intelligence-ne-nous-revoyons-plus-contraignant-nosfeux-rfervons-ces-tranfports-pour-des-jours-plus-heu-reux-dompedre-jy-confens-chre-ins-a-image339225868.html
RM2AKW21G–Oeuvres, dédiées à S.A.S.Mle duc d'Orléans . it quel nœud facré soppofe.... Jen friffonne dhorreur, chèreînés ; maisle Roi Vous livreroit fans doute aux rigueurs de la loi, Et moi défefpéré. .. Fuyez , fuyez, Madame i De cette atfreufe idée aftranchiirez mon ame. Fuyez INES.Non. En fuyant, Prince, je me perdrois ; Ce quil nous faut cacher, je le décellerois. Il vaut mieux demeurer. Armons-nous de conf-iance ; Diflîpons les foupçons de notre intelligence ; Ne nous revoyons plus ; & contraignant nosfeux , Réfervons ces tranfports pour des jours plus heu-reux, DOMPEDRE. J*y confens, chère Inès. A
. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. a jo-lie chofe à voir ! Mon dieu, que cela feraidrôle ! ARLEQUIN. A la fin je perdrai patience ; quelle info-lente mafque eft-celà? Je vous dis encoreun coup que je connois le marquis de Sbru-fadelli , ôc que SCARAMOUCHE fe faifant connoître. Et moi auiïi je le connois. VAvocat pour & contre. 355ARLEQUIN.Scaramouche ? SCARAMOUCHE.Oui, monfieur , je me fuis déguifé de laforte 3 pareeque je fais que le Dodeu Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-thtre-italien-de-gherardi-ou-le-recueil-gnral-de-toutes-les-comdies-scnes-franaises-joues-par-les-comdiens-italiens-du-roi-pendant-tout-le-temps-quils-ont-t-au-service-a-jo-lie-chofe-voir-!-mon-dieu-que-cela-feraidrle-!-arlequin-a-la-fin-je-perdrai-patience-quelle-info-lente-mafque-eft-cel-je-vous-dis-encoreun-coup-que-je-connois-le-marquis-de-sbru-fadelli-c-que-scaramouche-fe-faifant-connotre-et-moi-auii-je-le-connois-vavocat-pour-contre-355arlequinscaramouche-scaramoucheoui-monfieur-je-me-fuis-dguif-de-laforte-3-pareeque-je-fais-que-le-dodeu-image336775327.html
RM2AFWCA7–. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. a jo-lie chofe à voir ! Mon dieu, que cela feraidrôle ! ARLEQUIN. A la fin je perdrai patience ; quelle info-lente mafque eft-celà? Je vous dis encoreun coup que je connois le marquis de Sbru-fadelli , ôc que SCARAMOUCHE fe faifant connoître. Et moi auiïi je le connois. VAvocat pour & contre. 355ARLEQUIN.Scaramouche ? SCARAMOUCHE.Oui, monfieur , je me fuis déguifé de laforte 3 pareeque je fais que le Dodeu
Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . Charles, etc., roi ai souscrit »Les rois dEspagne signaientencore : Io el rey « Moi le roi. »Ce gigantesque monogramme estinscrit, sur le même diplômeque le sceau ci-dessous. — RAOUL ROI DE FRANCE de 923 à 906de Burgondie depuis 924. Sceau apposé à un diplôme donnéà Anse le 21 juin g31. Jument contestable, et de sen faireau contraire un instrument dal-liance. Il revint dItalie en 928exprès pour sentendre à ce sujet Daprès Aug. Bernard et AlexandreBruel, Cartulaire de Clunij.RODVLFVS CHATIA Del Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/nouvelle-histoire-de-lyon-et-des-provinces-de-lyonnais-forez-beaujolais-franc-lyonnais-et-dombes-charles-etc-roi-ai-souscrit-les-rois-despagne-signaientencore-io-el-rey-moi-le-roi-ce-gigantesque-monogramme-estinscrit-sur-le-mme-diplmeque-le-sceau-ci-dessous-raoul-roi-de-france-de-923-906de-burgondie-depuis-924-sceau-appos-un-diplme-donn-anse-le-21-juin-g31-jument-contestable-et-de-sen-faireau-contraire-un-instrument-dal-liance-il-revint-ditalie-en-928exprs-pour-sentendre-ce-sujet-daprs-aug-bernard-et-alexandrebruel-cartulaire-de-clunijrodvlfvs-chatia-del-image342701345.html
RM2AWFB1N–Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . Charles, etc., roi ai souscrit »Les rois dEspagne signaientencore : Io el rey « Moi le roi. »Ce gigantesque monogramme estinscrit, sur le même diplômeque le sceau ci-dessous. — RAOUL ROI DE FRANCE de 923 à 906de Burgondie depuis 924. Sceau apposé à un diplôme donnéà Anse le 21 juin g31. Jument contestable, et de sen faireau contraire un instrument dal-liance. Il revint dItalie en 928exprès pour sentendre à ce sujet Daprès Aug. Bernard et AlexandreBruel, Cartulaire de Clunij.RODVLFVS CHATIA Del
Le diable amoureux, roman fantastique . maison de la Brenta. Mes femmes, effrayées, ma-bandonnent. Selon un bruit général, autorisé parbeaucoup de lettres, un lutin a enlevé un capi-taine aux gardes du roi de Naples et la conduit à 122 LE DIABLE AMOUREUX. Venise. On assure que je suis ce lutin, et cela se. trouve presque avéré par les indices. Chacunsécarte de moi avec frayeur. Jimplore de lassis-tance, de la compassion ; je nen trouve pas. Enfinlor obtient ce que lon refuse à lhumanité. Onme vend fort cher une mauvaise chaise : je trouvedes guides, des postillons; je vous suis...» Ma fermeté Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-diable-amoureux-roman-fantastique-maison-de-la-brenta-mes-femmes-effrayes-ma-bandonnent-selon-un-bruit-gnral-autoris-parbeaucoup-de-lettres-un-lutin-a-enlev-un-capi-taine-aux-gardes-du-roi-de-naples-et-la-conduit-122-le-diable-amoureux-venise-on-assure-que-je-suis-ce-lutin-et-cela-se-trouve-presque-avr-par-les-indices-chacunscarte-de-moi-avec-frayeur-jimplore-de-lassis-tance-de-la-compassion-je-nen-trouve-pas-enfinlor-obtient-ce-que-lon-refuse-lhumanit-onme-vend-fort-cher-une-mauvaise-chaise-je-trouvedes-guides-des-postillons-je-vous-suis-ma-fermet-image340070427.html
RM2AN7F8B–Le diable amoureux, roman fantastique . maison de la Brenta. Mes femmes, effrayées, ma-bandonnent. Selon un bruit général, autorisé parbeaucoup de lettres, un lutin a enlevé un capi-taine aux gardes du roi de Naples et la conduit à 122 LE DIABLE AMOUREUX. Venise. On assure que je suis ce lutin, et cela se. trouve presque avéré par les indices. Chacunsécarte de moi avec frayeur. Jimplore de lassis-tance, de la compassion ; je nen trouve pas. Enfinlor obtient ce que lon refuse à lhumanité. Onme vend fort cher une mauvaise chaise : je trouvedes guides, des postillons; je vous suis...» Ma fermeté
Le Parnasse breton contemporain, publié par Louis Tiercelin & J.-Guy Ropartz . on trône est entouré de nuages dencens, Comme le soleil à laurore.11 possède, en lhonneur de sa divinité,Un temple étincelant dor et dargent sculpté. Où sa royale cour ladore. » Au cortège princier Jésus cédant le pasQuitta le grand chejnin, car Ilérode Antipas Venait sous lombre des érables.Et lhumble charpentier dit, en quittant ce lieu :« Roi, règne sur les grands : moi, je serai le Dieu Des pauvies et des misérables. » MATIN Lîle de ?Soirmoutier, comme une sombre haie.De Pornic, au levant, ferme limmense baie.Un Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-parnasse-breton-contemporain-publi-par-louis-tiercelin-j-guy-ropartz-on-trne-est-entour-de-nuages-dencens-comme-le-soleil-laurore11-possde-en-lhonneur-de-sa-divinitun-temple-tincelant-dor-et-dargent-sculpt-o-sa-royale-cour-ladore-au-cortge-princier-jsus-cdant-le-pasquitta-le-grand-chejnin-car-ilrode-antipas-venait-sous-lombre-des-rableset-lhumble-charpentier-dit-en-quittant-ce-lieu-roi-rgne-sur-les-grands-moi-je-serai-le-dieu-des-pauvies-et-des-misrables-matin-lle-de-soirmoutier-comme-une-sombre-haiede-pornic-au-levant-ferme-limmense-baieun-image338414951.html
RM2AJG3M7–Le Parnasse breton contemporain, publié par Louis Tiercelin & J.-Guy Ropartz . on trône est entouré de nuages dencens, Comme le soleil à laurore.11 possède, en lhonneur de sa divinité,Un temple étincelant dor et dargent sculpté. Où sa royale cour ladore. » Au cortège princier Jésus cédant le pasQuitta le grand chejnin, car Ilérode Antipas Venait sous lombre des érables.Et lhumble charpentier dit, en quittant ce lieu :« Roi, règne sur les grands : moi, je serai le Dieu Des pauvies et des misérables. » MATIN Lîle de ?Soirmoutier, comme une sombre haie.De Pornic, au levant, ferme limmense baie.Un
Dictionnaire de conversation à l'usage des dames et des jeunes personnes : ou, Complément nécessaire de toute bonne éducation . 0 av. J.-C,nest quimparfaitement connu; on sait quil donna des lois auxl.ocriens dItalie ; mais ces lois nous sont restées inconnues. Zamet (Sébastien), naquit à Lucques. Il était de basse extrac-tion, et suivit Catherine de .Médicis en France, où il fit une grandefortune, mena une vie somptueuse, et vit le roi Henri IVlui-mèm(>daigner sasseoir à sa table. Lorsquil maria une de ses filles,le notaire lui demanda ses titres : « Qualiliez-moi, dit-il, sei-(jneur de 1. Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/dictionnaire-de-conversation-lusage-des-dames-et-des-jeunes-personnes-ou-complment-ncessaire-de-toute-bonne-ducation-0-av-j-cnest-quimparfaitement-connu-on-sait-quil-donna-des-lois-auxlocriens-ditalie-mais-ces-lois-nous-sont-restes-inconnues-zamet-sbastien-naquit-lucques-il-tait-de-basse-extrac-tion-et-suivit-catherine-de-mdicis-en-france-o-il-fit-une-grandefortune-mena-une-vie-somptueuse-et-vit-le-roi-henri-ivlui-mmgtdaigner-sasseoir-sa-table-lorsquil-maria-une-de-ses-fillesle-notaire-lui-demanda-ses-titres-qualiliez-moi-dit-il-sei-jneur-de-1-image343094400.html
RM2AX58BC–Dictionnaire de conversation à l'usage des dames et des jeunes personnes : ou, Complément nécessaire de toute bonne éducation . 0 av. J.-C,nest quimparfaitement connu; on sait quil donna des lois auxl.ocriens dItalie ; mais ces lois nous sont restées inconnues. Zamet (Sébastien), naquit à Lucques. Il était de basse extrac-tion, et suivit Catherine de .Médicis en France, où il fit une grandefortune, mena une vie somptueuse, et vit le roi Henri IVlui-mèm(>daigner sasseoir à sa table. Lorsquil maria une de ses filles,le notaire lui demanda ses titres : « Qualiliez-moi, dit-il, sei-(jneur de 1.
. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. ARLEQUIN CHEVALIER DU SOLEIL. COMEDIE EN TROIS ACTES Mife au théâtre par Monfieur D * * * * & reprefèntée pour la première fois par les Comédiens Italiens du Roi dans leur hôtel de Bourgogne, lez6 jour de Fé- • Trier 1685.. SCENES FRANCOISESDARLE QJJ I N CHEVALIER DU SOLEIL. SCENE DARLEQUIN ET DE PASQUARlELi Ette fcene tiauroit point été impri-mée 3 fi dautres que moi ne Vavoientdéjà donnée au public toute Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-thtre-italien-de-gherardi-ou-le-recueil-gnral-de-toutes-les-comdies-scnes-franaises-joues-par-les-comdiens-italiens-du-roi-pendant-tout-le-temps-quils-ont-t-au-service-arlequin-chevalier-du-soleil-comedie-en-trois-actes-mife-au-thtre-par-monfieur-d-reprefnte-pour-la-premire-fois-par-les-comdiens-italiens-du-roi-dans-leur-htel-de-bourgogne-lez6-jour-de-f-trier-1685-scenes-francoisesdarle-qjj-i-n-chevalier-du-soleil-scene-darlequin-et-de-pasquarleli-ette-fcene-tiauroit-point-t-impri-me-3-fi-dautres-que-moi-ne-vavoientdj-donne-au-public-toute-image336779124.html
RM2AFWH5T–. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. ARLEQUIN CHEVALIER DU SOLEIL. COMEDIE EN TROIS ACTES Mife au théâtre par Monfieur D * * * * & reprefèntée pour la première fois par les Comédiens Italiens du Roi dans leur hôtel de Bourgogne, lez6 jour de Fé- • Trier 1685.. SCENES FRANCOISESDARLE QJJ I N CHEVALIER DU SOLEIL. SCENE DARLEQUIN ET DE PASQUARlELi Ette fcene tiauroit point été impri-mée 3 fi dautres que moi ne Vavoientdéjà donnée au public toute
. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. SCENES FRANCOISESDARLE QJJ I N CHEVALIER DU SOLEIL. SCENE DARLEQUIN ET DE PASQUARlELi Ette fcene tiauroit point été impri-mée 3 fi dautres que moi ne Vavoientdéjà donnée au public toute tronquée»Cejt une de ces fcénes Italiennes > dont le mérite eft infep arable de laâion. Fous en allez, juger vous-même. PASQUARIEL voyant Arlequin cmbaraf*fé de trouver une bonne profejjion pour vivre ,lui dit : Fais-toi Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-thtre-italien-de-gherardi-ou-le-recueil-gnral-de-toutes-les-comdies-scnes-franaises-joues-par-les-comdiens-italiens-du-roi-pendant-tout-le-temps-quils-ont-t-au-service-scenes-francoisesdarle-qjj-i-n-chevalier-du-soleil-scene-darlequin-et-de-pasquarleli-ette-fcene-tiauroit-point-t-impri-me-3-fi-dautres-que-moi-ne-vavoientdj-donne-au-public-toute-tronquecejt-une-de-ces-fcnes-italiennes-gt-dont-le-mrite-eft-infep-arable-de-laion-fous-en-allez-juger-vous-mme-pasquariel-voyant-arlequin-cmbaraff-de-trouver-une-bonne-profejjion-pour-vivre-lui-dit-fais-toi-image336778944.html
RM2AFWGYC–. Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service. SCENES FRANCOISESDARLE QJJ I N CHEVALIER DU SOLEIL. SCENE DARLEQUIN ET DE PASQUARlELi Ette fcene tiauroit point été impri-mée 3 fi dautres que moi ne Vavoientdéjà donnée au public toute tronquée»Cejt une de ces fcénes Italiennes > dont le mérite eft infep arable de laâion. Fous en allez, juger vous-même. PASQUARIEL voyant Arlequin cmbaraf*fé de trouver une bonne profejjion pour vivre ,lui dit : Fais-toi
Iconographie voltairienne : histoire et description de ce qui a été publié sur Voltaire par l'art contemporain / [par] GDesnoiresterres-- . ttre ne chiffonna pointmédiocrement le patriarche de Ferney, qui sempressait décrire àdAlembert, avec son impétuosité ordinaire : <?? Je crois quil est très-convenable que le roi de Prusse souscrive, et quon rende à Jean-Jacques son denier, a 11 écrivait, trois jours plus tard, à G ri m m :• Jean-Jacques est plus enflé que moi, mais cest damour-propre. IIa eu soin quon mît dans plusieurs gazettes quil a souscrit, pour cettestatue, deux louis dor; mes pa Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/iconographie-voltairienne-histoire-et-description-de-ce-qui-a-t-publi-sur-voltaire-par-lart-contemporain-par-gdesnoiresterres-ttre-ne-chiffonna-pointmdiocrement-le-patriarche-de-ferney-qui-sempressait-dcrire-dalembert-avec-son-imptuosit-ordinaire-lt-je-crois-quil-est-trs-convenable-que-le-roi-de-prusse-souscrive-et-quon-rende-jean-jacques-son-denier-a-11-crivait-trois-jours-plus-tard-g-ri-m-m-jean-jacques-est-plus-enfl-que-moi-mais-cest-damour-propre-iia-eu-soin-quon-mt-dans-plusieurs-gazettes-quil-a-souscrit-pour-cettestatue-deux-louis-dor-mes-pa-image340092284.html
RM2AN8F50–Iconographie voltairienne : histoire et description de ce qui a été publié sur Voltaire par l'art contemporain / [par] GDesnoiresterres-- . ttre ne chiffonna pointmédiocrement le patriarche de Ferney, qui sempressait décrire àdAlembert, avec son impétuosité ordinaire : <?? Je crois quil est très-convenable que le roi de Prusse souscrive, et quon rende à Jean-Jacques son denier, a 11 écrivait, trois jours plus tard, à G ri m m :• Jean-Jacques est plus enflé que moi, mais cest damour-propre. IIa eu soin quon mît dans plusieurs gazettes quil a souscrit, pour cettestatue, deux louis dor; mes pa
