Revue de l'art chrétien . N 10, type E. quatre pavés longs à six pans, avec undécor en forme dS. Le pavé carré est sensiblement le mêmeque celui de St-Maur de Glanfeuil, VoirRevue de rArt chrétien, mars 1905.. N° II, type H. Il reproduit le pavé long à six pans.Tous ces pavés portent un décor blancjaune sur fond terre cuite. Carrelage De Tabbape t>;^smère0. 295 Le même type existe à Asnières, aveccette variante que le pavé carré du centre est uni, vert foncé noir, au lieu dêtredécoré. Type H, n 11. En H sur le plan, est un somptueux motif; le dessin complet est fourni par

Revue de l'art chrétien . N 10, type E. quatre pavés longs à six pans, avec undécor en forme dS. Le pavé carré est sensiblement le mêmeque celui de St-Maur de Glanfeuil, VoirRevue de rArt chrétien, mars 1905.. N° II, type H. Il reproduit le pavé long à six pans.Tous ces pavés portent un décor blancjaune sur fond terre cuite. Carrelage De Tabbape t>;^smère0. 295 Le même type existe à Asnières, aveccette variante que le pavé carré du centre est uni, vert foncé noir, au lieu dêtredécoré. Type H, n 11. En H sur le plan, est un somptueux motif; le dessin complet est fourni par Stock Photo

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$Revue de l'art chrétien . 10 ^0-7 PRÉCIS DE lhistoire DE laRT CHRÉTIEN taillé a deux versants porte uire inscription en lettres on-ciales {fiy. II).. 11 On a découA-ert, en 1856, dans la cathédrale dAucli, unsarcophage mérovingien, en marbre l)lanc des Pyrénées$

RM2ANE9JM–Revue de l'art chrétien . 10 ^0-7 PRÉCIS DE lhistoire DE laRT CHRÉTIEN taillé a deux versants porte uire inscription en lettres on-ciales {fiy. II).. 11 On a découA-ert, en 1856, dans la cathédrale dAucli, unsarcophage mérovingien, en marbre l)lanc des Pyrénées

RM2CDK587–. Revue de l'art chrétien . 10). Botticelli, étant toujours en très grande faveur,nous reproduirons ce tableau peu connu, ce qui vaut mieux que de le décrire. Sans être de pre-mier ordre dans lœuvre du maître, louvrage estintéressant. Cette vente donnera peut-être lieu à un procès. La galerie Ghigi nest pas sous le régime fidei-commissaire, comme les galeries Albani, Barbe-rini, Sciarra, Noria, Ludovisi, Eospigliosi etquelques autres, mais les édits du cardinal Pacca,pris vers 1820, sont toujours en vigueur dans lesanciens Etats pontificaux ; or une des disposi-tions de ces édits interdit la v

$Revue de l'art chrétien . ngilbert et celui de labbesse Teschilde, appar-tiennent à la seconde moitié du VIP siècle. Le premier, dontles sculptures sont fort dégradées, présente neuf personnages ailés qui entourent le Sau-^ ^ veur assis et bénissant. Le second {fuj. 10) a uncouvercle à double égoùten ciment très-dur. Lesparois en pierres de liaissont décorées de deuxrangs de coquilles et duneinscription funéraire gravée sur trois lignes. Le sarcophage de saint Quentin, qui parait remonter auIV® siècle, a été creusé dans une énorme colonne cannelée,divisée en deux sur la longueur. Le couvercle$

RM2ANEA37–Revue de l'art chrétien . ngilbert et celui de labbesse Teschilde, appar-tiennent à la seconde moitié du VIP siècle. Le premier, dontles sculptures sont fort dégradées, présente neuf personnages ailés qui entourent le Sau-^ ^ veur assis et bénissant. Le second {fuj. 10) a uncouvercle à double égoùten ciment très-dur. Lesparois en pierres de liaissont décorées de deuxrangs de coquilles et duneinscription funéraire gravée sur trois lignes. Le sarcophage de saint Quentin, qui parait remonter auIV® siècle, a été creusé dans une énorme colonne cannelée,divisée en deux sur la longueur. Le couvercle

