Traité de gynécologie clinique et opératoire . je neladopterais pas en clinique. Je ne saurais davantage la suivre àpropos de la description des lésions. Ainsi que le remarque judicieu-sement de Sinétyi : « Comment admettre quune muqueuse aussimince que la muqueuse utérine puisse présenter des lésions consé-cutives à un état aigu sans que les tissus qui la supportent soienteux-mêmes malades? Comment admettre que les glandes soientatteintes sans quon observe en même temps une altération de leurs 1 De Simîty. Traité pratique de gynécologie, 2e édit., à Paris. 1884, p. 572 ANATOMIE PATHOLOGIQUE E

Traité de gynécologie clinique et opératoire . je neladopterais pas en clinique. Je ne saurais davantage la suivre àpropos de la description des lésions. Ainsi que le remarque judicieu-sement de Sinétyi : « Comment admettre quune muqueuse aussimince que la muqueuse utérine puisse présenter des lésions consé-cutives à un état aigu sans que les tissus qui la supportent soienteux-mêmes malades? Comment admettre que les glandes soientatteintes sans quon observe en même temps une altération de leurs 1 De Simîty. Traité pratique de gynécologie, 2e édit., à Paris. 1884, p. 572 ANATOMIE PATHOLOGIQUE E Stock Photo
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Traité de gynécologie clinique et opératoire . je neladopterais pas en clinique. Je ne saurais davantage la suivre àpropos de la description des lésions. Ainsi que le remarque judicieu-sement de Sinétyi : « Comment admettre quune muqueuse aussimince que la muqueuse utérine puisse présenter des lésions consé-cutives à un état aigu sans que les tissus qui la supportent soienteux-mêmes malades? Comment admettre que les glandes soientatteintes sans quon observe en même temps une altération de leurs 1 De Simîty. Traité pratique de gynécologie, 2e édit., à Paris. 1884, p. 572 ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET ÉTIOLOGIE DES MÉTRITES. 139 gaines lymphatiques qui communiquent largement avec les espaceslymphatiques du parenchyme ? » Jindiquerai donc dans leur ensemble les lésions de toutes lestuniques consécutives à létat aigu de linflammation, puis ceslésions dans linflammation chronique. Métrite aiguë. — Les descriptions qui ont été données des lésionsdu parenchyme dans la métrite aiguë sont presque toutes enta-. Fig. 9A. — Coupe de la muqueuse du corps utérin à létat normal, examinée à un grossissementde 200 diamètres (Cornil)1. a, revêlement épithélial de la surface interne des glandes; d, couches de cellules aplaties faisantpartie du tissu conjonctif qui limite la cavité glandulaire; c, tissu conjonclif contenant descellules arrondies ou un peu ovoïdes, en multiplication; g, cavité dune glande voisine dont laparoi nest représentée quen partie; pp, saillies et plis de la muqueuse épithéliale et du tissuconjonctif de la paroi glandulaire. Métrite aiguë. chées dun défaut; la métrite aiguë non puerpérale nétant pas mor-telle et ne légitimant pas lhystérectomie, les descriptions ont étéfaites daprès des autopsies de femmes mortes en état puerpéral, etoù les lésions du parenchyme et de la muqueuse utérine nétaient enréalité rien moins que comparables à ce quelles doivent être dans lesphases aiguës de linfl