La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . 68 i Assez vif. ÉGLE. léyer. 3- ^^ X SÉ f LE ROI, au Duc, un peu railleur.3 Moi, mes vœux sont tout ac. i ?^piipr FF rf»Jg ?: Ou vous ai - . nie pom- la mi -trail . .le!Assez vif. É m ^^=^ U I p, ^ ^ —g j «r K. 5;=?e s: ^ ^ï P E. ^ danse, il chante, sans presser. il rit. i i il saute, Icyti: il j)! - rou /?fl • /^^^^ m .H. ^/j^nJ-^cilr p^^ p s* y i? ^ ^ ^ Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-carmlite-comdie-musicale-en-quatre-actes-et-cinq-tableaux-pome-de-catulle-mends-68-i-assez-vif-gle-lyer-3-x-s-f-le-roi-au-duc-un-peu-railleur3-moi-mes-vux-sont-tout-ac-i-piipr-ff-rfjg-ou-vous-ai-nie-pom-la-mi-trail-le!assez-vif-m-=-u-i-p-g-j-r-k-5=e-s-p-e-danse-il-chante-sans-presser-il-rit-i-i-il-saute-icyti-il-j!-rou-fl-m-h-jnj-cilr-p-p-s-y-i-image338110157.html
RM2AJ26XN–La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . 68 i Assez vif. ÉGLE. léyer. 3- ^^ X SÉ f LE ROI, au Duc, un peu railleur.3 Moi, mes vœux sont tout ac. i ?^piipr FF rf»Jg ?: Ou vous ai - . nie pom- la mi -trail . .le!Assez vif. É m ^^=^ U I p, ^ ^ —g j «r K. 5;=?e s: ^ ^ï P E. ^ danse, il chante, sans presser. il rit. i i il saute, Icyti: il j)! - rou /?fl • /^^^^ m .H. ^/j^nJ-^cilr p^^ p s* y i? ^ ^ ^
Oeuvres de Le Grand, comédien du roi . ARTIE LA SOIRÉE. LA MUSE ITALIENNE, Le Sieur THEVENART. J E vous amené ici la Troupe Italienne 5 Elle veut, à fon tour, Paroître fur la Scène Dans ce charmant féjour.Mufe Françoife , fans ombrage, SonfTrez-moi, dans ce jour. Parler votre langage.Et que chacun de nous partageLa gloire damufer une fî belle Cour,On aime en tout le changement. Aux chagrins le mélangeApporte du foulagement :Et le plaifir devient tourment A qui jamais nen change. Les Comédiens Italiens repréfement une petite ComédiFrançoife, qui a pour titre : Les Brouilleries ou lB.EIWEZ-VOUS Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/oeuvres-de-le-grand-comdien-du-roi-artie-la-soire-la-muse-italienne-le-sieur-thevenart-j-e-vous-amen-ici-la-troupe-italienne-5-elle-veut-fon-tour-parotre-fur-la-scne-dans-ce-charmant-fjourmufe-franoife-fans-ombrage-sonftrez-moi-dans-ce-jour-parler-votre-langageet-que-chacun-de-nous-partagela-gloire-damufer-une-f-belle-couron-aime-en-tout-le-changement-aux-chagrins-le-mlangeapporte-du-foulagement-et-le-plaifir-devient-tourment-a-qui-jamais-nen-change-les-comdiens-italiens-reprfement-une-petite-comdifranoife-qui-a-pour-titre-les-brouilleries-ou-lbeiwez-vous-image340260571.html
RM2ANG5R7–Oeuvres de Le Grand, comédien du roi . ARTIE LA SOIRÉE. LA MUSE ITALIENNE, Le Sieur THEVENART. J E vous amené ici la Troupe Italienne 5 Elle veut, à fon tour, Paroître fur la Scène Dans ce charmant féjour.Mufe Françoife , fans ombrage, SonfTrez-moi, dans ce jour. Parler votre langage.Et que chacun de nous partageLa gloire damufer une fî belle Cour,On aime en tout le changement. Aux chagrins le mélangeApporte du foulagement :Et le plaifir devient tourment A qui jamais nen change. Les Comédiens Italiens repréfement une petite ComédiFrançoife, qui a pour titre : Les Brouilleries ou lB.EIWEZ-VOUS
La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . I P> ^ Sri. i LE ROI. raprvss. % •?• # »^ r r rr r r Douceur des siu.cè . reslou.an- gesl i 5^ ^ le .M. non flat.të! i M- K N ±=M- *^ S> s^ tF^ iiJ u -•—fr# r 9^ ^ J=^ P m m tz n?: ¥ dr pliix ni plus I linli tirrii.r. ^^^^^^^ fe ? .s ^- ^ IB ^ r-t?^g .gneurdesenlantsetdesan . ges, Parc.onnez-moi, Dieu de boule Car, sou.. 75 ^ = 2= :^ veut. ^ aux heu.res bé . ni m ^=1 es Oùchuchot . tentles li.ta. Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-carmlite-comdie-musicale-en-quatre-actes-et-cinq-tableaux-pome-de-catulle-mends-i-pgt-sri-i-le-roi-raprvss-r-r-rr-r-r-douceur-des-siuc-reslouan-gesl-i-5-le-m-non-flatt!-i-m-k-n-=m-sgt-s-tf-iij-u-fr-r-9-j=-p-m-m-tz-n-dr-pliix-ni-plus-i-linli-tirriir-fe-s-ib-r-tg-gneurdesenlantsetdesan-ges-parconnez-moi-dieu-de-boule-car-sou-75-=-2=-veut-aux-heures-b-ni-m-=1-es-ochuchot-tentles-lita-image338107947.html
RM2AJ243R–La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . I P> ^ Sri. i LE ROI. raprvss. % •?• # »^ r r rr r r Douceur des siu.cè . reslou.an- gesl i 5^ ^ le .M. non flat.të! i M- K N ±=M- *^ S> s^ tF^ iiJ u -•—fr# r 9^ ^ J=^ P m m tz n?: ¥ dr pliix ni plus I linli tirrii.r. ^^^^^^^ fe ? .s ^- ^ IB ^ r-t?^g .gneurdesenlantsetdesan . ges, Parc.onnez-moi, Dieu de boule Car, sou.. 75 ^ = 2= :^ veut. ^ aux heu.res bé . ni m ^=1 es Oùchuchot . tentles li.ta.
. Égypte. 41. FiG. 6q. — Les tombkaix de Makhou ET DE SaBNI, a AsSOUAN.(Daprès Mori<^ciii.) EGYPTE au loin la vallée. Ellesse déploient en ligne surle front du désert Liby-que, et, se relayant lunelautre dAbou-RoacheàGizeh, de Gizéh à Sak-karah, de Sakkarah àDahchour puis à Méî-doum, elles poursuiventpendant des journéesentières le voyageur quiremonte le Nil. Zosiri, de la III Dynastie, possédait à Béît-Khallaf, comme roi de la Haute-Egypte, un immense mastabaen briques du type thinite (cf. flg. 1 2) ; roi de lEgypte du Nord,il se bàtit a Sakkarah une deuxième tombe dun genre nouveau,du moi Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/gypte-41-fig-6q-les-tombkaix-de-makhou-et-de-sabni-a-assouandaprs-moriltciii-egypte-au-loin-la-valle-ellesse-dploient-en-ligne-surle-front-du-dsert-liby-que-et-se-relayant-lunelautre-dabou-roachegizeh-de-gizh-sak-karah-de-sakkarah-dahchour-puis-m-doum-elles-poursuiventpendant-des-journesentires-le-voyageur-quiremonte-le-nil-zosiri-de-la-iii-dynastie-possdait-bt-khallaf-comme-roi-de-la-haute-egypte-un-immense-mastabaen-briques-du-type-thinite-cf-flg-1-2-roi-de-legypte-du-nordil-se-btit-a-sakkarah-une-deuxime-tombe-dun-genre-nouveaudu-moi-image336971391.html
RM2AG6ACF–. Égypte. 41. FiG. 6q. — Les tombkaix de Makhou ET DE SaBNI, a AsSOUAN.(Daprès Mori<^ciii.) EGYPTE au loin la vallée. Ellesse déploient en ligne surle front du désert Liby-que, et, se relayant lunelautre dAbou-RoacheàGizeh, de Gizéh à Sak-karah, de Sakkarah àDahchour puis à Méî-doum, elles poursuiventpendant des journéesentières le voyageur quiremonte le Nil. Zosiri, de la III Dynastie, possédait à Béît-Khallaf, comme roi de la Haute-Egypte, un immense mastabaen briques du type thinite (cf. flg. 1 2) ; roi de lEgypte du Nord,il se bàtit a Sakkarah une deuxième tombe dun genre nouveau,du moi
Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . Fig. 177. MONOGRAMME DE RODOLPHE (rAOUl) ROI DE FRANCE. Charles, etc., roi ai souscrit »Les rois dEspagne signaientencore : Io el rey « Moi le roi. »Ce gigantesque monogramme estinscrit, sur le même diplômeque le sceau ci-dessous. — RAOUL ROI DE FRANCE de 923 à 906de Burgondie depuis 924. Sceau apposé à un diplôme donnéà Anse le 21 juin g31. Jument contestable, et de sen faireau contraire un instrument dal-liance. Il revint dItalie en 928exprès pour sentendre à ce sujet Daprès Aug. Bernard et Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/nouvelle-histoire-de-lyon-et-des-provinces-de-lyonnais-forez-beaujolais-franc-lyonnais-et-dombes-fig-177-monogramme-de-rodolphe-raoul-roi-de-france-charles-etc-roi-ai-souscrit-les-rois-despagne-signaientencore-io-el-rey-moi-le-roi-ce-gigantesque-monogramme-estinscrit-sur-le-mme-diplmeque-le-sceau-ci-dessous-raoul-roi-de-france-de-923-906de-burgondie-depuis-924-sceau-appos-un-diplme-donn-anse-le-21-juin-g31-jument-contestable-et-de-sen-faireau-contraire-un-instrument-dal-liance-il-revint-ditalie-en-928exprs-pour-sentendre-ce-sujet-daprs-aug-bernard-et-image342701413.html
RM2AWFB45–Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . Fig. 177. MONOGRAMME DE RODOLPHE (rAOUl) ROI DE FRANCE. Charles, etc., roi ai souscrit »Les rois dEspagne signaientencore : Io el rey « Moi le roi. »Ce gigantesque monogramme estinscrit, sur le même diplômeque le sceau ci-dessous. — RAOUL ROI DE FRANCE de 923 à 906de Burgondie depuis 924. Sceau apposé à un diplôme donnéà Anse le 21 juin g31. Jument contestable, et de sen faireau contraire un instrument dal-liance. Il revint dItalie en 928exprès pour sentendre à ce sujet Daprès Aug. Bernard et
Nausicaa : opéra en deux actes : . e, Ulysse, les Amies de Nausicaa : Ma fille, notre hôtesassondvit i53 Uly-sse, Nausicaa, les Chœurs : Cf5/;77/.0/«. 7a/)« 5a/jrc sjtvtr i65 Le Roi, la Reine, Nausicaa, Ulysse, les Chœurs : Cest a moi dincliner mon front 173 Pallas : Tout a changé dans Ithaque i 80 V>i-&s-E,hE Roi, LxRvAm-. : Merci, Pallas, de parler à mon âme iS5 Ulysse : Jaccepte le laurier et la lyre et le silaiie 192 Le R(ii, Nausicaa, Ulysse, la Reine, Matelots (au loin : Le Chant des ALitelols. 198 luiir loul ce qtii cuncenic hi lefrc^tnljl/oii, foitr A? lucjlioiiJe la parlitiun et Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/nausicaa-opra-en-deux-actes-e-ulysse-les-amies-de-nausicaa-ma-fille-notre-htesassondvit-i53-uly-sse-nausicaa-les-churs-cf5770-7a-5ajrc-sjtvtr-i65-le-roi-la-reine-nausicaa-ulysse-les-churs-cest-a-moi-dincliner-mon-front-173-pallas-tout-a-chang-dans-ithaque-i-80-vgti-s-ehe-roi-lxrvam-merci-pallas-de-parler-mon-me-is5-ulysse-jaccepte-le-laurier-et-la-lyre-et-le-silaiie-192-le-rii-nausicaa-ulysse-la-reine-matelots-au-loin-le-chant-des-alitelols-198-luiir-loul-ce-qtii-cuncenic-hi-lefrctnljloii-foitr-a-lucjlioiije-la-parlitiun-et-image339942805.html
RM2AN1MED–Nausicaa : opéra en deux actes : . e, Ulysse, les Amies de Nausicaa : Ma fille, notre hôtesassondvit i53 Uly-sse, Nausicaa, les Chœurs : Cf5/;77/.0/«. 7a/)« 5a/jrc sjtvtr i65 Le Roi, la Reine, Nausicaa, Ulysse, les Chœurs : Cest a moi dincliner mon front 173 Pallas : Tout a changé dans Ithaque i 80 V>i-&s-E,hE Roi, LxRvAm-. : Merci, Pallas, de parler à mon âme iS5 Ulysse : Jaccepte le laurier et la lyre et le silaiie 192 Le R(ii, Nausicaa, Ulysse, la Reine, Matelots (au loin : Le Chant des ALitelols. 198 luiir loul ce qtii cuncenic hi lefrc^tnljl/oii, foitr A? lucjlioiiJe la parlitiun et
Ouvrages dramatiques : précédés et suivis de toutes les pièces qui leur sont relatives . , fans qui jeufTe été dans ma trifte grandeurUn exemple éclatant dun éternel malheur ;Toi par qui je fuis père , attends fous ces ombragesOu le comble , ou la fin de mes fanglans outrages.Va, tu me reverras mort ou vidorieux. {Il fort.) A Z E M O N. Ah î tu deviens mon roi. — Rendez-moi, juftes dieux, Avec mes premiers ans la force de le fuivre ! Que ce héros triomphe ou je ceïie de vivre î Dâtame & tous les flens, dans ces lieux ralTemblés, | Ny feraient-ils venus que pour être immolés ! Que devient Aftér Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/ouvrages-dramatiques-prcds-et-suivis-de-toutes-les-pices-qui-leur-sont-relatives-fans-qui-jeufte-t-dans-ma-trifte-grandeurun-exemple-clatant-dun-ternel-malheur-toi-par-qui-je-fuis-pre-attends-fous-ces-ombragesou-le-comble-ou-la-fin-de-mes-fanglans-outragesva-tu-me-reverras-mort-ou-vidorieux-il-fort-a-z-e-m-o-n-ah-tu-deviens-mon-roi-rendez-moi-juftes-dieux-avec-mes-premiers-ans-la-force-de-le-fuivre-!-que-ce-hros-triomphe-ou-je-ceie-de-vivre-dtame-tous-les-flens-dans-ces-lieux-raltembls-ny-feraient-ils-venus-que-pour-tre-immols-!-que-devient-aftr-image343037012.html
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Histoire de l'art dans l'antiquité: Égypte, Assyrie, Perse, Asie Mineure, Grece, Etrurie, Rome . e, Lepsius; on verra par exemple pi. 6) ce que le pilier-caryatide est. devenu à Napata. 1. Maspero, Histoire ancienne, y. .<x. Ce rapport de filiation entre le roi et le dieunétait pas une simple métaphore. Dans un document qui se trouve reproduit à lp-am-boul et à Médinet-Alutu, Plilah parle en res ternies, ici h Ramsès 11. là à Ramsès III :« Cest moi qui suis Ion père ; je tai engendre comme Dieu ; tous les membres sontdivins; jai pris la forme du bélier de Mendès, et je me suis uni à ta roya Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/histoire-de-lart-dans-lantiquit-gypte-assyrie-perse-asie-mineure-grece-etrurie-rome-e-lepsius-on-verra-par-exemple-pi-6-ce-que-le-pilier-caryatide-est-devenu-napata-1-maspero-histoire-ancienne-y-ltx-ce-rapport-de-filiation-entre-le-roi-et-le-dieuntait-pas-une-simple-mtaphore-dans-un-document-qui-se-trouve-reproduit-lp-am-boul-et-mdinet-alutu-plilah-parle-en-res-ternies-ici-h-ramss-11-l-ramss-iii-cest-moi-qui-suis-ion-pre-je-tai-engendre-comme-dieu-tous-les-membres-sontdivins-jai-pris-la-forme-du-blier-de-mends-et-je-me-suis-uni-ta-roya-image340118488.html
RM2AN9MGT–Histoire de l'art dans l'antiquité: Égypte, Assyrie, Perse, Asie Mineure, Grece, Etrurie, Rome . e, Lepsius; on verra par exemple pi. 6) ce que le pilier-caryatide est. devenu à Napata. 1. Maspero, Histoire ancienne, y. .<x. Ce rapport de filiation entre le roi et le dieunétait pas une simple métaphore. Dans un document qui se trouve reproduit à lp-am-boul et à Médinet-Alutu, Plilah parle en res ternies, ici h Ramsès 11. là à Ramsès III :« Cest moi qui suis Ion père ; je tai engendre comme Dieu ; tous les membres sontdivins; jai pris la forme du bélier de Mendès, et je me suis uni à ta roya
Gazette des beaux-arts . JOURNAL DU VOYAGE DU CAVALIER BERNIN EN FRANCE PAR M. DE CHANTELOU manuscrit inedit publié et annote pak u. ludovic lalanne(suite.) - -. E treizième août, nous sommes allés, mon frère et moi,chez le Cavalier. Dabord quil nous a aperçus, il a dit àmon frère quil savait quil avait peine à se défendre desmédisances que je faisais de lui à toute heure en touteoccasion, et que cétait à ce frère à qui il fallait de-mander des nouvelles du Roi et de la Cour. Nous avonsensuite regardé son ouvrage et vu que la draperie deson buste était beaucoup avancée. Nous avons vu aussilouv Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/gazette-des-beaux-arts-journal-du-voyage-du-cavalier-bernin-en-france-par-m-de-chantelou-manuscrit-inedit-publi-et-annote-pak-u-ludovic-lalannesuite-e-treizime-aot-nous-sommes-alls-mon-frre-et-moichez-le-cavalier-dabord-quil-nous-a-aperus-il-a-dit-mon-frre-quil-savait-quil-avait-peine-se-dfendre-desmdisances-que-je-faisais-de-lui-toute-heure-en-touteoccasion-et-que-ctait-ce-frre-qui-il-fallait-de-mander-des-nouvelles-du-roi-et-de-la-cour-nous-avonsensuite-regard-son-ouvrage-et-vu-que-la-draperie-deson-buste-tait-beaucoup-avance-nous-avons-vu-aussilouv-image339440072.html