RM2AJ5A5W–Revue de l'art chrétien . A(»PAlllin XEICTACIA On doit assurément noter, comme unecoïncidence remarquable, le fait que les nou-velles constructions du XP siècle, décrites,sont à peu près contemporaines des débutsdu schisme de Cerularius (?f< 1059). Lé- n «HS«^0|giWa*StÇi?*»,-Vr^ .-;îS -r.Si-a. Fig. 10. — Détail de larchitrave de la porte principale de S.-Maria in Cosmedin, XW siècle.Symboles des évangélistes, avec le commencement Je lInscription de Joannes. (Phot. Moscioni.) glise, avec son antique et vénérable por-tique, avec sa belle tour, nous apparaît enquelque sorte comme un monument

RM2AJ4MXD–Revue de l'art chrétien . iOUS donnons ici la reproduction pho-tographique dune peinture murale re-trouvée, il y a quelques années, sur lahotte dune cheminée aux montantssimplement moulurés — dans une vieille de-meure patricienne, rue Pré aux moulins, à IJru-ges. Le sujet traité est lAnnonciation. A droite du spectateur, la Vierge, les mainsjointes, est agenouillée sur le pavement qui secompose de carreaux jaunes et c,range pâle; de- ilctiuc Dc lHrt cfjrcticn. PL. XV.. Vierge ajfjfijïe. Scui.nUKF. EN iVDiRi;. (Reproiiuciion aux 7/10 de loriginal.) £©élanges. 293 vant elle un petit banc portant

RM2AJ6A9A–Revue de l'art chrétien . i^ » 8« et lô*^ » » Tayllerand, lisez : Talleyrand. » la note doit venir à la page 289, 2= col., et vice-versa. » 18eligne, au lieu de: Gérard de Beausart, Ws&z: GérardBosman,de Beausart. » 34e !t> » labbé Scrippe, lisez : labbé Jos. Scrippe. » lisez : Les écuries et la carrosserie, encore... » après la dernière ligne ajoutez: Laile occidentale sécroula en i8^S. » 10- et I3<= lignes, au lieu de: Dominicaines, lisez: Dominicains. » 3o » Van Gratnberen, lisez : Van Grambergen. La dernière planche « Crosses et anneau » porte par erreur le n° XXV, lisez pi. XXVI. 28

RM2ANCYM6–Revue de l'art chrétien . chapitre de Saint-Servais depuis 1434 à 1469. Congrès archéologique de France, 1907.— Nous empruntons la matière de cet aperçudu dernier Congrès archéologique de France à untrès intéressant rapport que M, A. Besnard en adonné dans VArchitecture, année 1907, p. 295,(rapport complété ultérieurement par M. Nizet)en laccompagnant, selon son habitude, des fortjolis croquis que M. B. excelle à produire. Ceuxque nous donnons nont pas la même valeur,mais éclaireront néanmoins notre texte. Le Congrès a été ouvert le 10 juin à Avallonsous la présidence de M. Lefèvre-Pontalis, q

RM2AJ5A9N–Revue de l'art chrétien . es desévangélistes. Le maître intrépide, auteurde ce travail, na heureusement pas craintdy mettre son nom, ce qui nous permet deconnaître au moins un des artistes collabora-teurs à cette œuvre anonyme: Io.nes deVENETIAME FECiT, peut-on lire au-dessus delentrée. Nous donnons fig. 10 pour lapremière fois la reproduction exacte de cetessai de sculpture avec le commencementdu nom de son auteur. Cest à cette époque aussi quil convientdattribuer diverses fresques qui ont été Mainte-aparté tu CosmeîJtn à IRome. 191 retrouvées sur les murs à lintérieur, et par-ticulièrement l

