. Dialogues entre messieurs Patrie et d'Ablancourt sur les plaisirs. A AMSTERDAxM, Chez Louis le Roy. M DCC XIV. y6 ^ c-sp f ttA VER TISSE MENT. JE crois quon ne trouvera pasmauvais que jaïe traité enDialogues ce qui fait la ma-tière de cet Ouvrage» Le Dialo-gue eft agréable,& plus propreà mettre en leur jour ces fortesde fujets,que non pas un difcoursréglé & tout uni. Jintroduis Pa-tru & dAblancourt, deux hom-mes aflez connus par leur mérite& par leurs écrits ; parce que jeme les fuis propofé pour modè-les 5 & que jai crû que leur nomdonneroit du poids & de lauto-rité à ce que je dis : car do

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. Dialogues entre messieurs Patrie et d'Ablancourt sur les plaisirs. A AMSTERDAxM, Chez Louis le Roy. M DCC XIV. y6 ^ c-sp f ttA VER TISSE MENT. JE crois quon ne trouvera pasmauvais que jaïe traité enDialogues ce qui fait la ma-tière de cet Ouvrage» Le Dialo-gue eft agréable, & plus propreà mettre en leur jour ces fortesde fujets, que non pas un difcoursréglé & tout uni. Jintroduis Pa-tru & dAblancourt, deux hom-mes aflez connus par leur mérite& par leurs écrits ; parce que jeme les fuis propofé pour modè-les 5 & que jai crû que leur nomdonneroit du poids & de lauto-rité à ce que je dis : car dordi-naire les perfonnages purementinventez nintercfTcnt point aflezle Leâeur. Il femblera peut-être à quel-ques-uns que jaurois dû foute-nir mion difcours h mes fenti^A 2 mçns K^ VER TISSE ME NT.mens par des autoritez, rien nemctoit fi facile* On fçait bienquil ne faut pas être fort fçavantpour citer beaucoup ; mais jene Tai pas voulu faire par deuxraifons, La première , que fimon opinion étoit faufle, mescitationsdialoguesentreme00baud