RM2AM6R7M–Gazette des beaux-arts . JOURNAL DU VOYAGE DU CAVALIER BERNIN EN FRANCE PAR M. DE CHANTELOU manuscrit inedit publié et annote pak u. ludovic lalanne(suite.) - -. E treizième août, nous sommes allés, mon frère et moi,chez le Cavalier. Dabord quil nous a aperçus, il a dit àmon frère quil savait quil avait peine à se défendre desmédisances que je faisais de lui à toute heure en touteoccasion, et que cétait à ce frère à qui il fallait de-mander des nouvelles du Roi et de la Cour. Nous avonsensuite regardé son ouvrage et vu que la draperie deson buste était beaucoup avancée. Nous avons vu aussilouv
Le pape ; La pitié suprême ; Religions et religion ; L'âne . ère, Le regarde arriver comme Rome Attila. Croyez-vous donc quil est sans flatteurs? Non, il a 150 LA IMTIÉ SUPRÊME. Sa failli (|iii lui dil : Prends! sa soif qui lui «lil : 1La solitiuk*, fauvo ot de branches vêtue,Qui dit : Te voilà seul! voleur! te voilà roi!Son lourd bâton ferré qui dit : Compte sur moi!Il a ses muscles durs (jui lui disent : PersonneNe te vaut ; le passant en le voyant frissonne ;Tu peux tuer un homme avec un coup de poing.11 a sa haine au cœur qui dit : Népargne point!Et, troués et béants, ses vieux haillons fa Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-pape-la-piti-suprme-religions-et-religion-lne-re-le-regarde-arriver-comme-rome-attila-croyez-vous-donc-quil-est-sans-flatteurs-non-il-a-150-la-imti-suprme-sa-failli-iii-lui-dil-prends!-sa-soif-qui-lui-lil-1la-solitiuk-fauvo-ot-de-branches-vtuequi-dit-te-voil-seul!-voleur!-te-voil-roi!son-lourd-bton-ferr-qui-dit-compte-sur-moi!il-a-ses-muscles-durs-jui-lui-disent-personnene-te-vaut-le-passant-en-le-voyant-frissonne-tu-peux-tuer-un-homme-avec-un-coup-de-poing11-a-sa-haine-au-cur-qui-dit-npargne-point!et-trous-et-bants-ses-vieux-haillons-fa-image339032005.html
RM2AKG6NW–Le pape ; La pitié suprême ; Religions et religion ; L'âne . ère, Le regarde arriver comme Rome Attila. Croyez-vous donc quil est sans flatteurs? Non, il a 150 LA IMTIÉ SUPRÊME. Sa failli (|iii lui dil : Prends! sa soif qui lui «lil : 1La solitiuk*, fauvo ot de branches vêtue,Qui dit : Te voilà seul! voleur! te voilà roi!Son lourd bâton ferré qui dit : Compte sur moi!Il a ses muscles durs (jui lui disent : PersonneNe te vaut ; le passant en le voyant frissonne ;Tu peux tuer un homme avec un coup de poing.11 a sa haine au cœur qui dit : Népargne point!Et, troués et béants, ses vieux haillons fa
. Essai sur la Musique ancienne et moderne. nt femblant» dêtre amoureux. Comment Dieu con->» fent-il que le menfonge foit plus élo-» quent que la vérité. Pour moi, qui meurs» damour, je ne fais dire quune chofè ,» tant je la defire vraiment : dame, merci-. SUR tA MUSIQUE. zs7 » Amour, qui commence pour finir, eft» une infamie : la more eft moins doulou-,» reufe que la néceffité den voir la fin,» Qui sy laifle prendre, peut-il être mieux» trahi ! Il eft roi , puis rien. Dame,,p puifquà vous je me rends, merci». Mult fait lamours que vilaineQi commenchc por faillir :Car plus de mort eft greva Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/essai-sur-la-musique-ancienne-et-moderne-nt-femblant-dtre-amoureux-comment-dieu-con-gt-fent-il-que-le-menfonge-foit-plus-lo-quent-que-la-vrit-pour-moi-qui-meurs-damour-je-ne-fais-dire-quune-chof-tant-je-la-defire-vraiment-dame-merci-sur-ta-musique-zs7-amour-qui-commence-pour-finir-eft-une-infamie-la-more-eft-moins-doulou-reufe-que-la-nceffit-den-voir-la-fin-qui-sy-laifle-prendre-peut-il-tre-mieux-trahi-!-il-eft-roi-puis-rien-damep-puifqu-vous-je-me-rends-merci-mult-fait-lamours-que-vilaineqi-commenchc-por-faillir-car-plus-de-mort-eft-greva-image336772006.html
RM2AFW83J–. Essai sur la Musique ancienne et moderne. nt femblant» dêtre amoureux. Comment Dieu con->» fent-il que le menfonge foit plus élo-» quent que la vérité. Pour moi, qui meurs» damour, je ne fais dire quune chofè ,» tant je la defire vraiment : dame, merci-. SUR tA MUSIQUE. zs7 » Amour, qui commence pour finir, eft» une infamie : la more eft moins doulou-,» reufe que la néceffité den voir la fin,» Qui sy laifle prendre, peut-il être mieux» trahi ! Il eft roi , puis rien. Dame,,p puifquà vous je me rends, merci». Mult fait lamours que vilaineQi commenchc por faillir :Car plus de mort eft greva
. Oeuvres diverses de Jules Janin. cordans la forêt, je revois la nymphe sur son cheval,agaçant le roi des chasseurs; je me figure laprostituée arrachée à son boudoir mercenaire etsortant purifiée du lit royal ; si je veux, jassiste àune prise de voile, à un banquet de noces, à uncarrousel de rois; je réunis à mon usage cestemps damour et ces temps de débauche; je mepromène à la fois entre les jets deau de Chan-tilly et les malheureuses filles du Parc-aux-cerfs. Parlez-moi de ces contrastes pour la puis-sance des souvenirs ! parlez-moi des longs règneset des saturnales de la royauté! parlez-mo Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/oeuvres-diverses-de-jules-janin-cordans-la-fort-je-revois-la-nymphe-sur-son-chevalagaant-le-roi-des-chasseurs-je-me-figure-laprostitue-arrache-son-boudoir-mercenaire-etsortant-purifie-du-lit-royal-si-je-veux-jassiste-une-prise-de-voile-un-banquet-de-noces-uncarrousel-de-rois-je-runis-mon-usage-cestemps-damour-et-ces-temps-de-dbauche-je-mepromne-la-fois-entre-les-jets-deau-de-chan-tilly-et-les-malheureuses-filles-du-parc-aux-cerfs-parlez-moi-de-ces-contrastes-pour-la-puis-sance-des-souvenirs-!-parlez-moi-des-longs-rgneset-des-saturnales-de-la-royaut!-parlez-mo-image336651137.html
RM2AFKNXW–. Oeuvres diverses de Jules Janin. cordans la forêt, je revois la nymphe sur son cheval,agaçant le roi des chasseurs; je me figure laprostituée arrachée à son boudoir mercenaire etsortant purifiée du lit royal ; si je veux, jassiste àune prise de voile, à un banquet de noces, à uncarrousel de rois; je réunis à mon usage cestemps damour et ces temps de débauche; je mepromène à la fois entre les jets deau de Chan-tilly et les malheureuses filles du Parc-aux-cerfs. Parlez-moi de ces contrastes pour la puis-sance des souvenirs ! parlez-moi des longs règneset des saturnales de la royauté! parlez-mo
Les sources du Nil, voyage des capitaines Speke & Grant; abrégé d'après la traduction de E.DForgues . INTRODUCTION « Le 5 novembre 1770, je dis à mon fidèle écuyer« Strates : « Allons, prenez de cette excellente eauce et buvez un coup avec moi à la santé de S. M.« George III, et à sa longue postérité! » Je tenais alors« à la main une tasse de noix de coco que javais ap-« portée dArabie et je lavais remplie jusquau bord.« Strates but gaîment à la santé du roi, et il ajouta :« Confusion à ses ennemis! » Puis il tira son bonnette et le jeta en le faisant tourner en lair avec un grand« huzza. » VI Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/les-sources-du-nil-voyage-des-capitaines-speke-grant-abrg-daprs-la-traduction-de-edforgues-introduction-le-5-novembre-1770-je-dis-mon-fidle-cuyer-strates-allons-prenez-de-cette-excellente-eauce-et-buvez-un-coup-avec-moi-la-sant-de-s-m-george-iii-et-sa-longue-postrit!-je-tenais-alors-la-main-une-tasse-de-noix-de-coco-que-javais-ap-porte-darabie-et-je-lavais-remplie-jusquau-bord-strates-but-gament-la-sant-du-roi-et-il-ajouta-confusion-ses-ennemis!-puis-il-tira-son-bonnette-et-le-jeta-en-le-faisant-tourner-en-lair-avec-un-grand-huzza-vi-image340249149.html
RM2ANFK79–Les sources du Nil, voyage des capitaines Speke & Grant; abrégé d'après la traduction de E.DForgues . INTRODUCTION « Le 5 novembre 1770, je dis à mon fidèle écuyer« Strates : « Allons, prenez de cette excellente eauce et buvez un coup avec moi à la santé de S. M.« George III, et à sa longue postérité! » Je tenais alors« à la main une tasse de noix de coco que javais ap-« portée dArabie et je lavais remplie jusquau bord.« Strates but gaîment à la santé du roi, et il ajouta :« Confusion à ses ennemis! » Puis il tira son bonnette et le jeta en le faisant tourner en lair avec un grand« huzza. » VI
. Prières de tous, huit dizaines d'un chapelet rhythmique. Dessins de Madeleine Lemaire. ^è îk Xa Croix Je suis celui qui meurt pour les hommes, jesp Avoir bien accompli lunique mission ; Jai satisfait à la justice de mon Père : Le mal de mes vassaux memplit de passion. Moi lunique héritier de votre cour céleste.Roi du ciel, jabolis lexil de nos sujets ;Et lorsque mon royaume est plein dailes, je resteSeigneur tombé sur terre, au milieu des déchets. Ma robe sans couture à jamais ne sélime,Et rien ne sy saurait dans le temps assortir ;Je demeure le Fils de Famille sublime,Le Prince du Sang-Dieu Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/prires-de-tous-huit-dizaines-dun-chapelet-rhythmique-dessins-de-madeleine-lemaire-k-xa-croix-je-suis-celui-qui-meurt-pour-les-hommes-jesp-avoir-bien-accompli-lunique-mission-jai-satisfait-la-justice-de-mon-pre-le-mal-de-mes-vassaux-memplit-de-passion-moi-lunique-hritier-de-votre-cour-clesteroi-du-ciel-jabolis-lexil-de-nos-sujets-et-lorsque-mon-royaume-est-plein-dailes-je-resteseigneur-tomb-sur-terre-au-milieu-des-dchets-ma-robe-sans-couture-jamais-ne-slimeet-rien-ne-sy-saurait-dans-le-temps-assortir-je-demeure-le-fils-de-famille-sublimele-prince-du-sang-dieu-image336898600.html
RM2AG31GT–. Prières de tous, huit dizaines d'un chapelet rhythmique. Dessins de Madeleine Lemaire. ^è îk Xa Croix Je suis celui qui meurt pour les hommes, jesp Avoir bien accompli lunique mission ; Jai satisfait à la justice de mon Père : Le mal de mes vassaux memplit de passion. Moi lunique héritier de votre cour céleste.Roi du ciel, jabolis lexil de nos sujets ;Et lorsque mon royaume est plein dailes, je resteSeigneur tombé sur terre, au milieu des déchets. Ma robe sans couture à jamais ne sélime,Et rien ne sy saurait dans le temps assortir ;Je demeure le Fils de Famille sublime,Le Prince du Sang-Dieu
. Prières de tous, huit dizaines d'un chapelet rhythmique. Dessins de Madeleine Lemaire. XXV U m prière du Caricaturiste Seigneur, si jai troublé les traits de notre face Faite à limage de la vôtre cest afin De faire ressortir à travers la grimace Ce que, de vous, votre œuvre a gâté de divin. Léonard de Vinci qui fut notre modèle A tous 1 avait pris soin den agir comme moi : Il a dun coup de griffe éraflé son coup daile Et montré lhomme-singe auprès de lhomme-roi. Absolvez-donc, Seigneur, mon art qui dénature :Et comment votre esprit le condamnerait-il,Si vous-même avez fait votre caricature.D Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/prires-de-tous-huit-dizaines-dun-chapelet-rhythmique-dessins-de-madeleine-lemaire-xxv-u-m-prire-du-caricaturiste-seigneur-si-jai-troubl-les-traits-de-notre-face-faite-limage-de-la-vtre-cest-afin-de-faire-ressortir-travers-la-grimace-ce-que-de-vous-votre-uvre-a-gt-de-divin-lonard-de-vinci-qui-fut-notre-modle-a-tous-1-avait-pris-soin-den-agir-comme-moi-il-a-dun-coup-de-griffe-rafl-son-coup-daile-et-montr-lhomme-singe-auprs-de-lhomme-roi-absolvez-donc-seigneur-mon-art-qui-dnature-et-comment-votre-esprit-le-condamnerait-ilsi-vous-mme-avez-fait-votre-caricatured-image336940245.html
RM2AG4XM5–. Prières de tous, huit dizaines d'un chapelet rhythmique. Dessins de Madeleine Lemaire. XXV U m prière du Caricaturiste Seigneur, si jai troublé les traits de notre face Faite à limage de la vôtre cest afin De faire ressortir à travers la grimace Ce que, de vous, votre œuvre a gâté de divin. Léonard de Vinci qui fut notre modèle A tous 1 avait pris soin den agir comme moi : Il a dun coup de griffe éraflé son coup daile Et montré lhomme-singe auprès de lhomme-roi. Absolvez-donc, Seigneur, mon art qui dénature :Et comment votre esprit le condamnerait-il,Si vous-même avez fait votre caricature.D
L'amant bourru : comédie en trois actes et en vers libres; représentée par les comédiens Français ordinaires du Roi, le mercredi 14 août 1777Dédiée a la Reine . Marquïfe faitjîgne au Comte de n y point aller. )Cette fcène pour moi ne fera pas rlfible.Je ne crois pas devoir fi fort men réjouir. M. DE PIENNE. Avec bien du plaifir je ferai le meffage , ^ Vous navez pas befoin de men preffer :Mais dun femblable perfonnageIl fera mal-aifç de vous débarraffer. L A COMTES SE.li nimporte, eflayez. Avec impatience Nous attendrons votre retour. 32 L^AMANT BOURRU, M. DE P I E N N E.; Je vais vous obéir Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/lamant-bourru-comdie-en-trois-actes-et-en-vers-libres-reprsente-par-les-comdiens-franais-ordinaires-du-roi-le-mercredi-14-aot-1777ddie-a-la-reine-marqufe-faitjgne-au-comte-de-n-y-point-aller-cette-fcne-pour-moi-ne-fera-pas-rlfibleje-ne-crois-pas-devoir-fi-fort-men-rjouir-m-de-pienne-avec-bien-du-plaifir-je-ferai-le-meffage-vous-navez-pas-befoin-de-men-preffer-mais-dun-femblable-perfonnageil-fera-mal-aif-de-vous-dbarraffer-l-a-comtes-seli-nimporte-eflayez-avec-impatience-nous-attendrons-votre-retour-32-lamant-bourru-m-de-p-i-e-n-n-e-je-vais-vous-obir-image339134584.html
RM2AKMWHC–L'amant bourru : comédie en trois actes et en vers libres; représentée par les comédiens Français ordinaires du Roi, le mercredi 14 août 1777Dédiée a la Reine . Marquïfe faitjîgne au Comte de n y point aller. )Cette fcène pour moi ne fera pas rlfible.Je ne crois pas devoir fi fort men réjouir. M. DE PIENNE. Avec bien du plaifir je ferai le meffage , ^ Vous navez pas befoin de men preffer :Mais dun femblable perfonnageIl fera mal-aifç de vous débarraffer. L A COMTES SE.li nimporte, eflayez. Avec impatience Nous attendrons votre retour. 32 L^AMANT BOURRU, M. DE P I E N N E.; Je vais vous obéir
. Prières de tous, huit dizaines d'un chapelet rhythmique. Dessins de Madeleine Lemaire. XXV U m prière du Caricaturiste Seigneur, si jai troublé les traits de notre face Faite à limage de la vôtre cest afin De faire ressortir à travers la grimace Ce que, de vous, votre œuvre a gâté de divin. Léonard de Vinci qui fut notre modèle A tous 1 avait pris soin den agir comme moi : Il a dun coup de griffe éraflé son coup daile Et montré lhomme-singe auprès de lhomme-roi. Absolvez-donc, Seigneur, mon art qui dénature :Et comment votre esprit le condamnerait-il,Si vous-même avez fait votre caricature.D Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/prires-de-tous-huit-dizaines-dun-chapelet-rhythmique-dessins-de-madeleine-lemaire-xxv-u-m-prire-du-caricaturiste-seigneur-si-jai-troubl-les-traits-de-notre-face-faite-limage-de-la-vtre-cest-afin-de-faire-ressortir-travers-la-grimace-ce-que-de-vous-votre-uvre-a-gt-de-divin-lonard-de-vinci-qui-fut-notre-modle-a-tous-1-avait-pris-soin-den-agir-comme-moi-il-a-dun-coup-de-griffe-rafl-son-coup-daile-et-montr-lhomme-singe-auprs-de-lhomme-roi-absolvez-donc-seigneur-mon-art-qui-dnature-et-comment-votre-esprit-le-condamnerait-ilsi-vous-mme-avez-fait-votre-caricatured-image336939969.html