RM2AJ3KJN–Revue de l'art chrétien . Fig. 10.. Fig. II. — Retombées des voûtes des nefs. angulaires analogues à ceux des chapiteauxsphérico-cubiques. Toutefois, les dosseretsdes arches extrêmes, au mur occidental età langle des nefs et du transept Sud, étaientformés de colonnettes engagées muniesde bases élégantes et de chapiteaux àfeuilles lancéolées ; le fût était formé dedeux tronçons cylindriques isolés, rattachésau mur par une bague amorcée. Des traces de peintures murales ont ététrouvées contre le pilastre de la façade oc-cidentale séparant la grande nel du collaté-ral Sud; elles consistaient, comm

RM2AJ58YK–Revue de l'art chrétien . t étécertainement au Dôme dont les colonnesfurent refaites ou replacées après lincendiedu XVP siècle et les chapiteaux changéssans que les attiques aient été le moins dumonde touchés. Du premier coup dœil, onsaperçoit que létage supérieur est resté delépoque romane et que tous les portiquesinférieurs ont été renouvelés; nous pouvonsconfirmer ce fait par les textes suivants em-pruntés aux archives du Dôme. Ces docu-ments, que nous a communiqués M. Fontana,mentionnent en 1596 les chapiteaux commenouveaux : « E a di 10 detto (janvier) sia« dato 2 capitelli nuovi che eran

RM2ANEWKA–Revue de l'art chrétien . Fig:. 10. — La Madone et lEnfant Jésus entourés dAnges musiciens, par Bartolomeo Catorali. 172 WitWt lie ravt cbrcttrn. sainte Ursule du maître Colonais. StephanLochncr et Hugo Vander Goes réalisentdes perspectives aériennes sur cette don-née lumineuse. Le nimbe nest facilement figuré quenpeinture. En sculpture il est suppléé par lediadème, qui signifie la gloire, ou par unplateau rond doré fixé derrière la tête. La midiié des pieds annonce que les en-voyés de Dieu sont les habitants du ciel,étrangers à la terre ; les personnages célestesont cette prérogative, princip

$Revue de l'art chrétien . lques-uns des sque-lettes ^ Les 10 et M mars 1855,JI. Godard-Faultrier découvritdans réglise de Toussaint, àAngers, deux cercueils en tuf(jui contenaient des sépulturesdabbés encore reconnaissablesà leurs vêtements, à leurschaussures et à leur crosse decuivre doré. Lun des deux con-tenait les débris dun bâton debois, long de {10 Dans sa Statistique monu-mentale de Paris, M. AlbertLenoir fait figurer parmi lestombes monastiques de sainteGeneviève, visitées en 807 ,des bâtons, verges ou roseauxque les religieux semblent tenirdans leurs mains. Ces sépul-tures nous p$

RM2ANEHN6–Revue de l'art chrétien . lques-uns des sque-lettes ^ Les 10 et M mars 1855,JI. Godard-Faultrier découvritdans réglise de Toussaint, àAngers, deux cercueils en tuf(jui contenaient des sépulturesdabbés encore reconnaissablesà leurs vêtements, à leurschaussures et à leur crosse decuivre doré. Lun des deux con-tenait les débris dun bâton debois, long de {10 Dans sa Statistique monu-mentale de Paris, M. AlbertLenoir fait figurer parmi lestombes monastiques de sainteGeneviève, visitées en 807 ,des bâtons, verges ou roseauxque les religieux semblent tenirdans leurs mains. Ces sépul-tures nous p

RM2ANEN8K–Revue de l'art chrétien . 9. Plan de Sainte-Agnès. m 10. Plan de Saint-Clément. Eusèbe nous a laissé la description de léglise que saiutPaulin fit reconstruire à Tyr, au commencement du IV siè-cle. Connue le même type basilical était universellementadmis alors, en Occident et en Orient, nous croyons utilede reproduire en partie cet intéressant passage, le plus an-cien qui soit connu sur larchitecture chrétienne primi-tive: « Paulin, dans la réédification de son Eglise, dit lélo-« quent panégyriste, non content daccroître rem])lacement« primitif, en a fortifié lenceinte comme dun rempart au 30i