Les Parodies du nouveau theatre italien; ou, Recueil des parodies représentées sur le théâtre de l'Hôtel de Bourgogne, par les Comediens italiens ordinaires du RoyAvec les airs gravés . Quel pouvoir contre nous ra.Temblô,Et confond tous les Elemens ?Quels fiflcmens ! TOmbre cruejloReçoit nos ciiverriflemensTout comme une pièce nouvelle.Tout le peuple fuit.LOmbre de GeUnor fort de fon Tombeau.Air 14. Des Pendus.Tous tas regrets font fuperflus,Bientôt un des fils dEgyptu?,Pour me Tan£cr de ton audace,Tyran ra régner en ta place ;Monfang fut répandu pour toi,H verfera le tien pour moi. Danàus,Air
Image details
Contributor:
The Reading Room / Alamy Stock PhotoImage ID:
2AX1Y6JFile size:
7.1 MB (212.9 KB Compressed download)Releases:
Model - no | Property - noDo I need a release?Dimensions:
2076 x 1203 px | 35.2 x 20.4 cm | 13.8 x 8 inches | 150dpiMore information:
This image is a public domain image, which means either that copyright has expired in the image or the copyright holder has waived their copyright. Alamy charges you a fee for access to the high resolution copy of the image.
This image could have imperfections as it’s either historical or reportage.
Les Parodies du nouveau theatre italien; ou, Recueil des parodies représentées sur le théâtre de l'Hôtel de Bourgogne, par les Comediens italiens ordinaires du RoyAvec les airs gravés . Quel pouvoir contre nous ra.Temblô, Et confond tous les Elemens ?Quels fiflcmens ! TOmbre cruejloReçoit nos ciiverriflemensTout comme une pièce nouvelle.Tout le peuple fuit.LOmbre de GeUnor fort de fon Tombeau.Air 14. Des Pendus.Tous tas regrets font fuperflus, Bientôt un des fils dEgyptu?, Pour me Tan£cr de ton audace, Tyran ra régner en ta place ;Monfang fut répandu pour toi, H verfera le tien pour moi. Danàus, Air 315. On vous en ratijfe.Que mon coeur eft agité !Ali ! par cette obfcurité , Tu redouble mon fuplicc , Dis-moi donc qui me tuera.LOmbrer rentrant dans fon TmheA* ùfie , tifîç, tf L A B O N N E On vous en ratifiera.D A N A U S. Air 282. Comment faire.Ombre inhumaine expliquez-vous, Sur qui doivent tomber mes coupsDans une telle Pépinière , Il sagit de développer , Celui que ma main doit frapper, Gomment faire. Air 81. Quoique Normand, Voyez la plaifente vétille, Je nai pour fortir dembarrasQuà tuer toute la famille, Et je ne my tromperai pas.. SCENE F E M M E. *37 SCENE IV. Le Théâtre change , & repréfenteune MetAgitée. Hiperm. feule. Air 154, Sortez* de vos retraites. A H! quel affreux Orage, Ccifez vent furieuxDexercer votre rageSur lobjet de mes feux ;Dans vos grottes profondesRentrez en ce moment, Doux Zepkirs fur les Ondes , Conduifez mon amant. Que je fuis heureufe ! la tempête ce2e<Air 66.Xe temps eft calme, & le vent doux Depéchez-vous . Mon cher Epoux.Lhymen vous attend au port;Pour vous y faire un heureux fort-Ce Dieu dans ce jourDaccord avec lamourTem* III. La bonne Femme. M ij8 L A B O N N E Va couronner lardeur qui nous preffe, Faifons fur ces bords, Eclater nos tranfports Et que nos tendres defîrs, Comblez par les plaiiîrs, Dans nos cœurs renaiflent fans celle. SCENE V. Troup de MATELOTS & MATE^LOTTES. H I P E R M N E S T E E. Air 2. Yavdnc