RM2AG4XA9–. Prières de tous, huit dizaines d'un chapelet rhythmique. Dessins de Madeleine Lemaire. XXV U m prière du Caricaturiste Seigneur, si jai troublé les traits de notre face Faite à limage de la vôtre cest afin De faire ressortir à travers la grimace Ce que, de vous, votre œuvre a gâté de divin. Léonard de Vinci qui fut notre modèle A tous 1 avait pris soin den agir comme moi : Il a dun coup de griffe éraflé son coup daile Et montré lhomme-singe auprès de lhomme-roi. Absolvez-donc, Seigneur, mon art qui dénature :Et comment votre esprit le condamnerait-il,Si vous-même avez fait votre caricature.D
Gazette des beaux-arts . e et ayant dansé, et ayant plu à Hérode et àceux qui étaient à table avec lui, le roi dit à la jeune fille : — Demande-moi ce quelu voudras, et je te le donnerai. Et il le jura disant : — Tout ce que tu demanderas, je te le donnerai, jusquàla moitié de mon royaume. Et étant sortie, elle dit à sa mère : — Que demanderai-je ? Et sa mère lui dit :— Demande la tète de Jean-Baptiste. Et étant rentrée avec empressement, elle lui fit la demande et lui dit:—Je vou-drais que tout à lheure tu me donnasses, dans un bassin, la tête de Jean-Baptiste. Et le roi en fut fort triste; c Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/gazette-des-beaux-arts-e-et-ayant-dans-et-ayant-plu-hrode-et-ceux-qui-taient-table-avec-lui-le-roi-dit-la-jeune-fille-demande-moi-ce-quelu-voudras-et-je-te-le-donnerai-et-il-le-jura-disant-tout-ce-que-tu-demanderas-je-te-le-donnerai-jusqula-moiti-de-mon-royaume-et-tant-sortie-elle-dit-sa-mre-que-demanderai-je-et-sa-mre-lui-dit-demande-la-tte-de-jean-baptiste-et-tant-rentre-avec-empressement-elle-lui-fit-la-demande-et-lui-ditje-vou-drais-que-tout-lheure-tu-me-donnasses-dans-un-bassin-la-tte-de-jean-baptiste-et-le-roi-en-fut-fort-triste-c-image338118789.html
RM2AJ2HY1–Gazette des beaux-arts . e et ayant dansé, et ayant plu à Hérode et àceux qui étaient à table avec lui, le roi dit à la jeune fille : — Demande-moi ce quelu voudras, et je te le donnerai. Et il le jura disant : — Tout ce que tu demanderas, je te le donnerai, jusquàla moitié de mon royaume. Et étant sortie, elle dit à sa mère : — Que demanderai-je ? Et sa mère lui dit :— Demande la tète de Jean-Baptiste. Et étant rentrée avec empressement, elle lui fit la demande et lui dit:—Je vou-drais que tout à lheure tu me donnasses, dans un bassin, la tête de Jean-Baptiste. Et le roi en fut fort triste; c
Arquivos . ait damon caractere je ne sais quoi qui ma empché de faire cet aveu avant le moment oú ,puis le faire dune manière qui prouve k t ,yeux et k ceux de tout le monde quil eTeífet de ma propre détennination, Ce moment est venu, et je vous invite, madame, òpartager avec moi un trone que vous étes ?digne doccuper.» Le Icr juin de la même année, Elisabet.arrivait k Berlin, et le jeune roi la présentak lu cour, qui ne la connaissait pas, qui Vivait oubliée ; • Voilà votre reine, • dit-iPauvre reine de parade, qui eút mieux aim 9uPo EUS moins de respects, iiioms de conrextrifure. iiinins dl Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/arquivos-ait-damon-caractere-je-ne-sais-quoi-qui-ma-empch-de-faire-cet-aveu-avant-le-moment-o-puis-le-faire-dune-manire-qui-prouve-k-t-yeux-et-k-ceux-de-tout-le-monde-quil-etefet-de-ma-propre-dtennination-ce-moment-est-venu-et-je-vous-invite-madame-partager-avec-moi-un-trone-que-vous-tes-digne-doccuper-le-icr-juin-de-la-mme-anne-elisabetarrivait-k-berlin-et-le-jeune-roi-la-prsentak-lu-cour-qui-ne-la-connaissait-pas-qui-vivait-oublie-voil-votre-reine-dit-ipauvre-reine-de-parade-qui-et-mieux-aim-9upo-eus-moins-de-respects-iiioms-de-conrextrifure-iiinins-dl-image340161721.html
RM2ANBKMW–Arquivos . ait damon caractere je ne sais quoi qui ma empché de faire cet aveu avant le moment oú ,puis le faire dune manière qui prouve k t ,yeux et k ceux de tout le monde quil eTeífet de ma propre détennination, Ce moment est venu, et je vous invite, madame, òpartager avec moi un trone que vous étes ?digne doccuper.» Le Icr juin de la même année, Elisabet.arrivait k Berlin, et le jeune roi la présentak lu cour, qui ne la connaissait pas, qui Vivait oubliée ; • Voilà votre reine, • dit-iPauvre reine de parade, qui eút mieux aim 9uPo EUS moins de respects, iiioms de conrextrifure. iiinins dl
Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service . ce qui peut arri-ver. Enfermes cette épée, te dis-je , ou je terends ta heutenance. C O L O xM B l N E.Et bien , la voilà dans le foureau. Ça ;voyons fi tu fauras faire le brave , com-me moi f Déguaines, & ménaces-moi delepée. A R L E Q^U I N déguainant.Oui-da , tiens. Allons, iépée à la main. COLOMBINE.Fort bien ! ARLEQUIN.Tu fuis, lâche?Tçîm /r. M ty^ La Fille de hon fens:, COLOMBINE.Et Jç ne fuis pas. AR Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-thtre-italien-de-gherardi-ou-le-recueil-gnral-de-toutes-les-comdies-scnes-franaises-joues-par-les-comdiens-italiens-du-roi-pendant-tout-le-temps-quils-ont-t-au-service-ce-qui-peut-arri-ver-enfermes-cette-pe-te-dis-je-ou-je-terends-ta-heutenance-c-o-l-o-xm-b-l-n-eet-bien-la-voil-dans-le-foureau-a-voyons-fi-tu-fauras-faire-le-brave-com-me-moi-f-dguaines-mnaces-moi-delepe-a-r-l-e-qu-i-n-dguainantoui-da-tiens-allons-ipe-la-main-colombinefort-bien-!-arlequintu-fuis-lchetm-r-m-ty-la-fille-de-hon-fens-colombineet-j-ne-fuis-pas-ar-image339018158.html
RM2AKFH3A–Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service . ce qui peut arri-ver. Enfermes cette épée, te dis-je , ou je terends ta heutenance. C O L O xM B l N E.Et bien , la voilà dans le foureau. Ça ;voyons fi tu fauras faire le brave , com-me moi f Déguaines, & ménaces-moi delepée. A R L E Q^U I N déguainant.Oui-da , tiens. Allons, iépée à la main. COLOMBINE.Fort bien ! ARLEQUIN.Tu fuis, lâche?Tçîm /r. M ty^ La Fille de hon fens:, COLOMBINE.Et Jç ne fuis pas. AR
Tragédies . oître > Tu pourras ou me perdre, ou me fauver ; & moi >. Sans prévoir lavenir , je fais ce je que doi.SE GESTE. Je ne fçaurois fouffrir , Seigneur, quil vous ou-trage 7 Quon lrôte. ARMINIUS- De Segefte eft-ce-Ià le langage ?- Regarde en quels malheurs tu tes précipité ? Voi de nous deux enfin qui doit être imité. Tu refpecles Varus , tu le crains ; je le brave 1. Je ne parle quen Roi, tu parles en efclave ; Et captif, defarmé , je fuis plus Souverain > Que tu Tas été les Armes à la main.V A R U S. taillons un libre cours à fa douleur mortelle > Seigneur, un foin preûant Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/tragdies-otre-gt-tu-pourras-ou-me-perdre-ou-me-fauver-moi-gt-sans-prvoir-lavenir-je-fais-ce-je-que-doise-geste-je-ne-faurois-fouffrir-seigneur-quil-vous-ou-trage-7-quon-lrte-arminius-de-segefte-eft-ce-i-le-langage-regarde-en-quels-malheurs-tu-tes-prcipit-voi-de-nous-deux-enfin-qui-doit-tre-imit-tu-refpecles-varus-tu-le-crains-je-le-brave-1-je-ne-parle-quen-roi-tu-parles-en-efclave-et-captif-defarm-je-fuis-plus-souverain-gt-que-tu-tas-t-les-armes-la-mainv-a-r-u-s-taillons-un-libre-cours-fa-douleur-mortelle-gt-seigneur-un-foin-preant-image340171775.html
RM2ANC4FY–Tragédies . oître > Tu pourras ou me perdre, ou me fauver ; & moi >. Sans prévoir lavenir , je fais ce je que doi.SE GESTE. Je ne fçaurois fouffrir , Seigneur, quil vous ou-trage 7 Quon lrôte. ARMINIUS- De Segefte eft-ce-Ià le langage ?- Regarde en quels malheurs tu tes précipité ? Voi de nous deux enfin qui doit être imité. Tu refpecles Varus , tu le crains ; je le brave 1. Je ne parle quen Roi, tu parles en efclave ; Et captif, defarmé , je fuis plus Souverain > Que tu Tas été les Armes à la main.V A R U S. taillons un libre cours à fa douleur mortelle > Seigneur, un foin preûant
Le roy et le fermier: comédie en trois actes . fu . rèi ced fu . rehi Jerrdlavb nù^ociur&r <£wvpriL. d&n. a^ Et. 94 S CENE III.JjC LLol, RutrÂrzrcL.RicJiaircL. Jfai entendu, quelquun-. Le Roi .. Tentent parler . Tu charria Qui un la ? Le lien- Moi. Hich(ird> QuL VOUS ? L C Ro l . Ait ement./Moi vous dirjCs. JRwJiard. Qui moi mai? Vous ne vous appelle*, pas MoipcuJbetrh?lfffU vene/L-vous? ou alCez.- -vous ? qui êtes -voua ? Le Roi. Je va tu assure, que wiia (lu ques tuons ans quelles je ne suis parfait. Qui ctisvou* LLichard Co/nmaitauije suù ? ciest mot qui isoujinterroges- Le Roi ?Ltêp Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-roy-et-le-fermier-comdie-en-trois-actes-fu-ri-ced-fu-rehi-jerrdlavb-nociurr-ltwvpril-dn-a-et-94-s-cene-iiijjc-llol-rutrrzrclricjiaircl-jfai-entendu-quelquun-le-roi-tentent-parler-tu-charria-qui-un-la-le-lien-moi-hichirdgt-qul-vous-l-c-ro-l-ait-ementmoi-vous-dirjcs-jrwjiard-qui-moi-mai-vous-ne-vous-appelle-pas-moipcujbetrhlfffu-venel-vous-ou-alcez-vous-qui-tes-voua-le-roi-je-va-tu-assure-que-wiia-lu-ques-tuons-ans-quelles-je-ne-suis-parfait-qui-ctisvou-llichard-conmaitauije-su-ciest-mot-qui-isoujinterroges-le-roi-ltp-image342735074.html
RM2AWGX2A–Le roy et le fermier: comédie en trois actes . fu . rèi ced fu . rehi Jerrdlavb nù^ociur&r <£wvpriL. d&n. a^ Et. 94 S CENE III.JjC LLol, RutrÂrzrcL.RicJiaircL. Jfai entendu, quelquun-. Le Roi .. Tentent parler . Tu charria Qui un la ? Le lien- Moi. Hich(ird> QuL VOUS ? L C Ro l . Ait ement./Moi vous dirjCs. JRwJiard. Qui moi mai? Vous ne vous appelle*, pas MoipcuJbetrh?lfffU vene/L-vous? ou alCez.- -vous ? qui êtes -voua ? Le Roi. Je va tu assure, que wiia (lu ques tuons ans quelles je ne suis parfait. Qui ctisvou* LLichard Co/nmaitauije suù ? ciest mot qui isoujinterroges- Le Roi ?Ltêp
La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . fon . de Poiu- voir le plus gnuid Roi du mon . de!.. Si4 ^ se redressant. .tr le M. I-M 1-f K F^ f ^ •^ tuiif . fe! .le meurs! jemeiu-s!!! au Faunes et aux Svivains. tlt ge . V P gff I ;; Ê ^ Re.tenez-moi! Il se poste belliqueiisemeuldevant le Maître à danser. EZ ? É i± fai . re Sau.ler les ours! oui, monsieur!!! 4fcM= .iJ^ir y ^ i n Faut-il danser? JMJJFPlp ^ r^=F 4i*J= Qui diable faut-il e. cou .ter? Faut-il chau. se moquant du Musicien. i m m m É i > i » » I» » ^ F f. fi F F. son! 11 a raison: 11 Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-carmlite-comdie-musicale-en-quatre-actes-et-cinq-tableaux-pome-de-catulle-mends-fon-de-poiu-voir-le-plus-gnuid-roi-du-mon-de!-si4-se-redressant-tr-le-m-i-m-1-f-k-f-f-tuiif-fe!-le-meurs!-jemeiu-s!!!-au-faunes-et-aux-svivains-tlt-ge-v-p-gff-i-retenez-moi!-il-se-poste-belliqueiisemeuldevant-le-matre-danser-ez-i-fai-re-sauler-les-ours!-oui-monsieur!!!-4fcm=-ijir-y-i-n-faut-il-danser-jmjjfplp-r=f-4ij=-qui-diable-faut-il-e-cou-ter-faut-il-chau-se-moquant-du-musicien-i-m-m-m-i-gt-i-i-f-f-fi-f-f-son!-11-a-raison-11-image338125915.html
RM2AJ2Y1F–La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . fon . de Poiu- voir le plus gnuid Roi du mon . de!.. Si4 ^ se redressant. .tr le M. I-M 1-f K F^ f ^ •^ tuiif . fe! .le meurs! jemeiu-s!!! au Faunes et aux Svivains. tlt ge . V P gff I ;; Ê ^ Re.tenez-moi! Il se poste belliqueiisemeuldevant le Maître à danser. EZ ? É i± fai . re Sau.ler les ours! oui, monsieur!!! 4fcM= .iJ^ir y ^ i n Faut-il danser? JMJJFPlp ^ r^=F 4i*J= Qui diable faut-il e. cou .ter? Faut-il chau. se moquant du Musicien. i m m m É i > i » » I» » ^ F f. fi F F. son! 11 a raison: 11
La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . H. •! 2i7 L. I Parlé. fuir! Ah! I LE ROI, ;iii loin. p plus i-Hiiprixlit y Y •? :; 32: g^^ ^ f Lou - i . -se! Loui . i fei fig^;—^r^j ^ h: ^ # =i t è= :S: ^ ^ ^i* S t P^ ?(it-iiiiiiiiit..1 > g È Elit! sélaiic dans ses bras, tiaiisporlée. >a^ ppj i F.ii.tes-moi fuir, mou Dieu! |iaiaissaiil. Ah!. m =^^ Ml ^ P . se! Loui se!. ?# t. êE^ ^ P P P P |g (^ P -- ^ IH je ne fui .mi pas! e^ ê ^^^1 ^ ;i: •7 - m ^ ^ ( Jf Suii ^ f e.rpressij.Rien dans le Mouvf -;^ ?? - E ^^ Dans le mouvj •5- Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-carmlite-comdie-musicale-en-quatre-actes-et-cinq-tableaux-pome-de-catulle-mends-h-!-2i7-l-i-parl-fuir!-ah!-i-le-roi-iii-loin-p-plus-i-hiiprixlit-y-y-32-g-f-lou-i-se!-loui-i-fei-figrj-h-=i-t-=-s-i-s-t-p-it-iiiiiiiiit1-gt-g-elit!-slaiic-dans-ses-bras-tiaiisporle-gta-ppj-i-fiites-moi-fuir-mou-dieu!-iaiaissaiil-ah!-m-=-ml-p-se!-loui-se!-t-e-p-p-p-p-g-p-ih-je-ne-fui-mi-pas!-e-1-i-7-m-jf-suii-f-erpressijrien-dans-le-mouvf-e-dans-le-mouvj-5-image338081617.html
RM2AJ0XFD–La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . H. •! 2i7 L. I Parlé. fuir! Ah! I LE ROI, ;iii loin. p plus i-Hiiprixlit y Y •? :; 32: g^^ ^ f Lou - i . -se! Loui . i fei fig^;—^r^j ^ h: ^ # =i t è= :S: ^ ^ ^i* S t P^ ?(it-iiiiiiiiit..1 > g È Elit! sélaiic dans ses bras, tiaiisporlée. >a^ ppj i F.ii.tes-moi fuir, mou Dieu! |iaiaissaiil. Ah!. m =^^ Ml ^ P . se! Loui se!. ?# t. êE^ ^ P P P P |g (^ P -- ^ IH je ne fui .mi pas! e^ ê ^^^1 ^ ;i: •7 - m ^ ^ ( Jf Suii ^ f e.rpressij.Rien dans le Mouvf -;^ ?? - E ^^ Dans le mouvj •5-
La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . ^y W ^g ^^ O É ^^ ->Or- fe ffi 92 Même mouv*. (avec un pelit soupir) ^=fc^ ^ r^nr^t ^ ^(^=^ I, lions Même raou. 11 faut que j é.1u-di e LaComé . di . e.. 3 i y. Lh. s p ^m ^ F^ ^^ S rs/,. M^^ MJfeJVBJ^r ^= L. Et de tous les regards Ckuiter! danser devant le Roi!. i ^ ^ PS p. dinn ^ M P ^ èE ¥ ) I • * iirn^ilr^-.N 3 (souriante) ^ 5^ 3î2 ^*^S* ^^=^ > ^J ^5 !.. S Ï F^ t -pM^ de la cour mejiajcé e! Cestter ri . ble! surtout pour moi Qui i i «^ i^ i .jh i ^^1 ^ ^ i i ^ë^l f^» p PP ^ ï 1? ^^ jij j,^. Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-carmlite-comdie-musicale-en-quatre-actes-et-cinq-tableaux-pome-de-catulle-mends-y-w-g-o-gtor-fe-ffi-92-mme-mouv-avec-un-pelit-soupir-=fc-rnrt-=-i-lions-mme-raou-11-faut-que-j-1u-di-e-lacom-di-e-3-i-y-lh-s-p-m-f-s-rs-m-mjfejvbjr-=-l-et-de-tous-les-regards-ckuiter!-danser-devant-le-roi!-i-ps-p-dinn-m-p-e-i-iirnilr-n-3-souriante-5-32-s-=-gt-j-5-!-s-f-t-pm-de-la-cour-mejiajc-e!-cestter-ri-ble!-surtout-pour-moi-qui-i-i-i-i-jh-i-1-i-i-l-f-p-pp-1-jij-j-image338104052.html
RM2AJ1Y4M–La carmélite; comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux Poëme de Catulle Mendès . ^y W ^g ^^ O É ^^ ->Or- fe ffi 92 Même mouv*. (avec un pelit soupir) ^=fc^ ^ r^nr^t ^ ^(^=^ I, lions Même raou. 11 faut que j é.1u-di e LaComé . di . e.. 3 i y. Lh. s p ^m ^ F^ ^^ S rs/,. M^^ MJfeJVBJ^r ^= L. Et de tous les regards Ckuiter! danser devant le Roi!. i ^ ^ PS p. dinn ^ M P ^ èE ¥ ) I • * iirn^ilr^-.N 3 (souriante) ^ 5^ 3î2 ^*^S* ^^=^ > ^J ^5 !.. S Ï F^ t -pM^ de la cour mejiajcé e! Cestter ri . ble! surtout pour moi Qui i i «^ i^ i .jh i ^^1 ^ ^ i i ^ë^l f^» p PP ^ ï 1? ^^ jij j,^.
