Caractâeristiques des saints dans l'art populaire . a les scrupules de lhonnête porcheron, qui sentrouva bien ^. Saint Bale {Dasolas), solitaire en Champagne; 26 no-vembre, 620. On raconte de lui quelque chose de toutsemblable à ce qui vient dêtre dit pour saint Dêle enpremier lieu; mais la légende y introduit Attila qui.Dieu merci, nexistait plus au vu siècle. Quoi quil ensoit, le souvenir de ce fait quelconque maintint long-temps au gibier le privilège dêtre épargné par les chas-seurs dans la forêt de Reims, dès quil avait gagné lepetit bois dominé par la croix de saint Bâle. Saint Cyr (Cf.

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Caractâeristiques des saints dans l'art populaire . a les scrupules de lhonnête porcheron, qui sentrouva bien ^. Saint Bale {Dasolas), solitaire en Champagne; 26 no-vembre, 620. On raconte de lui quelque chose de toutsemblable à ce qui vient dêtre dit pour saint Dêle enpremier lieu; mais la légende y introduit Attila qui.Dieu merci, nexistait plus au vu siècle. Quoi quil ensoit, le souvenir de ce fait quelconque maintint long-temps au gibier le privilège dêtre épargné par les chas-seurs dans la forêt de Reims, dès quil avait gagné lepetit bois dominé par la croix de saint Bâle. Saint Cyr (Cf. Enfants saints, p. 350). 11 est parfoisreprésenté arrêtant un sanglier, ou le chevauchant.Ailleurs, devant la bête farouche est un roi que lanimalallait aborder, et que le petit saint préserve. Cest, selonles divers narrateurs, Charlemagne ou Charles le Chauveprotégé dans une chasse aux environs de Nevers. Lacathédrale de cette ville et la collégiale dissoudun gar-daient le souvenir de cette légende dans leurs 4îiéreaux. 11 se peut que dans plusieurs des récits indiqués sousce titre, un certain symbolisme celtique ait dicté aux G. AA. SS., ibid., p. 203. On na donc que faire dun jeu de motssur la hure. 7. Montalembert, Moines dOccident, t. II, p. 308, sv. 8. J. de Fontenay, Manuel de lamateur de jetons, p. 201, sv., et 417, sv. Mais lauteur nose pas affirmer que le jeton à la fleurde lis nappartienne pas aux chasses royales. Le Manuel ren-ferme dautres pièces exécutées pour la cathédrale de Nevers, et leprince y tient un énorme couteau de chasse qui semble un soc decharrue. Je ne saurais dire si la légende nivernaise et berrichonne est pourquelque chose dans une strophe de la Chanson de Rolland (éd. deThéod. Muller, st. Iviii, l Ha;lfte, p. 43, 41). Que les doctes enjugent il tête reposée. POURCEAU. - PRÊTRISE. 707 peinlres lemploi du sanglier; mais javoue ny pas voirl)ien clair, et dailleurs cela ne serait plus guère valablepour le s