. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. le processus comprend trois phases bien distinctes. Dans la première (a) l'aimantation n'est acquise que lentement : si nous acceptons l'interprétation de "Weber, les molécules ne répondent pas immé- diatement; elles sont lentes à se remuer. Dans la seconde phase (i) leur résistance est bien moindre, car l'accroissement de l'aimantation suit de très près l'augmentation de la puissance inductrice. Dans la troisième (c) l'accroissement d'aimanta- tion devient peu sensible : on voit que l'induit ap- proc

. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. le processus comprend trois phases bien distinctes. Dans la première (a) l'aimantation n'est acquise que lentement : si nous acceptons l'interprétation de "Weber, les molécules ne répondent pas immé- diatement; elles sont lentes à se remuer. Dans la seconde phase (i) leur résistance est bien moindre, car l'accroissement de l'aimantation suit de très près l'augmentation de la puissance inductrice. Dans la troisième (c) l'accroissement d'aimanta- tion devient peu sensible : on voit que l'induit ap- proc Stock Photo
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. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. le processus comprend trois phases bien distinctes. Dans la première (a) l'aimantation n'est acquise que lentement : si nous acceptons l'interprétation de "Weber, les molécules ne répondent pas immé- diatement; elles sont lentes à se remuer. Dans la seconde phase (i) leur résistance est bien moindre, car l'accroissement de l'aimantation suit de très près l'augmentation de la puissance inductrice. Dans la troisième (c) l'accroissement d'aimanta- tion devient peu sensible : on voit que l'induit ap- proche de très près de l'état de saturation, bien que l'action inductrice soit encore loin de son terme. Si l'on suit le progrès de cette action jus- qu'au point P, et si l'on supprime graduellement le courant de la bobine, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus aucun champ magnétique, on obtient la courbe que figure la ligne pointillée P Q; la hauteur de Q correspond à la totalité de l'aimantation, dite rémanente ou résiduelle, qui subsiste après induc- tion. Lord Rayleigh a montré que, dans la première phase {a), il ne se produit que peu ou point d'ai- mantation résiduelle; pendant toute la durée de la seconde phase [h), on en trouve, au contraire, une grande quantité; dans la troisième phase (c) il y en a seulement un peu plus qu'à la fin de la seconde. Donc l'action orientante qui s'exerce sur les molécules au début de l'induction (a) ne con-. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the original work.. Université de Paris. Laboratoire d'evolution des êtres organisés. Montreuil [etc. ] Gauther-Villars [etc. ]