. Les mots historiques du pays de France . Après la mort de Henri IV,assassiné par Ravaillac, Sullyrevint rarement à la cour. Lesseigneurs qui entouraientLouis XIII raillant unefois son autorité, il ditau nouveau maître :Quand le roi, votre père,me faisait lhonneur de sentretenir avec moi surles affaires importantes, au préalable il faisait sortirles bouffons! Et les seigneurs durent se retirer. Mais, Sully parti définitivement, lacour sabandonna aux ]>rodigalités. Concini dabord, puis Albert de Luynes, menèrentun train fastueux. Heureusement Richelieu arrivait au pouvoir avec une volonté d Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/les-mots-historiques-du-pays-de-france-aprs-la-mort-de-henri-ivassassin-par-ravaillac-sullyrevint-rarement-la-cour-lesseigneurs-qui-entouraientlouis-xiii-raillant-unefois-son-autorit-il-ditau-nouveau-matre-quand-le-roi-votre-preme-faisait-lhonneur-de-sentretenir-avec-moi-surles-affaires-importantes-au-pralable-il-faisait-sortirles-bouffons!-et-les-seigneurs-durent-se-retirer-mais-sully-parti-dfinitivement-lacour-sabandonna-aux-gtrodigalits-concini-dabord-puis-albert-de-luynes-menrentun-train-fastueux-heureusement-richelieu-arrivait-au-pouvoir-avec-une-volont-d-image374740673.html
RM2CNJWFD–. Les mots historiques du pays de France . Après la mort de Henri IV,assassiné par Ravaillac, Sullyrevint rarement à la cour. Lesseigneurs qui entouraientLouis XIII raillant unefois son autorité, il ditau nouveau maître :Quand le roi, votre père,me faisait lhonneur de sentretenir avec moi surles affaires importantes, au préalable il faisait sortirles bouffons! Et les seigneurs durent se retirer. Mais, Sully parti définitivement, lacour sabandonna aux ]>rodigalités. Concini dabord, puis Albert de Luynes, menèrentun train fastueux. Heureusement Richelieu arrivait au pouvoir avec une volonté d
. L'illustration : journal universel . RATION, JOURNAL UNIVLRSEL. ble fail du bourreau et de lar-tiste, de saints hébélés, dan-ges lourdauds, dodalisques etdcnyniplies malsaines; mais ily a quelque chose de bien plustriste que tout cela, cest devoir la pauvre figure que nousy faisons nous-mfmes, gensde notre temps, princes, légis-lateurs, financiers, beaux mes-sieurs et belles dames. Quest-ce, mon Dieu! que tout cemonde bourgeois, épais, maus-sade, prétentieux, étrijué,ayant tous les genres de lai-deur? Cacbez-moi tous cesrna-euts, dirait le grand roi, silétait appelé un moment ù re-connaître Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/lillustration-journal-universel-ration-journal-univlrsel-ble-fail-du-bourreau-et-de-lar-tiste-de-saints-hbls-dan-ges-lourdauds-dodalisques-etdcnyniplies-malsaines-mais-ily-a-quelque-chose-de-bien-plustriste-que-tout-cela-cest-devoir-la-pauvre-figure-que-nousy-faisons-nous-mfmes-gensde-notre-temps-princes-lgis-lateurs-financiers-beaux-mes-sieurs-et-belles-dames-quest-ce-mon-dieu!-que-tout-cemonde-bourgeois-pais-maus-sade-prtentieux-trijuayant-tous-les-genres-de-lai-deur-cacbez-moi-tous-cesrna-euts-dirait-le-grand-roi-siltait-appel-un-moment-re-connatre-image372443382.html
RM2CHX79A–. L'illustration : journal universel . RATION, JOURNAL UNIVLRSEL. ble fail du bourreau et de lar-tiste, de saints hébélés, dan-ges lourdauds, dodalisques etdcnyniplies malsaines; mais ily a quelque chose de bien plustriste que tout cela, cest devoir la pauvre figure que nousy faisons nous-mfmes, gensde notre temps, princes, légis-lateurs, financiers, beaux mes-sieurs et belles dames. Quest-ce, mon Dieu! que tout cemonde bourgeois, épais, maus-sade, prétentieux, étrijué,ayant tous les genres de lai-deur? Cacbez-moi tous cesrna-euts, dirait le grand roi, silétait appelé un moment ù re-connaître
. Oeuvres, dédiées à S.A.S.M. le duc d'Orléans. 5?î. LIVRE CINQUIEME i - LE PH(ENIX ET LE HIBOU. FABLE PREMIE RE. A LA RELNE DE PRUSSE. A I commencé mon Livre par mon Roi ;Une autre Majeflé couronneralouvrage.Reine , agrée ici mon ouvrage ;Ce tribut étranger nen vaut que mieux pour toi.Lencens de tes Sujets reiTent la dépendance ;Tous leurs hommages le font dûs :Ils font (lijets de ta puilTance ;Je ne le fuis, moi , que de tes vertus ,Jai confulté la KenomméeSur ton cœur & fur ton efprit ;La bonne Courriere charmée Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/oeuvres-ddies-sasm-le-duc-dorlans-5-livre-cinquieme-i-le-phenix-et-le-hibou-fable-premie-re-a-la-relne-de-prusse-a-i-commenc-mon-livre-par-mon-roi-une-autre-majefl-couronneralouvragereine-agre-ici-mon-ouvrage-ce-tribut-tranger-nen-vaut-que-mieux-pour-toilencens-de-tes-sujets-reitent-la-dpendance-tous-leurs-hommages-le-font-ds-ils-font-lijets-de-ta-puiltance-je-ne-le-fuis-moi-que-de-tes-vertus-jai-confult-la-kenommesur-ton-cur-fur-ton-efprit-la-bonne-courriere-charme-image370370484.html
RM2CEFR98–. Oeuvres, dédiées à S.A.S.M. le duc d'Orléans. 5?î. LIVRE CINQUIEME i - LE PH(ENIX ET LE HIBOU. FABLE PREMIE RE. A LA RELNE DE PRUSSE. A I commencé mon Livre par mon Roi ;Une autre Majeflé couronneralouvrage.Reine , agrée ici mon ouvrage ;Ce tribut étranger nen vaut que mieux pour toi.Lencens de tes Sujets reiTent la dépendance ;Tous leurs hommages le font dûs :Ils font (lijets de ta puilTance ;Je ne le fuis, moi , que de tes vertus ,Jai confulté la KenomméeSur ton cœur & fur ton efprit ;La bonne Courriere charmée
. Histoire d'un casse-noisette . 60 HISTOIRE D UN C.SSE-NOISETTE. « Knac! knac! knac ! Stupide las de souris,rentrez dans vos trous, ou, à linstant même, vousallez avoir affaire à moi. » Mais, à cette menace, un grand sifflement retentit,et Marie saperçutque les souris nétaient pas rentréesdans leurs trous, mais bien quelles sétaient, H. WlMfJvuvyAAAÂ^ effrayées par le bruit du verre cassé, rôrugîées sousles tables et sous les fauteuils, doù elles commen-çaient à sortir. De son côté, Casse-Noisette, loin dêtre effrayépar le sifflement, parut redoubler de courage. « Ah ! misérable roi des sour Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/histoire-dun-casse-noisette-60-histoire-d-un-csse-noisette-knac!-knac!-knac-!-stupide-las-de-sourisrentrez-dans-vos-trous-ou-linstant-mme-vousallez-avoir-affaire-moi-mais-cette-menace-un-grand-sifflement-retentitet-marie-saperutque-les-souris-ntaient-pas-rentresdans-leurs-trous-mais-bien-quelles-staient-h-wlmfjvuvyaaa-effrayes-par-le-bruit-du-verre-cass-rruges-sousles-tables-et-sous-les-fauteuils-do-elles-commen-aient-sortir-de-son-ct-casse-noisette-loin-dtre-effraypar-le-sifflement-parut-redoubler-de-courage-ah-!-misrable-roi-des-sour-image374736410.html
RM2CNJM36–. Histoire d'un casse-noisette . 60 HISTOIRE D UN C.SSE-NOISETTE. « Knac! knac! knac ! Stupide las de souris,rentrez dans vos trous, ou, à linstant même, vousallez avoir affaire à moi. » Mais, à cette menace, un grand sifflement retentit,et Marie saperçutque les souris nétaient pas rentréesdans leurs trous, mais bien quelles sétaient, H. WlMfJvuvyAAAÂ^ effrayées par le bruit du verre cassé, rôrugîées sousles tables et sous les fauteuils, doù elles commen-çaient à sortir. De son côté, Casse-Noisette, loin dêtre effrayépar le sifflement, parut redoubler de courage. « Ah ! misérable roi des sour
. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . égale en importance. Jen toucherai quelques mots tout àlheure. Le gibier ny manque pas; et jeus la chance dabattre un50»(7î/<?, antilope assez commune dans les valléL^sdela Gouandoet de ses affluents. Gejoiir-là, plusieurs de mes porteurs vinrent se plaindre LES FILLES DU ROI DES AMBOUELAS. 369 à moi de tumeurs qui sétaient rompues aux jointures desjambes et les empêcliaient de marcher : heureusement laconsommation de nos denrées avait rendu libres plusieurshommes qui se trouvèren Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/comment-jai-travers-lafrique-despuis-latlantique-jusqua-locan-indien-a-travers-des-rgions-inconnues-gale-en-importance-jen-toucherai-quelques-mots-tout-lheure-le-gibier-ny-manque-pas-et-jeus-la-chance-dabattre-un507lt-antilope-assez-commune-dans-les-valllsdela-gouandoet-de-ses-affluents-gejoiir-l-plusieurs-de-mes-porteurs-vinrent-se-plaindre-les-filles-du-roi-des-ambouelas-369-moi-de-tumeurs-qui-staient-rompues-aux-jointures-desjambes-et-les-empcliaient-de-marcher-heureusement-laconsommation-de-nos-denres-avait-rendu-libres-plusieurshommes-qui-se-trouvren-image369783332.html
RM2CDH2BG–. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . égale en importance. Jen toucherai quelques mots tout àlheure. Le gibier ny manque pas; et jeus la chance dabattre un50»(7î/<?, antilope assez commune dans les valléL^sdela Gouandoet de ses affluents. Gejoiir-là, plusieurs de mes porteurs vinrent se plaindre LES FILLES DU ROI DES AMBOUELAS. 369 à moi de tumeurs qui sétaient rompues aux jointures desjambes et les empêcliaient de marcher : heureusement laconsommation de nos denrées avait rendu libres plusieurshommes qui se trouvèren
. Le Monde moderne. ond de la salle, onaperçut tous les gens de lhôtel du roi,aec (iuérin et Guillaume d.uvergiie.Thibaud cependant continuait : — Il nest rien qui vous plaise etpuisse plaire que je ne tisse volontiers,et jamais, sil plaît à Dieu, je ne seraicontre vous ni contre les vôtres. — Relevez-vous, comte, dit la régente.Et, se tournant vers les seigneurs quiavaient assisté, muets, à ce serment :Messieurs, sécria-t-elle, voici le com-mandant en chef des armées du roi...Obéissez-lui comme à moi. je le veux I Le soir, Guillaume dAuvergne ren-contra, dans un couloir, le chancelierGuérin Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-monde-moderne-ond-de-la-salle-onaperut-tous-les-gens-de-lhtel-du-roiaec-iurin-et-guillaume-duvergiiethibaud-cependant-continuait-il-nest-rien-qui-vous-plaise-etpuisse-plaire-que-je-ne-tisse-volontierset-jamais-sil-plat-dieu-je-ne-seraicontre-vous-ni-contre-les-vtres-relevez-vous-comte-dit-la-rgenteet-se-tournant-vers-les-seigneurs-quiavaient-assist-muets-ce-serment-messieurs-scria-t-elle-voici-le-com-mandant-en-chef-des-armes-du-roiobissez-lui-comme-moi-je-le-veux-i-le-soir-guillaume-dauvergne-ren-contra-dans-un-couloir-le-chanceliergurin-image370451849.html
RM2CEKF35–. Le Monde moderne. ond de la salle, onaperçut tous les gens de lhôtel du roi,aec (iuérin et Guillaume d.uvergiie.Thibaud cependant continuait : — Il nest rien qui vous plaise etpuisse plaire que je ne tisse volontiers,et jamais, sil plaît à Dieu, je ne seraicontre vous ni contre les vôtres. — Relevez-vous, comte, dit la régente.Et, se tournant vers les seigneurs quiavaient assisté, muets, à ce serment :Messieurs, sécria-t-elle, voici le com-mandant en chef des armées du roi...Obéissez-lui comme à moi. je le veux I Le soir, Guillaume dAuvergne ren-contra, dans un couloir, le chancelierGuérin
. Les mots historiques du pays de France . Louis XII rassura les seigneursqui lavaient autrefois combattu en leurdisant : Le roi de France ne vengepas les injures du duc dOrléans. Il lesémerveilla bientôt par sa bravoure. En 1 .)0(S,à la bataille dAgnadel, en Italie, comme onle suppliait de ne point sexposer à len-droit le plus périlleux, il répondit : Que^ ceux qui ont peur se mettent à cou- ff^ vert derrière moi. 11 était, du reste, très bon pour les pauvres et déclarait : Jaimemieux voir les courtisans rire de mon ava-rice, que le peuple pleurer de mesdépenses. Son successeur ne limitaguère Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/les-mots-historiques-du-pays-de-france-louis-xii-rassura-les-seigneursqui-lavaient-autrefois-combattu-en-leurdisant-le-roi-de-france-ne-vengepas-les-injures-du-duc-dorlans-il-lesmerveilla-bientt-par-sa-bravoure-en-1-0s-la-bataille-dagnadel-en-italie-comme-onle-suppliait-de-ne-point-sexposer-len-droit-le-plus-prilleux-il-rpondit-que-ceux-qui-ont-peur-se-mettent-cou-ff-vert-derrire-moi-11-tait-du-reste-trs-bon-pour-les-pauvres-et-dclarait-jaimemieux-voir-les-courtisans-rire-de-mon-ava-rice-que-le-peuple-pleurer-de-mesdpenses-son-successeur-ne-limitagure-image374741786.html
RM2CNJXY6–. Les mots historiques du pays de France . Louis XII rassura les seigneursqui lavaient autrefois combattu en leurdisant : Le roi de France ne vengepas les injures du duc dOrléans. Il lesémerveilla bientôt par sa bravoure. En 1 .)0(S,à la bataille dAgnadel, en Italie, comme onle suppliait de ne point sexposer à len-droit le plus périlleux, il répondit : Que^ ceux qui ont peur se mettent à cou- ff^ vert derrière moi. 11 était, du reste, très bon pour les pauvres et déclarait : Jaimemieux voir les courtisans rire de mon ava-rice, que le peuple pleurer de mesdépenses. Son successeur ne limitaguère
. Contes mauve . vais plus que le souffle. « Un certain soir, les médecins se retirèrent en hochant la tête. Selon eux,je ne passerais pas la nuit. a Or, ce même soir, comme mon père, débouta sa fenêtre ouverte, contemplait,perdu de chagrin, sa capitale endormie sur laquelle son fils ne régnerait jamais,voici quun hibou entra dans lappartement. Il se posa sur le tapis, secoua sesplumes, sallongea, prit la forme dun homme et dit : — Me voici. Te souviens-tu de moi ? « Le roi reconnut lenchanteur; il tomba sur les genoux, leva vers lui des mainssuppliantes. — Il est, je crois, grand temp> que Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/contes-mauve-vais-plus-que-le-souffle-un-certain-soir-les-mdecins-se-retirrent-en-hochant-la-tte-selon-euxje-ne-passerais-pas-la-nuit-a-or-ce-mme-soir-comme-mon-pre-dbouta-sa-fentre-ouverte-contemplaitperdu-de-chagrin-sa-capitale-endormie-sur-laquelle-son-fils-ne-rgnerait-jamaisvoici-quun-hibou-entra-dans-lappartement-il-se-posa-sur-le-tapis-secoua-sesplumes-sallongea-prit-la-forme-dun-homme-et-dit-me-voici-te-souviens-tu-de-moi-le-roi-reconnut-lenchanteur-il-tomba-sur-les-genoux-leva-vers-lui-des-mainssuppliantes-il-est-je-crois-grand-tempgt-que-image374797138.html
RM2CNNDG2–. Contes mauve . vais plus que le souffle. « Un certain soir, les médecins se retirèrent en hochant la tête. Selon eux,je ne passerais pas la nuit. a Or, ce même soir, comme mon père, débouta sa fenêtre ouverte, contemplait,perdu de chagrin, sa capitale endormie sur laquelle son fils ne régnerait jamais,voici quun hibou entra dans lappartement. Il se posa sur le tapis, secoua sesplumes, sallongea, prit la forme dun homme et dit : — Me voici. Te souviens-tu de moi ? « Le roi reconnut lenchanteur; il tomba sur les genoux, leva vers lui des mainssuppliantes. — Il est, je crois, grand temp> que
. Histoire d'un casse-noisette . conseil. Le roi était fin gourmet; aussi cette odeurlui fit-elle une vive impression de plaisir. Cepen-dant, comme cétait un princegrave et qui avait la répu-tation dêtre maître de lui, ilrésista quelque temps au sen-timent dattraction qui lepoussait vers la cuisine ; maisenfin, quel que fût son em-pire sur ses passions, il luifallut céder au ravissementinexprimable quil éprouvait.« Messieurs, sécria-t-il ense levant, avec votre permis-sion, je reviens dans un instant; attendez-moi. « Et, à travers les chambres et les corridors, il prit5?a course vers la cuisin Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/histoire-dun-casse-noisette-conseil-le-roi-tait-fin-gourmet-aussi-cette-odeurlui-fit-elle-une-vive-impression-de-plaisir-cepen-dant-comme-ctait-un-princegrave-et-qui-avait-la-rpu-tation-dtre-matre-de-lui-ilrsista-quelque-temps-au-sen-timent-dattraction-qui-lepoussait-vers-la-cuisine-maisenfin-quel-que-ft-son-em-pire-sur-ses-passions-il-luifallut-cder-au-ravissementinexprimable-quil-prouvait-messieurs-scria-t-il-ense-levant-avec-votre-permis-sion-je-reviens-dans-un-instant-attendez-moi-et-travers-les-chambres-et-les-corridors-il-prit5a-course-vers-la-cuisin-image374733967.html
RM2CNJGYY–. Histoire d'un casse-noisette . conseil. Le roi était fin gourmet; aussi cette odeurlui fit-elle une vive impression de plaisir. Cepen-dant, comme cétait un princegrave et qui avait la répu-tation dêtre maître de lui, ilrésista quelque temps au sen-timent dattraction qui lepoussait vers la cuisine ; maisenfin, quel que fût son em-pire sur ses passions, il luifallut céder au ravissementinexprimable quil éprouvait.« Messieurs, sécria-t-il ense levant, avec votre permis-sion, je reviens dans un instant; attendez-moi. « Et, à travers les chambres et les corridors, il prit5?a course vers la cuisin
. Les mots historiques du pays de France . le courage et la majesté dun roi. Ils le menacèrent souvent de la mort et furent surpris de son impassibilité. Un jour lun des chefs entra dans sa prison et lui dit, la me-nace à la bouche : « Fais-moi che-valier, ou meurs! — Fais-toi chré-tien, je te ferai chevalier! » re-partit saint Louis. Cest aussi pen-dant cette campagne que la reineMarguerite, suppliant un vieuxchevalier, son garde ducorps, de la tuer si ellevenait à tomber auxmains des Sarrasins,reçut cette simpleréponse : Jy son-geais. Madame !La seconde croisadede saint Louis finitencore plu Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/les-mots-historiques-du-pays-de-france-le-courage-et-la-majest-dun-roi-ils-le-menacrent-souvent-de-la-mort-et-furent-surpris-de-son-impassibilit-un-jour-lun-des-chefs-entra-dans-sa-prison-et-lui-dit-la-me-nace-la-bouche-fais-moi-che-valier-ou-meurs!-fais-toi-chr-tien-je-te-ferai-chevalier!-re-partit-saint-louis-cest-aussi-pen-dant-cette-campagne-que-la-reinemarguerite-suppliant-un-vieuxchevalier-son-garde-ducorps-de-la-tuer-si-ellevenait-tomber-auxmains-des-sarrasinsreut-cette-simplerponse-jy-son-geais-madame-!la-seconde-croisadede-saint-louis-finitencore-plu-image374743003.html
RM2CNK0EK–. Les mots historiques du pays de France . le courage et la majesté dun roi. Ils le menacèrent souvent de la mort et furent surpris de son impassibilité. Un jour lun des chefs entra dans sa prison et lui dit, la me-nace à la bouche : « Fais-moi che-valier, ou meurs! — Fais-toi chré-tien, je te ferai chevalier! » re-partit saint Louis. Cest aussi pen-dant cette campagne que la reineMarguerite, suppliant un vieuxchevalier, son garde ducorps, de la tuer si ellevenait à tomber auxmains des Sarrasins,reçut cette simpleréponse : Jy son-geais. Madame !La seconde croisadede saint Louis finitencore plu
. Contes mauve . our savoir quon a toujours le temps de faire une bêtise... donc, pasdexcès de zèle : défère au désir de ce garçon, dépêche-moi un de tes hommesauprès de Sa Majesté et attends sans impatience les événements. » La suite prouva quen loccurrence la philosophie du vieil officier était labonne. 11 eut tout lieu de sen réjouir en effet, lorsquil vit le Roi lui-même, oui,le Roi en personne, sans escorte, sans suite, seul, accourir... Et à quelle allure!Galopant comme le plus leste de ses pages, cheveux et barbe voltigeant ainsique neige sous la bourrasque. Hors dhaleine, il sarrêta de Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/contes-mauve-our-savoir-quon-a-toujours-le-temps-de-faire-une-btise-donc-pasdexcs-de-zle-dfre-au-dsir-de-ce-garon-dpche-moi-un-de-tes-hommesauprs-de-sa-majest-et-attends-sans-impatience-les-vnements-la-suite-prouva-quen-loccurrence-la-philosophie-du-vieil-officier-tait-labonne-11-eut-tout-lieu-de-sen-rjouir-en-effet-lorsquil-vit-le-roi-lui-mme-ouile-roi-en-personne-sans-escorte-sans-suite-seul-accourir-et-quelle-allure!galopant-comme-le-plus-leste-de-ses-pages-cheveux-et-barbe-voltigeant-ainsique-neige-sous-la-bourrasque-hors-dhaleine-il-sarrta-de-image374794004.html
RM2CNN9G4–. Contes mauve . our savoir quon a toujours le temps de faire une bêtise... donc, pasdexcès de zèle : défère au désir de ce garçon, dépêche-moi un de tes hommesauprès de Sa Majesté et attends sans impatience les événements. » La suite prouva quen loccurrence la philosophie du vieil officier était labonne. 11 eut tout lieu de sen réjouir en effet, lorsquil vit le Roi lui-même, oui,le Roi en personne, sans escorte, sans suite, seul, accourir... Et à quelle allure!Galopant comme le plus leste de ses pages, cheveux et barbe voltigeant ainsique neige sous la bourrasque. Hors dhaleine, il sarrêta de
. [Magasin théâtral . Jai vu le monarque lui-même;Il ma nommé ministre et change de système.« Espagnols, on avait surpris ma bonne foi,» Dit-il; plus darchiduc! Philippe est votre roi;» Il est mon successeur, le fils de ma tendresse!..» PEDRO, gaiement.Jai fait changer un trône en changeant une adresse. MENDOCE. Digne Pèdre! ÉMERANCE. Ami vrai! GUSMAN. Je me sens fier de toi ! ISABELLE. Il nous a sauvés tous ! MENDOCE. Je le prends avec moi.Sadressant à tous, dune -voix solennelle.Vos vœux, puisquà présent je suis au ministère,Vonttous être comblés... Je vous rends votre terre.Ma sœur, Pourvou Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/magasin-thtral-jai-vu-le-monarque-lui-mmeil-ma-nomm-ministre-et-change-de-systme-espagnols-on-avait-surpris-ma-bonne-foi-dit-il-plus-darchiduc!-philippe-est-votre-roi-il-est-mon-successeur-le-fils-de-ma-tendresse!-pedro-gaiementjai-fait-changer-un-trne-en-changeant-une-adresse-mendoce-digne-pdre!-merance-ami-vrai!-gusman-je-me-sens-fier-de-toi-!-isabelle-il-nous-a-sauvs-tous-!-mendoce-je-le-prends-avec-moisadressant-tous-dune-voix-solennellevos-vux-puisqu-prsent-je-suis-au-ministrevonttous-tre-combls-je-vous-rends-votre-terrema-sur-pourvou-image369987170.html
RM2CDXABE–. [Magasin théâtral . Jai vu le monarque lui-même;Il ma nommé ministre et change de système.« Espagnols, on avait surpris ma bonne foi,» Dit-il; plus darchiduc! Philippe est votre roi;» Il est mon successeur, le fils de ma tendresse!..» PEDRO, gaiement.Jai fait changer un trône en changeant une adresse. MENDOCE. Digne Pèdre! ÉMERANCE. Ami vrai! GUSMAN. Je me sens fier de toi ! ISABELLE. Il nous a sauvés tous ! MENDOCE. Je le prends avec moi.Sadressant à tous, dune -voix solennelle.Vos vœux, puisquà présent je suis au ministère,Vonttous être comblés... Je vous rends votre terre.Ma sœur, Pourvou
. Vaudevilles. alors, tout sexplique! Suite de l^air :La ckauteuse, a Paris ? STELLA.Moil DIGDIG.La marchande de biscuits?KRETTLY. Moi! STELLA. Et ce page du roi... RODOLPHE. Toi! KRETTLY. Ce trompett plein defFrol...DIGDIG. Toi! KODOLFHE. Lltalienne au stylet ? STELLA. Moit DIGDIG.La soubrelte au soufflet ? KRETTLY. Moi!RODOLPHE, regardant le Docteur,Ce tuteur furibond ? TRAK. Moil DIGDIG.Et dans tout ga... P dindon?...KRETTLY. Toil Elle lui donne un soufflet en signe dintelligence; Di,en ril de bon cceur.EINSEMBLE. STELLA et KRETTLY. En tous lieux, tous pays,Partageant vos ennuis,!Nous vous Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/vaudevilles-alors-tout-sexplique!-suite-de-lair-la-ckauteuse-a-paris-stellamoil-digdigla-marchande-de-biscuitskrettly-moi!-stella-et-ce-page-du-roi-rodolphe-toi!-krettly-ce-trompett-plein-deffroldigdig-toi!-kodolfhe-lltalienne-au-stylet-stella-moit-digdigla-soubrelte-au-soufflet-krettly-moi!rodolphe-regardant-le-docteurce-tuteur-furibond-trak-moil-digdiget-dans-tout-ga-p-dindonkrettly-toil-elle-lui-donne-un-soufflet-en-signe-dintelligence-dien-ril-de-bon-cceureinsemble-stella-et-krettly-en-tous-lieux-tous-payspartageant-vos-ennuis!nous-vous-image370512730.html
RM2CEP8NE–. Vaudevilles. alors, tout sexplique! Suite de l^air :La ckauteuse, a Paris ? STELLA.Moil DIGDIG.La marchande de biscuits?KRETTLY. Moi! STELLA. Et ce page du roi... RODOLPHE. Toi! KRETTLY. Ce trompett plein defFrol...DIGDIG. Toi! KODOLFHE. Lltalienne au stylet ? STELLA. Moit DIGDIG.La soubrelte au soufflet ? KRETTLY. Moi!RODOLPHE, regardant le Docteur,Ce tuteur furibond ? TRAK. Moil DIGDIG.Et dans tout ga... P dindon?...KRETTLY. Toil Elle lui donne un soufflet en signe dintelligence; Di,en ril de bon cceur.EINSEMBLE. STELLA et KRETTLY. En tous lieux, tous pays,Partageant vos ennuis,!Nous vous
. Histoire d'un casse-noisette . e dêtre un stupide casse-noisette,et je repris ma forme première, qui nest pas désa-gréable, comme vous pouvez le voir. Ainsi donc,ma chère demoiselle, si vous êtes toujours dans lesmêmes sentiments à mon égard, faites-moi la grâcede maccorder votre main bien-aimée, partagez montrône et ma couronne, et régnez avec moi sur leroyaume des poupées; car, à cette heure, jen suisredevenu le roi. » Alors Marie releva doucement le jeune Drossel-mayer, et lui dit : « Vous êtes un aimable et bon roi, monsieur, etcomme vous avez avec cela un charmant royaume,orné de palais Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/histoire-dun-casse-noisette-e-dtre-un-stupide-casse-noisetteet-je-repris-ma-forme-premire-qui-nest-pas-dsa-grable-comme-vous-pouvez-le-voir-ainsi-doncma-chre-demoiselle-si-vous-tes-toujours-dans-lesmmes-sentiments-mon-gard-faites-moi-la-grcede-maccorder-votre-main-bien-aime-partagez-montrne-et-ma-couronne-et-rgnez-avec-moi-sur-leroyaume-des-poupes-car-cette-heure-jen-suisredevenu-le-roi-alors-marie-releva-doucement-le-jeune-drossel-mayer-et-lui-dit-vous-tes-un-aimable-et-bon-roi-monsieur-etcomme-vous-avez-avec-cela-un-charmant-royaumeorn-de-palais-image374727926.html
RM2CNJ986–. Histoire d'un casse-noisette . e dêtre un stupide casse-noisette,et je repris ma forme première, qui nest pas désa-gréable, comme vous pouvez le voir. Ainsi donc,ma chère demoiselle, si vous êtes toujours dans lesmêmes sentiments à mon égard, faites-moi la grâcede maccorder votre main bien-aimée, partagez montrône et ma couronne, et régnez avec moi sur leroyaume des poupées; car, à cette heure, jen suisredevenu le roi. » Alors Marie releva doucement le jeune Drossel-mayer, et lui dit : « Vous êtes un aimable et bon roi, monsieur, etcomme vous avez avec cela un charmant royaume,orné de palais
. La reine Victoria : d'après sa correspondance inédite . sraisons despérer que le rétablissement, bien quil puissenous donner quelques ennuis, ne sera pas très lent. Vousrecevrez des nouvelles demain. Toujours votre niècedévouée. Victoria R. La Reine Victoria au roi des Belges. Château de Windsor, 9 décembre 1861. Mon bien-aimé oncle, Je joins ici le rapport de Clark. Je pense que cela vousintéressera de le connaître. Le mieux de notre cher inva-lide continue, mais ce ne peut être quun grand ennui, et jenai pas besoin de vous dire quelle épreuve cest pour moi.Cependant, chaque jour nous rappr Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-reine-victoria-daprs-sa-correspondance-indite-sraisons-desprer-que-le-rtablissement-bien-quil-puissenous-donner-quelques-ennuis-ne-sera-pas-trs-lent-vousrecevrez-des-nouvelles-demain-toujours-votre-nicedvoue-victoria-r-la-reine-victoria-au-roi-des-belges-chteau-de-windsor-9-dcembre-1861-mon-bien-aim-oncle-je-joins-ici-le-rapport-de-clark-je-pense-que-cela-vousintressera-de-le-connatre-le-mieux-de-notre-cher-inva-lide-continue-mais-ce-ne-peut-tre-quun-grand-ennui-et-jenai-pas-besoin-de-vous-dire-quelle-preuve-cest-pour-moicependant-chaque-jour-nous-rappr-image370122142.html
RM2CE4EFX–. La reine Victoria : d'après sa correspondance inédite . sraisons despérer que le rétablissement, bien quil puissenous donner quelques ennuis, ne sera pas très lent. Vousrecevrez des nouvelles demain. Toujours votre niècedévouée. Victoria R. La Reine Victoria au roi des Belges. Château de Windsor, 9 décembre 1861. Mon bien-aimé oncle, Je joins ici le rapport de Clark. Je pense que cela vousintéressera de le connaître. Le mieux de notre cher inva-lide continue, mais ce ne peut être quun grand ennui, et jenai pas besoin de vous dire quelle épreuve cest pour moi.Cependant, chaque jour nous rappr
. Legendes Bretonnes . — Bel ami, dit Tristan, je nai dautre soutienque vous en cette terre de Basse-Bretagne. Vousle voyez, nul na su guérir ma blessure et ma mortest proche. Cependant Iseult ma bien-aiméesaurait bien trouver le remède souverain, si jepouvais la mander auprès de moi. Je vous en supplie, mon doux ami, partez àla cour du roi Marc et portez à la reine monmessage. Dites-lui que je vais mourir si elle neme secourt et que ma vie espère en elle... Comme Tristan se lamente, Kaherdin acceptede tenter Taventure qui doit rendre la vie à sonami quil chérit tendrement. — Pour vous guérir, Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/legendes-bretonnes-bel-ami-dit-tristan-je-nai-dautre-soutienque-vous-en-cette-terre-de-basse-bretagne-vousle-voyez-nul-na-su-gurir-ma-blessure-et-ma-mortest-proche-cependant-iseult-ma-bien-aimesaurait-bien-trouver-le-remde-souverain-si-jepouvais-la-mander-auprs-de-moi-je-vous-en-supplie-mon-doux-ami-partez-la-cour-du-roi-marc-et-portez-la-reine-monmessage-dites-lui-que-je-vais-mourir-si-elle-neme-secourt-et-que-ma-vie-espre-en-elle-comme-tristan-se-lamente-kaherdin-acceptede-tenter-taventure-qui-doit-rendre-la-vie-sonami-quil-chrit-tendrement-pour-vous-gurir-image374792952.html
RM2CNN86G–. Legendes Bretonnes . — Bel ami, dit Tristan, je nai dautre soutienque vous en cette terre de Basse-Bretagne. Vousle voyez, nul na su guérir ma blessure et ma mortest proche. Cependant Iseult ma bien-aiméesaurait bien trouver le remède souverain, si jepouvais la mander auprès de moi. Je vous en supplie, mon doux ami, partez àla cour du roi Marc et portez à la reine monmessage. Dites-lui que je vais mourir si elle neme secourt et que ma vie espère en elle... Comme Tristan se lamente, Kaherdin acceptede tenter Taventure qui doit rendre la vie à sonami quil chérit tendrement. — Pour vous guérir,
. Recueil historique ou choix de pieces morales, instructives et amusantes en François et en Allemand : pour l'usage des amateurs des deux langues. On y a joint histoire de la Pucelle D'Orleans... . ce. Le lendemain refclave fit dire fecrétementau Roi de fe cacher dans Fappartcment de fonMiniftre» Elle fit apporter une bride & unefelle. Voici îa pierre de touche de votreamour, dit-elle au Vilir, voyons jurquoù iracette complaifance tant vantée ; il faut quevous fafliez ufage de cette felle & de cettebride , & que vous fouffriez que je monte furvotre dos. Le foible Vifir, moitié répugnance, moi Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/recueil-historique-ou-choix-de-pieces-morales-instructives-et-amusantes-en-franois-et-en-allemand-pour-lusage-des-amateurs-des-deux-langues-on-y-a-joint-histoire-de-la-pucelle-dorleans-ce-le-lendemain-refclave-fit-dire-fecrtementau-roi-de-fe-cacher-dans-fappartcment-de-fonminiftre-elle-fit-apporter-une-bride-unefelle-voici-a-pierre-de-touche-de-votreamour-dit-elle-au-vilir-voyons-jurquo-iracette-complaifance-tant-vante-il-faut-quevous-fafliez-ufage-de-cette-felle-de-cettebride-que-vous-fouffriez-que-je-monte-furvotre-dos-le-foible-vifir-moiti-rpugnance-moi-image371637387.html
RM2CGHF7R–. Recueil historique ou choix de pieces morales, instructives et amusantes en François et en Allemand : pour l'usage des amateurs des deux langues. On y a joint histoire de la Pucelle D'Orleans... . ce. Le lendemain refclave fit dire fecrétementau Roi de fe cacher dans Fappartcment de fonMiniftre» Elle fit apporter une bride & unefelle. Voici îa pierre de touche de votreamour, dit-elle au Vilir, voyons jurquoù iracette complaifance tant vantée ; il faut quevous fafliez ufage de cette felle & de cettebride , & que vous fouffriez que je monte furvotre dos. Le foible Vifir, moitié répugnance, moi
. La belle au bois dormant . sur tout ce qui lentourait et tout tomba dans un sommeilenchanté. Mon père me dit que ce sommeil devait durercent ans, au bout desquels, un fils de roi viendrait réveillerla Princesse et lépouserait. Lorsque le jeune Prince entendit ces mots, son cœurbattit avec force. Il eut le pressentiment que ce serait lui,le fils dun roi, qui romprait lenchantement, et il sécria : Montrez-moi le chemin du Château, car je veux tenterlaventure. Mais le vieillard hocha la tête. Je ne vous ai pas encore tout dit. Monseigneur ; plusieursjeunes princes ont essayé de se frayer un che Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-belle-au-bois-dormant-sur-tout-ce-qui-lentourait-et-tout-tomba-dans-un-sommeilenchant-mon-pre-me-dit-que-ce-sommeil-devait-durercent-ans-au-bout-desquels-un-fils-de-roi-viendrait-rveillerla-princesse-et-lpouserait-lorsque-le-jeune-prince-entendit-ces-mots-son-curbattit-avec-force-il-eut-le-pressentiment-que-ce-serait-luile-fils-dun-roi-qui-romprait-lenchantement-et-il-scria-montrez-moi-le-chemin-du-chteau-car-je-veux-tenterlaventure-mais-le-vieillard-hocha-la-tte-je-ne-vous-ai-pas-encore-tout-dit-monseigneur-plusieursjeunes-princes-ont-essay-de-se-frayer-un-che-image374747324.html
RM2CNK610–. La belle au bois dormant . sur tout ce qui lentourait et tout tomba dans un sommeilenchanté. Mon père me dit que ce sommeil devait durercent ans, au bout desquels, un fils de roi viendrait réveillerla Princesse et lépouserait. Lorsque le jeune Prince entendit ces mots, son cœurbattit avec force. Il eut le pressentiment que ce serait lui,le fils dun roi, qui romprait lenchantement, et il sécria : Montrez-moi le chemin du Château, car je veux tenterlaventure. Mais le vieillard hocha la tête. Je ne vous ai pas encore tout dit. Monseigneur ; plusieursjeunes princes ont essayé de se frayer un che
. L'Arétin français [electronic resource] : par un membre de l'Académie des dames ... Sur la copie à Londres, 1782. .FIGURE SEPTIEME FIGURE SEPTIEME Prends, lève et soutiens-moi la cuisse Pour le fourrer tout autant quil se fuisse. Y aime le vit. — Moi, jadore le con; Oui nest pas jouteur nest pas homme. — O, que tu le fais bien!... pousse... à merveille!... bon!... Ah! mon Roi! cest ainsi quil faut que je te ( nomme; Je sens... je vais mourir; trépas délicieux! Ton vit me fait pâmer. — Ton con me met aux ( deux!. FIGURE HUITIEME FIGURE HUITIEME Auprès de sa déesse on doit être à genoux;My voi Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/lartin-franais-electronic-resource-par-un-membre-de-lacadmie-des-dames-sur-la-copie-londres-1782-figure-septieme-figure-septieme-prends-lve-et-soutiens-moi-la-cuisse-pour-le-fourrer-tout-autant-quil-se-fuisse-y-aime-le-vit-moi-jadore-le-con-oui-nest-pas-jouteur-nest-pas-homme-o-que-tu-le-fais-bien!-pousse-merveille!-bon!-ah!-mon-roi!-cest-ainsi-quil-faut-que-je-te-nomme-je-sens-je-vais-mourir-trpas-dlicieux!-ton-vit-me-fait-pmer-ton-con-me-met-aux-deux!-figure-huitieme-figure-huitieme-auprs-de-sa-desse-on-doit-tre-genouxmy-voi-image370617138.html
RM2CEY1XA–. L'Arétin français [electronic resource] : par un membre de l'Académie des dames ... Sur la copie à Londres, 1782. .FIGURE SEPTIEME FIGURE SEPTIEME Prends, lève et soutiens-moi la cuisse Pour le fourrer tout autant quil se fuisse. Y aime le vit. — Moi, jadore le con; Oui nest pas jouteur nest pas homme. — O, que tu le fais bien!... pousse... à merveille!... bon!... Ah! mon Roi! cest ainsi quil faut que je te ( nomme; Je sens... je vais mourir; trépas délicieux! Ton vit me fait pâmer. — Ton con me met aux ( deux!. FIGURE HUITIEME FIGURE HUITIEME Auprès de sa déesse on doit être à genoux;My voi
. Mission Pavie, Indo-Chine, 1879-1895 : géographie et voyages . il comptait aborder avec le roi, et me trouvant en accordcomplet avec sa pensée, il memmena au palais comme son interprète. Lorsquil en sortit, content du résultat de sa démarche, il me demandace que je pensais quil pouvait faire dutile pour le Cambodge, et com-ment, pour moi-même, il lui serait donné de mêtre agréable. Je le suivis sur sa canonnière, comprenant quil serait pour le paysun protecteur éclairé, et sentant cpie son cœur devinait lattachement pourlui qui naissait en moi. Quand le quittant à lheure du départ, ayantobte Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/mission-pavie-indo-chine-1879-1895-gographie-et-voyages-il-comptait-aborder-avec-le-roi-et-me-trouvant-en-accordcomplet-avec-sa-pense-il-memmena-au-palais-comme-son-interprte-lorsquil-en-sortit-content-du-rsultat-de-sa-dmarche-il-me-demandace-que-je-pensais-quil-pouvait-faire-dutile-pour-le-cambodge-et-com-ment-pour-moi-mme-il-lui-serait-donn-de-mtre-agrable-je-le-suivis-sur-sa-canonnire-comprenant-quil-serait-pour-le-paysun-protecteur-clair-et-sentant-cpie-son-cur-devinait-lattachement-pourlui-qui-naissait-en-moi-quand-le-quittant-lheure-du-dpart-ayantobte-image369735296.html
RM2CDEW40–. Mission Pavie, Indo-Chine, 1879-1895 : géographie et voyages . il comptait aborder avec le roi, et me trouvant en accordcomplet avec sa pensée, il memmena au palais comme son interprète. Lorsquil en sortit, content du résultat de sa démarche, il me demandace que je pensais quil pouvait faire dutile pour le Cambodge, et com-ment, pour moi-même, il lui serait donné de mêtre agréable. Je le suivis sur sa canonnière, comprenant quil serait pour le paysun protecteur éclairé, et sentant cpie son cœur devinait lattachement pourlui qui naissait en moi. Quand le quittant à lheure du départ, ayantobte
. Le petit chaperon vert : suivi d'autres contes . 74 yeux, elle le visa en face, étouffa un cri, et, de douleur,joignit les deux mains quelle tendit au ciel. Le Petit Poucet sagenouilla devant la veuve et mur-mura : — Ma mère, prierez-vous pour moi ce soir?Elle inclina la tête : — Je prierai pour vous ce soir, et tous les jours sui-vants. Que Dieu vous pardonne. Le courrier du Roi ouvrit la porte, la referma et disparutdans la nuit et la tempête. 75. Je tn arrêtai. Autant avouer que ma collaboration avec Perraultne me laissait pas méconte?it. Entre nous y ces vieilles his-toires, pleines de s Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/le-petit-chaperon-vert-suivi-dautres-contes-74-yeux-elle-le-visa-en-face-touffa-un-cri-et-de-douleurjoignit-les-deux-mains-quelle-tendit-au-ciel-le-petit-poucet-sagenouilla-devant-la-veuve-et-mur-mura-ma-mre-prierez-vous-pour-moi-ce-soirelle-inclina-la-tte-je-prierai-pour-vous-ce-soir-et-tous-les-jours-sui-vants-que-dieu-vous-pardonne-le-courrier-du-roi-ouvrit-la-porte-la-referma-et-disparutdans-la-nuit-et-la-tempte-75-je-tn-arrtai-autant-avouer-que-ma-collaboration-avec-perraultne-me-laissait-pas-mconteit-entre-nous-y-ces-vieilles-his-toires-pleines-de-s-image374791875.html
RM2CNN6T3–. Le petit chaperon vert : suivi d'autres contes . 74 yeux, elle le visa en face, étouffa un cri, et, de douleur,joignit les deux mains quelle tendit au ciel. Le Petit Poucet sagenouilla devant la veuve et mur-mura : — Ma mère, prierez-vous pour moi ce soir?Elle inclina la tête : — Je prierai pour vous ce soir, et tous les jours sui-vants. Que Dieu vous pardonne. Le courrier du Roi ouvrit la porte, la referma et disparutdans la nuit et la tempête. 75. Je tn arrêtai. Autant avouer que ma collaboration avec Perraultne me laissait pas méconte?it. Entre nous y ces vieilles his-toires, pleines de s
. Tresor Des Feves Et Fleur Des Pois . uant à moi, je ne fais pasplus de cas de ton royaume et de t^ main que dun poischiche. — Si vous pouviez me dire en quel trou le roi des Gril-lons sest caché, sécria Trésor des Fèves furieux, je lau-rois bientôt déterré avec ma serfouette, et je lamèneroispieds et poings liés, princesse, à votre discrétion. — Je .52 TRÉSOR DES FÈVES comprends cependant son désespoir, ajouta-t-il en laissanttomber son front sur sa main. Mais ne pensez-vous pasquil faut que je vous accompagne jusque dans vos États,pour vous mettre à labri de ses poursuites ? — Il le faudroi Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/tresor-des-feves-et-fleur-des-pois-uant-moi-je-ne-fais-pasplus-de-cas-de-ton-royaume-et-de-t-main-que-dun-poischiche-si-vous-pouviez-me-dire-en-quel-trou-le-roi-des-gril-lons-sest-cach-scria-trsor-des-fves-furieux-je-lau-rois-bientt-dterr-avec-ma-serfouette-et-je-lamneroispieds-et-poings-lis-princesse-votre-discrtion-je-52-trsor-des-fves-comprends-cependant-son-dsespoir-ajouta-t-il-en-laissanttomber-son-front-sur-sa-main-mais-ne-pensez-vous-pasquil-faut-que-je-vous-accompagne-jusque-dans-vos-tatspour-vous-mettre-labri-de-ses-poursuites-il-le-faudroi-image374840771.html
RM2CNRD6B–. Tresor Des Feves Et Fleur Des Pois . uant à moi, je ne fais pasplus de cas de ton royaume et de t^ main que dun poischiche. — Si vous pouviez me dire en quel trou le roi des Gril-lons sest caché, sécria Trésor des Fèves furieux, je lau-rois bientôt déterré avec ma serfouette, et je lamèneroispieds et poings liés, princesse, à votre discrétion. — Je .52 TRÉSOR DES FÈVES comprends cependant son désespoir, ajouta-t-il en laissanttomber son front sur sa main. Mais ne pensez-vous pasquil faut que je vous accompagne jusque dans vos États,pour vous mettre à labri de ses poursuites ? — Il le faudroi
. La vie de Monsieur le duc de Montausier : pair de France, gouverneur de monseigneur Louis dauphin, bisayeul du roi a present regnant.. •4&>M£* LE P A V O T. MADRIGA L. A Ccordez-moi le privilègeDapprocher de ce front de neigé-,Et fi je/uis place, comme il eftà proposiAuprès de ces Soleils que le Soleil féconde*Je leur donnerai le reposQuils dérobent a tout le monde. 3* ScUDEKYi . V. L1M- 2,Ol******************** LI MMORTELL E. MADRIGAL. E Oibles fleurs à qui le DeftinNe donne jamais quun matin,ReconnoifTez votre folie >Moi feul dois prétendre à couronner Julie ;Digne objet des plus dig Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-vie-de-monsieur-le-duc-de-montausier-pair-de-france-gouverneur-de-monseigneur-louis-dauphin-bisayeul-du-roi-a-present-regnant-4gtm-le-p-a-v-o-t-madriga-l-a-ccordez-moi-le-privilgedapprocher-de-ce-front-de-neig-et-fi-jeuis-place-comme-il-eft-proposiauprs-de-ces-soleils-que-le-soleil-fcondeje-leur-donnerai-le-reposquils-drobent-a-tout-le-monde-3-scudekyi-v-l1m-2ol-li-mmortell-e-madrigal-e-oibles-fleurs-qui-le-deftinne-donne-jamais-quun-matinreconnoiftez-votre-folie-gtmoi-feul-dois-prtendre-couronner-julie-digne-objet-des-plus-dig-image370397999.html
RM2CEH2BY–. La vie de Monsieur le duc de Montausier : pair de France, gouverneur de monseigneur Louis dauphin, bisayeul du roi a present regnant.. •4&>M£* LE P A V O T. MADRIGA L. A Ccordez-moi le privilègeDapprocher de ce front de neigé-,Et fi je/uis place, comme il eftà proposiAuprès de ces Soleils que le Soleil féconde*Je leur donnerai le reposQuils dérobent a tout le monde. 3* ScUDEKYi . V. L1M- 2,Ol******************** LI MMORTELL E. MADRIGAL. E Oibles fleurs à qui le DeftinNe donne jamais quun matin,ReconnoifTez votre folie >Moi feul dois prétendre à couronner Julie ;Digne objet des plus dig
. La belle au bois dormant . ive pastrop tard, bien que le festin soit presque terminé ! Jemangerais dans de la vaisselle dargent pendant que messœurs auraient des services dor, et il ny aurait pas détuiciselé pour moi ! Certes non ! Mais je suis contente dêtrearrivée à temps pour donner à la Princesse le don que je suisvenue lui apporter ! Et la misérable créature fit résonner encore une fois cerire qui glaça dans leurs veines le sang de tous les invités.Le Roi parvint à lui faire prendre place et le festin continua.Mais une tristesse pesait sur chacun et la gaîté ne revint pas.La vieille fée Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-belle-au-bois-dormant-ive-pastrop-tard-bien-que-le-festin-soit-presque-termin-!-jemangerais-dans-de-la-vaisselle-dargent-pendant-que-messurs-auraient-des-services-dor-et-il-ny-aurait-pas-dtuicisel-pour-moi-!-certes-non-!-mais-je-suis-contente-dtrearrive-temps-pour-donner-la-princesse-le-don-que-je-suisvenue-lui-apporter-!-et-la-misrable-crature-fit-rsonner-encore-une-fois-cerire-qui-glaa-dans-leurs-veines-le-sang-de-tous-les-invitsle-roi-parvint-lui-faire-prendre-place-et-le-festin-continuamais-une-tristesse-pesait-sur-chacun-et-la-gat-ne-revint-pasla-vieille-fe-image374749497.html
RM2CNK8PH–. La belle au bois dormant . ive pastrop tard, bien que le festin soit presque terminé ! Jemangerais dans de la vaisselle dargent pendant que messœurs auraient des services dor, et il ny aurait pas détuiciselé pour moi ! Certes non ! Mais je suis contente dêtrearrivée à temps pour donner à la Princesse le don que je suisvenue lui apporter ! Et la misérable créature fit résonner encore une fois cerire qui glaça dans leurs veines le sang de tous les invités.Le Roi parvint à lui faire prendre place et le festin continua.Mais une tristesse pesait sur chacun et la gaîté ne revint pas.La vieille fée
. 1430; . Oui, messire, c est moi ! vauchiez en quête de bons coups de lance, je fus chargé parle capitaine de Compiègne, messire de Fiavy, daller voirles gens du roi Charles à Orléans, pour remettre lettres eten rapporter argent pour les nécessités de la guerre. Je nesuis pas homme de bataille, je ne me crois aucune vaillance,et je serais dune faible utilité dans un assaut, vous vous endoutez à me voir, nest-ce pas? Je vous avoue donc humble-ment que je neus pas le cœur très réjoui de la mission...Messire de Flavy, pour niamadouer, parla de la confiance 88 LES ASSIÉGÉS DE COMPIÈGXE quil metta Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/1430-oui-messire-c-est-moi-!-vauchiez-en-qute-de-bons-coups-de-lance-je-fus-charg-parle-capitaine-de-compigne-messire-de-fiavy-daller-voirles-gens-du-roi-charles-orlans-pour-remettre-lettres-eten-rapporter-argent-pour-les-ncessits-de-la-guerre-je-nesuis-pas-homme-de-bataille-je-ne-me-crois-aucune-vaillanceet-je-serais-dune-faible-utilit-dans-un-assaut-vous-vous-endoutez-me-voir-nest-ce-pas-je-vous-avoue-donc-humble-ment-que-je-neus-pas-le-cur-trs-rjoui-de-la-missionmessire-de-flavy-pour-niamadouer-parla-de-la-confiance-88-les-assigs-de-compigxe-quil-metta-image374770342.html
RM2CNM7B2–. 1430; . Oui, messire, c est moi ! vauchiez en quête de bons coups de lance, je fus chargé parle capitaine de Compiègne, messire de Fiavy, daller voirles gens du roi Charles à Orléans, pour remettre lettres eten rapporter argent pour les nécessités de la guerre. Je nesuis pas homme de bataille, je ne me crois aucune vaillance,et je serais dune faible utilité dans un assaut, vous vous endoutez à me voir, nest-ce pas? Je vous avoue donc humble-ment que je neus pas le cœur très réjoui de la mission...Messire de Flavy, pour niamadouer, parla de la confiance 88 LES ASSIÉGÉS DE COMPIÈGXE quil metta
. Contes roses . i, mon maître, tu as gagné le pari : voici la bride. Et, le repas achevé, Constantin sen retourna à la ferme, sans brideni écus, plus pauvre quil en était parti. Au bout dun certain temps, le second fils du roi, qui sappelaitGeorges, dit à ses frères : — Je veux à mon tour essayer daller vendre ma selle à la ville. 11 arriva au marché, portant sa selle sur la tète, et se promena de-cide-là, criant : — Achetez-moi une selle!... Qui veut une selle!... Jai une belleselle à vendre. Mais, cest en vain quil offrit sa marchandise, personne nen voulut. Vers midi, comme il allait quitt Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/contes-roses-i-mon-matre-tu-as-gagn-le-pari-voici-la-bride-et-le-repas-achev-constantin-sen-retourna-la-ferme-sans-brideni-cus-plus-pauvre-quil-en-tait-parti-au-bout-dun-certain-temps-le-second-fils-du-roi-qui-sappelaitgeorges-dit-ses-frres-je-veux-mon-tour-essayer-daller-vendre-ma-selle-la-ville-11-arriva-au-march-portant-sa-selle-sur-la-tte-et-se-promena-de-cide-l-criant-achetez-moi-une-selle!-qui-veut-une-selle!-jai-une-belleselle-vendre-mais-cest-en-vain-quil-offrit-sa-marchandise-personne-nen-voulut-vers-midi-comme-il-allait-quitt-image374800505.html
RM2CNNHT9–. Contes roses . i, mon maître, tu as gagné le pari : voici la bride. Et, le repas achevé, Constantin sen retourna à la ferme, sans brideni écus, plus pauvre quil en était parti. Au bout dun certain temps, le second fils du roi, qui sappelaitGeorges, dit à ses frères : — Je veux à mon tour essayer daller vendre ma selle à la ville. 11 arriva au marché, portant sa selle sur la tète, et se promena de-cide-là, criant : — Achetez-moi une selle!... Qui veut une selle!... Jai une belleselle à vendre. Mais, cest en vain quil offrit sa marchandise, personne nen voulut. Vers midi, comme il allait quitt
. Chansons vécues . pris lenga-ge . ment De ser.vir dans le ré.gi ment QuEros a pour ro.ya . le gar - de, Sur mon re.nom de grand pa^il.lard.Je fus nom.. i. li- ce pail - 1 148 Chansons vécues Lorsque je pris lengagementDe servir dans le régimentQuEros a pour royale garde.Sur mon renom de grand paillard,Je fus nommé porte étendardDe cette milice paillarde. Lors, en bon courtisan du roi Dont jacceptais toute la loi, Je voulus à ce chef suprême Offrir le mystique trésor Dun étendard aux franges dor, En entier construit par moi-même. U Étendard 149 Et la hampe de mon drapeauFut le bras, royalemen Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/chansons-vcues-pris-lenga-ge-ment-de-servir-dans-le-rgi-ment-queros-a-pour-roya-le-gar-de-sur-mon-renom-de-grand-paillardje-fus-nom-i-li-ce-pail-1-148-chansons-vcues-lorsque-je-pris-lengagementde-servir-dans-le-rgimentqueros-a-pour-royale-gardesur-mon-renom-de-grand-paillardje-fus-nomm-porte-tendardde-cette-milice-paillarde-lors-en-bon-courtisan-du-roi-dont-jacceptais-toute-la-loi-je-voulus-ce-chef-suprme-offrir-le-mystique-trsor-dun-tendard-aux-franges-dor-en-entier-construit-par-moi-mme-u-tendard-149-et-la-hampe-de-mon-drapeaufut-le-bras-royalemen-image372296174.html
RM2CHKFFX–. Chansons vécues . pris lenga-ge . ment De ser.vir dans le ré.gi ment QuEros a pour ro.ya . le gar - de, Sur mon re.nom de grand pa^il.lard.Je fus nom.. i. li- ce pail - 1 148 Chansons vécues Lorsque je pris lengagementDe servir dans le régimentQuEros a pour royale garde.Sur mon renom de grand paillard,Je fus nommé porte étendardDe cette milice paillarde. Lors, en bon courtisan du roi Dont jacceptais toute la loi, Je voulus à ce chef suprême Offrir le mystique trésor Dun étendard aux franges dor, En entier construit par moi-même. U Étendard 149 Et la hampe de mon drapeauFut le bras, royalemen
. La Princesse Maleine : drame en cinq actes . NGUS. Oui, Sire, moi... LE ROI. Eh bien! fermez les yeux alors et allons-nous-en ! LA NOURRICE. Oui, oui, venez, venez. LE ROI. Je viens, je viens! Oh! oh! comme je vaisêtre seul maintenant!... — Et me voilà dans lemalheur jusquaux oreilles! — A soixante-dix-sept ans! Où donc êtes-vous? LA NOURRICE. Ici, ici. LE ROI. Vous ne men voudrez pas? — Nous allonsdéjeuner; y aura-t-il de la salade? — Je vou-drais un peu de salade... i6. 246 « LA PRINCESSE MALEINE — LA NOURRICE. Oui, oui, il y en aura. LE ROI. Je ne sais pas pourquoi, je suis un peu tristea Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-princesse-maleine-drame-en-cinq-actes-ngus-oui-sire-moi-le-roi-eh-bien!-fermez-les-yeux-alors-et-allons-nous-en-!-la-nourrice-oui-oui-venez-venez-le-roi-je-viens-je-viens!-oh!-oh!-comme-je-vaistre-seul-maintenant!-et-me-voil-dans-lemalheur-jusquaux-oreilles!-a-soixante-dix-sept-ans!-o-donc-tes-vous-la-nourrice-ici-ici-le-roi-vous-ne-men-voudrez-pas-nous-allonsdjeuner-y-aura-t-il-de-la-salade-je-vou-drais-un-peu-de-salade-i6-246-la-princesse-maleine-la-nourrice-oui-oui-il-y-en-aura-le-roi-je-ne-sais-pas-pourquoi-je-suis-un-peu-tristea-image369832732.html
RM2CDK9BT–. La Princesse Maleine : drame en cinq actes . NGUS. Oui, Sire, moi... LE ROI. Eh bien! fermez les yeux alors et allons-nous-en ! LA NOURRICE. Oui, oui, venez, venez. LE ROI. Je viens, je viens! Oh! oh! comme je vaisêtre seul maintenant!... — Et me voilà dans lemalheur jusquaux oreilles! — A soixante-dix-sept ans! Où donc êtes-vous? LA NOURRICE. Ici, ici. LE ROI. Vous ne men voudrez pas? — Nous allonsdéjeuner; y aura-t-il de la salade? — Je vou-drais un peu de salade... i6. 246 « LA PRINCESSE MALEINE — LA NOURRICE. Oui, oui, il y en aura. LE ROI. Je ne sais pas pourquoi, je suis un peu tristea
. Tresor Des Feves Et Fleur Des Pois . ne vue, navait laissé à sa pensée que limpres-sion dun rêve cliarmant, dont le sommeil seul pouvoit luirendre lillusion. Kaison de plus pour dormir, sil vous eusouvient comme à moi. Toutefois, Trésor des Fèves étoittrop prudent pour sabandonner à cette joie paresseuseavant de sêtre assuré de lextérieur de son pavillon, dontléclat suffisait pour attirer de fort loin les voleurs et lesg-ens du roi. Il y en a en tous pays. Il sortit donc de len-ceinte magique, la serfouette ouverte à la main, commedhabitude, pour faire le tour de sa tente, et aviser au bonét Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/tresor-des-feves-et-fleur-des-pois-ne-vue-navait-laiss-sa-pense-que-limpres-sion-dun-rve-cliarmant-dont-le-sommeil-seul-pouvoit-luirendre-lillusion-kaison-de-plus-pour-dormir-sil-vous-eusouvient-comme-moi-toutefois-trsor-des-fves-toittrop-prudent-pour-sabandonner-cette-joie-paresseuseavant-de-stre-assur-de-lextrieur-de-son-pavillon-dontlclat-suffisait-pour-attirer-de-fort-loin-les-voleurs-et-lesg-ens-du-roi-il-y-en-a-en-tous-pays-il-sortit-donc-de-len-ceinte-magique-la-serfouette-ouverte-la-main-commedhabitude-pour-faire-le-tour-de-sa-tente-et-aviser-au-bont-image374840296.html
RM2CNRCHC–. Tresor Des Feves Et Fleur Des Pois . ne vue, navait laissé à sa pensée que limpres-sion dun rêve cliarmant, dont le sommeil seul pouvoit luirendre lillusion. Kaison de plus pour dormir, sil vous eusouvient comme à moi. Toutefois, Trésor des Fèves étoittrop prudent pour sabandonner à cette joie paresseuseavant de sêtre assuré de lextérieur de son pavillon, dontléclat suffisait pour attirer de fort loin les voleurs et lesg-ens du roi. Il y en a en tous pays. Il sortit donc de len-ceinte magique, la serfouette ouverte à la main, commedhabitude, pour faire le tour de sa tente, et aviser au bonét
. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Ife5 ^^^^^M. — ii5 —dans la fable du Singe et le Léopard, il faitdire à celui-ci : le roi ma voulu voir, Et si je meurs il veut avoirUn Manchon de ma peau; tant elle est bigarrée,Pleine de taches, marquetéeEt vergetée et mouchetée. Quant au chien de Manchon (pour finir decontrôler la définition de Furetière), non seule-ment Hollar nous en a laissé la gravure et nousPa présenté sous la forme dun petit Epagneulbasset, mais encore le père Du Cerceau fait direà son poète tapissier : 11 ne fut pas même jusquà Cadet (petit chien de la dame)Qui daboyer contre moi Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/lombrelle-le-gant-le-manchon-ife5-m-ii5-dans-la-fable-du-singe-et-le-lopard-il-faitdire-celui-ci-le-roi-ma-voulu-voir-et-si-je-meurs-il-veut-avoirun-manchon-de-ma-peau-tant-elle-est-bigarrepleine-de-taches-marqueteet-vergete-et-mouchete-quant-au-chien-de-manchon-pour-finir-decontrler-la-dfinition-de-furetire-non-seule-ment-hollar-nous-en-a-laiss-la-gravure-et-nouspa-prsent-sous-la-forme-dun-petit-epagneulbasset-mais-encore-le-pre-du-cerceau-fait-dire-son-pote-tapissier-11-ne-fut-pas-mme-jusqu-cadet-petit-chien-de-la-damequi-daboyer-contre-moi-image372256827.html
RM2CHHNAK–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Ife5 ^^^^^M. — ii5 —dans la fable du Singe et le Léopard, il faitdire à celui-ci : le roi ma voulu voir, Et si je meurs il veut avoirUn Manchon de ma peau; tant elle est bigarrée,Pleine de taches, marquetéeEt vergetée et mouchetée. Quant au chien de Manchon (pour finir decontrôler la définition de Furetière), non seule-ment Hollar nous en a laissé la gravure et nousPa présenté sous la forme dun petit Epagneulbasset, mais encore le père Du Cerceau fait direà son poète tapissier : 11 ne fut pas même jusquà Cadet (petit chien de la dame)Qui daboyer contre moi
. La vie hors de chez soi (comédie de notre temps) l'hiver, le printemps, l'été, l'automne; études au crayon et à la plume. Mon dier député, ne craignez rien des événements; un homme comme v< doit surnager.. LE CHOIX DUNE FEMME. 543 du roi, pour que celui de leurs descendants que je préfère, ne profite pasun peu de tous ces sacrifices, et ne sen fasse dans le besoin quelques milliersde livres de rente. Moi dabord je nai pas de préjugés. Je vis naturellement de la vie de monsiècle, je nen ai pas dautre à mon service. Si les circonstances montdonné quelques avantages, je me trouverais pr Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-vie-hors-de-chez-soi-comedie-de-notre-temps-lhiver-le-printemps-lete-lautomne-etudes-au-crayon-et-a-la-plume-mon-dier-dput-ne-craignez-rien-des-vnements-un-homme-comme-vlt-doit-surnager-le-choix-dune-femme-543-du-roi-pour-que-celui-de-leurs-descendants-que-je-prfre-ne-profite-pasun-peu-de-tous-ces-sacrifices-et-ne-sen-fasse-dans-le-besoin-quelques-milliersde-livres-de-rente-moi-dabord-je-nai-pas-de-prjugs-je-vis-naturellement-de-la-vie-de-monsicle-je-nen-ai-pas-dautre-mon-service-si-les-circonstances-montdonn-quelques-avantages-je-me-trouverais-pr-image370505906.html
RM2CEP01P–. La vie hors de chez soi (comédie de notre temps) l'hiver, le printemps, l'été, l'automne; études au crayon et à la plume. Mon dier député, ne craignez rien des événements; un homme comme v< doit surnager.. LE CHOIX DUNE FEMME. 543 du roi, pour que celui de leurs descendants que je préfère, ne profite pasun peu de tous ces sacrifices, et ne sen fasse dans le besoin quelques milliersde livres de rente. Moi dabord je nai pas de préjugés. Je vis naturellement de la vie de monsiècle, je nen ai pas dautre à mon service. Si les circonstances montdonné quelques avantages, je me trouverais pr
. La Journee De Petit Jean . ut cueilli] eiicorLe sainfoin rose et les gerbesDe fleurs blanches au C(eui d(»r. Parmi les blés que la briseEn vagues fait onduler,Jean veut cueillir à sa guiseLes fleurs quil voit sy mêler. Coquelicot écarlateEt bluet tentent sa main;Mais maman défend quon gâteLe beau blé qui fait le pain Bientôt lenfant se console.Un sentier de fin gîizonBordé de fleurs, dherbes folles,Les conduit près dun buisson. Oh! quil est beau! Chaque brancheEst un vrai bouquet de roi.Plus dune vers eux se [>encheEt semble dire : Prends moi! Cest réglaiitiiie rosée,Frêle et délicate fle Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/la-journee-de-petit-jean-ut-cueilli-eiicorle-sainfoin-rose-et-les-gerbesde-fleurs-blanches-au-ceui-dr-parmi-les-bls-que-la-briseen-vagues-fait-ondulerjean-veut-cueillir-sa-guiseles-fleurs-quil-voit-sy-mler-coquelicot-carlateet-bluet-tentent-sa-mainmais-maman-dfend-quon-gtele-beau-bl-qui-fait-le-pain-bientt-lenfant-se-consoleun-sentier-de-fin-gizonbord-de-fleurs-dherbes-follesles-conduit-prs-dun-buisson-oh!-quil-est-beau!-chaque-brancheest-un-vrai-bouquet-de-roiplus-dune-vers-eux-se-gtencheet-semble-dire-prends-moi!-cest-rglaiitiiie-rosefrle-et-dlicate-fle-image374838022.html
RM2CNR9M6–. La Journee De Petit Jean . ut cueilli] eiicorLe sainfoin rose et les gerbesDe fleurs blanches au C(eui d(»r. Parmi les blés que la briseEn vagues fait onduler,Jean veut cueillir à sa guiseLes fleurs quil voit sy mêler. Coquelicot écarlateEt bluet tentent sa main;Mais maman défend quon gâteLe beau blé qui fait le pain Bientôt lenfant se console.Un sentier de fin gîizonBordé de fleurs, dherbes folles,Les conduit près dun buisson. Oh! quil est beau! Chaque brancheEst un vrai bouquet de roi.Plus dune vers eux se [>encheEt semble dire : Prends moi! Cest réglaiitiiie rosée,Frêle et délicate fle
. Oeuvres, dédiées à S.A.S.M. le duc d'Orléans. LIVRE CINQUIEME i - LE PH(ENIX ET LE HIBOU. FABLE PREMIE RE. A LA RELNE DE PRUSSE. A I commencé mon Livre par mon Roi ;Une autre Majeflé couronneralouvrage.Reine , agrée ici mon ouvrage ;Ce tribut étranger nen vaut que mieux pour toi.Lencens de tes Sujets reiTent la dépendance ;Tous leurs hommages le font dûs :Ils font (lijets de ta puilTance ;Je ne le fuis, moi , que de tes vertus ,Jai confulté la KenomméeSur ton cœur & fur ton efprit ;La bonne Courriere charmée. lé?4 (OUVRES DE M. DE LA MoTTE , En dit merveille , & jamais ne tarit. Le Ciel dans Stock Photohttps://www.alamy.com/image-license-details/?v=1https://www.alamy.com/oeuvres-ddies-sasm-le-duc-dorlans-livre-cinquieme-i-le-phenix-et-le-hibou-fable-premie-re-a-la-relne-de-prusse-a-i-commenc-mon-livre-par-mon-roi-une-autre-majefl-couronneralouvragereine-agre-ici-mon-ouvrage-ce-tribut-tranger-nen-vaut-que-mieux-pour-toilencens-de-tes-sujets-reitent-la-dpendance-tous-leurs-hommages-le-font-ds-ils-font-lijets-de-ta-puiltance-je-ne-le-fuis-moi-que-de-tes-vertus-jai-confult-la-kenommesur-ton-cur-fur-ton-efprit-la-bonne-courriere-charme-l4-ouvres-de-m-de-la-motte-en-dit-merveille-jamais-ne-tarit-le-ciel-dans-image370370248.html
RM2CEFR0T–. Oeuvres, dédiées à S.A.S.M. le duc d'Orléans. LIVRE CINQUIEME i - LE PH(ENIX ET LE HIBOU. FABLE PREMIE RE. A LA RELNE DE PRUSSE. A I commencé mon Livre par mon Roi ;Une autre Majeflé couronneralouvrage.Reine , agrée ici mon ouvrage ;Ce tribut étranger nen vaut que mieux pour toi.Lencens de tes Sujets reiTent la dépendance ;Tous leurs hommages le font dûs :Ils font (lijets de ta puilTance ;Je ne le fuis, moi , que de tes vertus ,Jai confulté la KenomméeSur ton cœur & fur ton efprit ;La bonne Courriere charmée. lé?4 (OUVRES DE M. DE LA MoTTE , En dit merveille , & jamais ne tarit. Le Ciel dans